Chronique de Concert
Blondin (Blondie tribute)
Lollipop Music Store, Marseille 30 septembre 2022
Critique écrite le 02 octobre 2022 par Catherine B
Et si Blondie m'était racontée en quelques titres... Les années 80, des tubes planétaires, comme si le Punk / disco (??!) venait à tous et dans tous les foyers, même chez les adorateurs de Sardou, Sheila...
J'ai pu entendre sur les tourne-disques des copains et partout :
"Once I had a love and it was a gas
Soon turned out had a heart of glass
Seemed like the real thing, only to find
Mucho mistrust, love's gone behind"... 1979...
STOOOOOOP !
Mais c'est un mec qui chante ! Blondie n'a pas de seins ! Blondie en sequins... Blondie c'est... Blondins.
Dedieu ! Mais ça bouge, ça joue bien, la voix est un peu rauque, plutôt masculine, franchement grave mais ça le fait ! Keep the pause and dance ! Shooting and glamour ! Atomic !
Jouer sérieux sans se prendre au sérieux (bon sang de bonnes guitares !). C'est tellement bien réalisé que Blondie pouvait se pointer sans problème.
Et voilà comment j'ai passé le meilleur moment de mon mois de septembre. Improbable mais vrai.
One way or another, call me. Et Messieurs, merci.
Critique écrite le 02 octobre 2022 par Catherine B
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> Réponse le 11 octobre 2022, par Philippe
Mais merci pour eux, chère Catherine ! J'y fus aussi mais très dissipé pendant le set, absorbé que j'étais par une conversation a propos de trafic maritime et autres paquebots de croisière, avec une femme de mer monochromatique... J'avais pourtant bien remarqué que la Blondie de ce Blondin était un garçon, barbu, et roux... et chauve ! Faut le faire, quand même ! Même avec une très seyante robe à paillette digne de 1977, visuellement il y avait comme un petit gap (sans gravité bien sûr...) Ce groupe se livra donc, comme vous l'avez déjà précisé, à une réinterprétation très agréable d'un best-of de l'assez fantastique groupe d'origine (vu une seule fois en live pour ma part, et la vaillante Debbie avait déjà 70 piges passées). Et donc ayant assurément inventé un projet distrayant, et... La suite | Réagir
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