Chronique de Concert
Bob Dylan
C'est mon premier Dylan... Assis ! Et ça me fait tout "chose". Dans le rétro flou du passé, je vois défiler les longues, longues, séances de gagne terrain exécutées debout : bien campé sur mes cuisses, bassin et chakras maintenus en position "fermée" ; tentant méthodiquement de m'infiltrer glisser ou m'immiscer entre les organismes d'origines (incontrôlées) Italiennes, Espagnoles, Allemandes, ou Nordico-Anglo-saxonnes (les fans hardcore). C'était alors LE passage obligé vers les premiers rangs, quelque, une heure avant le début de l'apparition du moindre "roadie" sur scène.
Aujourd'hui, avec l'adjonction surprise de SIÈGES dans la fosse : il suffit d'un simple coup d'il pour comprendre que quelques uns des spécimens installés devant, sentent plus le "lambda" - médecins, dentistes, sportifs du dimanche, gérants de stations essence, assureurs, ou pire, vendeurs de mobiles... - que le sillonneur d'Europe à la poursuite du sieur Zimm' depuis les débuts de son fameux "Never Ending Tour" : débuté peu après sa rencontre d'avec Tom Petty et ses Heartbreakers (en 86) ; une rencontre décisive, tant au niveau de son envie, qu'au niveau de son renouvellement permanent, de l'impressionnante liste de chansons jouées depuis en alternance (plus d'une centaine, au bas mot !).
Fort heureusement, je finis par en apercevoir certains, ils sont toujours là, les incorruptibles, les "ItalianoEspagnoloAllemandsNordicoAngloSaxons" de naguère (moins nombreux toutefois qu'en 93 et 99, dates des deux dernières étapes Marseillaises) déjà concentrés sur LE sujet du soir, toujours le même, depuis vingt et quelques années : la même sale trogne de "troubadour roquet" postée à quelques décimètres, en position de repli sur SOI et manifestement quillée dans son monde, pour la "Never Ending" éternité. Au mieux, vu d'ici, il semble indifférent, au pire, déjà versé dans la chanson suivante, et sa suivante, et sa suivante, et sa cohorte de surprises qui n'apparaissent que selon le bon vouloir du maître : qui sait déjà, que, quoi qu'il advienne, où que ses pas/roues le mènent, il y aura encore et toujours une autre date, et sa suivante, et sa suivante, et sa suivante, et sa cohorte de changements adaptations et surprises qui n'en sont plus pour lui, vu, que, à force, le gars ne doit plus très bien savoir où il se trouve exactement. De nos jours, il fait de son étui, une ville, de son clavier, un refuge, de son harmonica, un prêche, et de ses lambeaux de voix claquant dans le vent des Temps Modernes - qu'il se plaît à placer décaler ou casser, là aussi, selon son bon vouloir ! - son lien d'avec l'"autre", le public ! Par lui toujours considéré comme un collectif, une entité "être", qui s'arrête et respire à son rythme l'espace d'une unique soirée. Lors, c'est bien pis encore, en ce qui concerne les cohortes de "ItalianoEspagnoloAllemandsNordicoAngloSaxons", précitées, qui, elles, ne vivent plus qu'au travers de ce lien depuis fort longtemps : en symbiose totale d'avec l'icône en grande quête, ennuyées à l'idée d'avoir à affronter les jours "sans", vides de ces petits espaces de vie qu'elles se sont défrichées et taillées à la force du jarret, uvrant toute une partie de l'année, juste pour pouvoir remplir vainement ce tonneau des Danaïdes pour argent frais qu'est finalement devenu le "Never Ending Tour", lorsque l'on est fan dernier degré, avoué, tatoué...
Dès les premières mesures du manifeste anti "fashion victim" nimbé d'acide qu'est, Leopard-Skin Pill-Box Hat - mené par le gars himself, accroché à ses claviers et chapeauté d'auguste - c'est une bousculade sans nom qui saisit les premiers rangs. Bonne nouvelle, ils n'auront pas tenu plus de cinq secondes, ces #*%*#ns de sièges de fosse de mes deux (comme lors d'une mémorable soirée de 1994 passée auprès d'Elvis Costello et de ses Attractions à l'Olympia). Fidèle, d'entre les fidèles, Tony Garnier ronde sa basse et mène solidement le boogie-blues jusqu'à bon port, en toute discrétion - petit à petit, il s'est fait à la semblance du maître (bouc et boucles incluses) - bien installé au sein d'un groupe élégamment vêtu de gris, qui tranche d'avec le tissu noir obscur que revêt le Bob, et d'où surgit sans prévenir cette fameuse voix devenue familière, avec le temps, qui avale décadre ou vomit de la ligne originelle sans jamais se lasser ni chercher plus que ça à "coller" à l'original gravé en "66" sur vinyle. Une courte respiration plus tard, le voici qui s'installe au centre des choses, de son centre de toutes choses : la scène ! Armé d'une acoustique, il se frotte la pulpe sur l'antique It Ain't Me, Babe - que la foule peine audiblement à reconnaître - puis s'engage en un rapide duel de grattes au contact du légendaire Texan Charlie Sexton, plus ou moins à ses côtés depuis 1999, qui sait, lui, qu'il faut savoir s'effacer devant son "adversaire", lorsque celui-ci décide de tricoter en amélodique majeur. Une chose est désormais sûre ET certaine, les aficionados des soirées karaoké peuvent toujours se les plier "menu" ou se les carrer dans le spectateur : il n'y a guère que les "ItalianoEspagnoloAllemandsNordicoAngloSaxons", pour arriver encore à suivre et même chanter peu ou prou en même temps que ces mots crachés, glaviotés d'une arrière-arrière-gorge donnant sur la cour. Putain, c'est carrément de l'outre-tombe garantie : option, cordes passées au verre papier, et kilomètres bouffeurs de vie qui poussent juste derrière. Coup de bol, il en enchaîne une seconde à la six cordes, et ça fait plaisir, tellement on a dernièrement entendu parler, du, "... triste mec penché dans l'ombre et de biais, invariablement collé à son clavier sans bouger ou changer de position du début à la fin des shows !".
Autre coup de bol, c'est un extrait du sommet Blonde On Blonde ( Stuck Inside Of Mobile With The Memphis Blues Again) qui se pointe, et qui, ô surprise, ne fait pas regretter le moins du monde les fragrances passées du légendaire The Band. Étrangement, j'en viens même à penser qu'il n'a jamais été aussi bien accompagné que ce soir, enfin, que tous les soirs, depuis quelques années : la rythmique est en place, et pulse comme il faut, là où il le faut, sous les baguettes de George Recile, la slide de Donnie Herron et les accords plaqués de Stu Kimball s'entrelacent sans fin, tandis que le maître du grand "tout", lui, se plaît à détisser ou perturber l'ensemble, quand bon lui semble, juste histoire de rappeler que "ça" vient de "là", que tout est parti un jour de ses dix doigts de légende...
L'intro de Just Like A Woman a beau sonner un rien "baloche", comparé à sa studio devancière, elle n'en reste pas moins d'actualité : les rapports hommes/femmes restant invariablement tanqués aux registres "incompréhension", "conflictuels du quotidien", et "rapports de forces sans véritable vainqueur déclaré, affiché". Visiblement, certains gris du capillaire, dans le public, autour, viennent de monter à bord de la machine à repasser les "monts sixties" : les prunelles se noient alors dans un doigt de nostalgie, avant que l'ensemble de la salle ne soulage la voix de son maître sur le refrain, tandis qu'au même moment, sur scène, le Bob se permet de patouiller un chouïa sur le pont, sans que pour autant, cela ne nuise à l'ensemble.
Sur, I Don't Believe You (She Acts Like We Never Have Met),on peut se demander s'il se complait à arracher mal quelques notes et mots, juste pour casser l'exactitude de la version ou s'il... Stop ! Stop ! V'la l'harmonica qui se pointe ! Laissons tomber les timides rancurs, pour célébrer cette arrivée avec emphase. Au final, c'est un festival de notes isolées, répétitives, entrecoupées de vers durement éructés, plus proches de la parodie Flakes de Frank Zappa, que du nirvana de Newport ou du somptueux Philharmonic Hall de New York(1964), mais, bon, ça fait toujours du bien par où ça passe, c'est un fait.
Sur High Water (For Charley Patton) -
sommet de l'inégal Love and Theft, sorti malencontreusement le 11 septembre 2001 ! - le bayou commence à suinter sévère, et à plein nez ; le Delta Blues exhibe l'âme des damnés, des hors la loi, des noceurs impénitents, pointe la misère, la ségrégation, le châtiment divin. Une interprétation, toute de violence ourdie - menée par un banjo qui lugubre en figure de proue - à même d'en remontrer aisément aux 16 Chevaux Vapeur du prosélyte David Eugene Edwards. "Ça" sent le vaudou, céans, la bête de Sleepy Hollow, la rencontre "Nord-Sud" chez Gettysburg, les landes défrichées de mitraille, boue, et sang, tout et son contraire, en somme ; c'est le retour au séminal, au geyser de vie, à l'humanité sur son fil, nanti des incisives de cap'tain Bob qui se lustre méthodiquement les crocs de grinçant sur ferraille... Hors du temps !
Le tango funèbre est de sortie. La cavalcade céleste, plutôt, aux dires de certains. Quoi qu'il en soit, ça a pour nom Desolation Row et c'est LE monument fleuve, empreint de démesure, qui clôt l'immense Highway 61 Revisited(65) : c'est sarcastique en diable, dérisoire, grotesque, fossoyeur de célébrités en tous genres - depuis Robin des Bois au Bossu de Notre-Dame, en passant par Ophélie, Bette Davis, Néron, Einstein, ou le Titanic... - et semble tellement lui tenir à cur, qu'il en retrouve même quelques intonations de jeunesse tout de suite familières aux pavillons. C'est un train fantôme, lancé depuis les lointaines sixties à idéaux mort-nés, qui ne fait que pointer un peu plus, que le temps a passé, noirci, réformé, tout souillé enBP majeur... End of the story ? (Avec une nouvelle fois, une mention très spéciale adressée à la section rythmique, déjà omniprésente tout du long du dernier opus studio Together Through Life.
Si j'étais apprenti guitariste, j'envierais ce défilé incessant de grattes "vintage" - crème, grises, noires, anthracites ou blanches - qui passent sans temps mort entre les mains du gars Sexton : entre Gibson et Fender, Gretsch et Trussart. Si j'étais apprenti maçon, j'envierais ces bonnes grosses pognes qui écrasent de noires et blanches, qui ont bâti tant de chef d'uvre intemporels et consistants. Si j'étais un Coq (en pâte) Tricolore, j'envierais cette foi qui l'anime, cette envie d'en découdre, chaque soir ou presque, depuis près de 20 années, quel que soit son état physique, moral, ou émotionnel : toujours fidèle, toujours en mouvement, toujours solidement accroché des papattes ou des dents à l'os à moelle originel. Putain, c'est au tour de Blind Willie Mc Tell de se pointer au crachoir à notes : la plus belle des chansons "hommage" qui soit, entièrement dédiée au bluesman aveugle du même nom ; le sommet trop longtemps oublié, du moins jusqu'à la sortie des Bootlegs Series en 1991 ! Une interprétation solide, nantie d'un solo d'harmonica joué de raide, debout : tel un bluesmen de rue calé sur un bout de trottoir pourave à Memphis, New Orleans, ou... Duluth ! (Minnesota). Durant le solo de la crasseuse Honest With Me, Sexton le dégingandé se la joue "cool", "comme à la maison", exécutant son solo paisiblement assis sur l'un des retours, résolument posté face à son employeur, qui, étonnamment, lui lance un court sourire complice en retour (dont on ne l'imaginait pas "porteur"...) avant qu'une véritable déflagration finale, ne hisse ce morceau au panthéon des tours de force du soir.
"C'était dans une autre époque, de peine et de sang
Quand la noirceur était vertu, la route recouverte de boue
J'arrivais du désert, créature sans forme.
"Entre ! Dit-elle, je t'abriterai de l'orage !" : Enfin extraite du grandianoextrasupergéniissime Blood On The Tracks(75), Shelter From The Storm vient de me secouer le plexus, de me tirer par les parties, de me couler du plaisir en intraveinal, de me tirer une belle grosse larme de souvenirs : mêlée de silhouettes, de courbes, de cils qui battent, d'iris absents, de galbes passés, présents, et à venir... Celui-là, je le jure, j'en ai usé au moins deux ! Et je le possède sous toutes ses formes (de l'antique K7, au Minidisc, en passant par le gravé informe, ou le CD fonctionnel réglementaire, sans oublier cette belle paire de vinyles majestueux, placés en l'étagère, "des" qui piaffent d'impatience en leur transparent fourreau de plastique...). Blood On The Tracks, le truc à "île déserte", l'hommage ultime à l'autre, à l'autre soi-même, à la séparation d'avec l'être cher, d'avec la solitude cotée en bourse, avec la douleur pour unique compagne ; le truc à écouter après chaque échec, humiliation ou séparation : histoire que de repartir du bon pied après avoir exorcisé ses démons, après en avoir fini avec les "siens"... Rien moins ! Tiens, il me semble que sa voix a subitement "rajeunie" là aussi, en la jouant ! Elle me rappelle celle qui hantait encore, il y a peu, les concerts de Sheffield (2000), Gothenburg (Suède/2001), ou Santa Cruz (California/2000) : un jour, c'est promis, juré, je bâtirais une belle et grande Tour Eiffel (ou feu les Twin Towers), uniquement montée avec des CD "live" du gars Bob ! (Na !).
C'est encore et toujours "Boogie time !", ce soir, en compagnie d'une Highway 61 Revisited qui se durcit un peu plus à chaque tournée et durant laquelle, slide et Trussart travaillent d'arrache-calles, jusqu'à nous fouetter dans le sens de l'animal. Y'a pas à chier, c'est LE bluesmen blanc ultime, le seul, l'unique, le dernier spécimen d'un genre obsolète et enterré : lorsque l'oncle Tom (Waits) aura cassé sa pipe. C'est le salut obligé au Crossroads, au pacte passé en loucedé : celui qui saisit d'effroi et qui nous happe par les valseuses lorsque l'humide repeint la lune de foutre à damnés, ou de damnés à foutre ; une passion qui aura coûté sa vie au gars Robert (Johnson) mort d'avoir trop aimé ces dames charnues, et leur lune...
Lorsque le violon de Donnie Heron pleurote de sale sur le récent Forgetful Heart(Together Through Life/2009) ça devient carrément tragique : les âmes perdues s'avancent lentement à contre-jour, on va tous en prendre pour notre grade, c'est certain ; la notre lui appartient en retour, ce soir, rien à faire pour la lui chiper ou la réintégrer, ça pue le sortilège. Avec Thunder On The Mountain, c'est une fois encore du "tendu" qui shuffle d'envie et qui nous prouve, que, quand il la pousse, la voix existe bel et bien, toujours capable de placer de la syllabe de son inimitable façon (souvent copiée de pale, mais rarement égalée) un petit sommet de tension à encadrer de frais, juste pour ne pas l'oublier, juste.
Nimbée d'un éclairage "petit cabaret Berlinois des débuts du XXe" - ou bien, "vieille grange Far-Westernienne" (époque ruée vers l'or !) bref, d'un unique jaune qui découpe les rideaux noirs posés derrière et vient renforcer sa vigueur surréaliste - la mythique Ballad Of A Thin Man pourrait tout droit sortir d'un Twin Peaks et serait à même d'effrayer l'instable Denis Hopper de Blue Velvet alors aux prises avec le In Dreams du gars Roy (Orbison). C'est quasi certain, annoncé, on est tout proche du moment angoissant où le nain dansant du Twins, va se fendre de l'obscur "Garmonbodzia !", et l'harmonica ne fait rien pour arranger les choses : juste une tache de rouille de plus, qui noircit encore l'imaginaire ainsi exalté ; c'est beau à en chialer dans son hymen, dans son orgueil, ou dans son réservoir à fluides. Seule ombre au tableau (d'honneur) ça est FINI ! Ils battent en retraite et nous laissent interdits d'après, de vide, de vie, d'envies inassouvies... FI-NI !
PS :
Après l'incontournable Like A Rolling Stone, chef d'uvre de rappel durant lequel il prend un malin plaisir à NE SURTOUT PAS jouer la fameuse coda d'orgue (vu qu'il a un clavier entre les mains !) je note qu'ils ont beau être cinq gars en parfaite santé, y'en a pas un pour taquiner du micro ou des churs : c'est "chasse gardée", c'est le domaine réservé du guide, et, même lorsque celui-ci peine ou étouffe, ben, faut faire avec, point (le pire, c'est que ça nous va bien, le pire : quitte à beugler le refrain à sa place, pour mieux l'entendre, la reconnaître, puis se la réapproprier...). Ensuite, ben... Le temps d'un Forever Young "climatique" - ultime demande/supplique lancée à la vie, aux débords, à la vie, aux excès, aux rêves, au passé, aux nuées, à la vie ! - le "Columbia Records Artist" quitte benoitement le building : est-ce que j'y survivrai ? Est-ce que je le reverrais seulement ? Rien n'est moins sûr !
To be continued...
(Les "ItalianoEspagnoloAllemandsNordicoAngloSaxons", quant à eux, se sont déjà remis en ordre de marche : esprits et sens tournés vers Barcelone, prochaine étape affichée, du périple sans fin...).
Le Dôme 23/06/2010 (Setlist) :
Leopard-Skin Pill-Box Hat
It Ain't Me, Babe
Stuck Inside Of Mobile With The Memphis Blues Again
Just Like A Woman
I Don't Believe You (She Acts Like We Never Have Met)
High Water (For Charley Patton)
Desolation Row
Blind Willie McTell
Honest With Me
Shelter From The Storm
Highway 61 Revisited
Forgetful Heart
Thunder On The Mountain
Ballad Of A Thin Man
Like A Rolling Stone
Forever Young.
Critique écrite le 25 juin 2010 par Jacques 2 Chabannes
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