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Chronique de concert Airbourne
Lundi 23 décembre 2024 : 6830 concerts, 27255 chroniques de concert, 5420 critiques d'album.
Chronique de Concert
Airbourne
Dur dur de passer derrière Gandalf pour chroniquer ce chouette concert d'Airbourne !
Arrivé peu après le lascar, je le laisse me payer un coup (fatal) : une pinte de binouze, pour moi qui ne bois quasi-jamais d'alcool, sans avoir rien avalé depuis le matin, je vais être pris d'un terrrrible coup de massue durant la soirée (Ridicule ? Mmmmmh oui !) !
Confiant dans le fait que je verrai les Splash Macadam 4 jours après au Bundies en ouverture de Steve and the Alcoholics (en fait non), je reste dehors à blagouiller avec les potes, auxquels je confierai ne pas connaître même un seul accord des australiens permanentés de ce soir...
En tout cas le public, lui, connaît ! Sitôt la lumière éteinte, je me croirais presque à Bercy ! Vrai bordel, pogos, slams, chants en chur, je me régale de voir cette ferveur !
Musicalement on m'avait prévenu, c'est du AC/DC en plus jeune, plus frais ! Sûr que le mur de Marshall ne fonctionnait pas à plein régime (ça suffisait déjà, malheureusement... Le son au fond était vraiiiiment brouillon), mais les mecs se la donnaient grave, le numéro du gratteux qui riffe sa mémé sur le comptoir du Cabaret était fun et plein d'entrain, excellent ! Paraît-il devant les videurs ont cassé les couilles, ils viraient les slameurs, avaient des accrochages avec des gars qui étaient simplement trop contents d'être là, regrettable, faudra que ça change, qu'on leur dise au moins de foutre la paix au public, pour le coup à des années-lumières d'être agressif...
Niveau sourire, notons le public qui oscillait entre 10 et 60 berges, moment culte que celui où je vois quatre gnomes arriver au comptoir, poser le coude (à 45°, le comptoir était encore un chouia haut) de manière virile, et demander quatre verres d'eau à la serveuse, visiblement aussi attendrie par la scène que moi...
En bref on l'aura compris, là où je serai sorti complètement désolé du set pré-fabriqué des grabataires du Hard-Rock, au Vélodrome y'a moins d'un an, ici j'aurai apprécié la fraîcheur et l'entrain de leurs cadets ! 1h20 ça fait ric-rac, rappel compris, m'enfin on gardera l'impression qu'ils ont turbiné à fond tout ce lap de temps !
Excellente soirée !
Arrivé peu après le lascar, je le laisse me payer un coup (fatal) : une pinte de binouze, pour moi qui ne bois quasi-jamais d'alcool, sans avoir rien avalé depuis le matin, je vais être pris d'un terrrrible coup de massue durant la soirée (Ridicule ? Mmmmmh oui !) !
Confiant dans le fait que je verrai les Splash Macadam 4 jours après au Bundies en ouverture de Steve and the Alcoholics (en fait non), je reste dehors à blagouiller avec les potes, auxquels je confierai ne pas connaître même un seul accord des australiens permanentés de ce soir...
En tout cas le public, lui, connaît ! Sitôt la lumière éteinte, je me croirais presque à Bercy ! Vrai bordel, pogos, slams, chants en chur, je me régale de voir cette ferveur !
Musicalement on m'avait prévenu, c'est du AC/DC en plus jeune, plus frais ! Sûr que le mur de Marshall ne fonctionnait pas à plein régime (ça suffisait déjà, malheureusement... Le son au fond était vraiiiiment brouillon), mais les mecs se la donnaient grave, le numéro du gratteux qui riffe sa mémé sur le comptoir du Cabaret était fun et plein d'entrain, excellent ! Paraît-il devant les videurs ont cassé les couilles, ils viraient les slameurs, avaient des accrochages avec des gars qui étaient simplement trop contents d'être là, regrettable, faudra que ça change, qu'on leur dise au moins de foutre la paix au public, pour le coup à des années-lumières d'être agressif...
Niveau sourire, notons le public qui oscillait entre 10 et 60 berges, moment culte que celui où je vois quatre gnomes arriver au comptoir, poser le coude (à 45°, le comptoir était encore un chouia haut) de manière virile, et demander quatre verres d'eau à la serveuse, visiblement aussi attendrie par la scène que moi...
En bref on l'aura compris, là où je serai sorti complètement désolé du set pré-fabriqué des grabataires du Hard-Rock, au Vélodrome y'a moins d'un an, ici j'aurai apprécié la fraîcheur et l'entrain de leurs cadets ! 1h20 ça fait ric-rac, rappel compris, m'enfin on gardera l'impression qu'ils ont turbiné à fond tout ce lap de temps !
Excellente soirée !
Critique écrite le 27 juin 2010 par Vand
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