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Chronique de concert China Moses
Lundi 30 décembre 2024 : 6936 concerts, 27256 chroniques de concert, 5421 critiques d'album.
Chronique de Concert
China Moses
Gardenias for Dinah juste pour annoncer l'hommage à la reine Dinah Washington . China Moses accompagnée du Raphaël Lemonnier trio, revisite le répertoire de cette grande dame du jazz avec respect, talent et justesse.
Tellement pétillante, elle nous fait ressentir la fan qui est en elle. Ponctuant son set de plusieurs anecdotes sur Dinah (elle se qualifie elle même d'un juke-box à anecdotes !) elle nous raconte comment sa mère Dee Dee Bridgewater s'est retrouvée dans les bras de la grande prêtresse qui lui prédit un destin de chanteuse mais chieuse !), ou l'impressionnant palmarès de ses maris et amants, ou encore la multiplicité de ses engagements (même tenir un restaurant de tacos à Détroit !).
Le swing est là. La chaleur de sa voix nous ferait même croire à l'ambiance des clubs enfumés et intimiste de la Nouvelles Orléans (en même temps je n'y suis jamais allée mais un jour peut être...).
Entre les chansons d'amour, I'm mad about the boy ou Cry me a river ou encore I've never forget you, les morceaux pétillants comme Fat Daddy nous font swinger sur nos chaises.
Un rire communicatif, une générosité énorme, j'ai adoré China.
Tellement pétillante, elle nous fait ressentir la fan qui est en elle. Ponctuant son set de plusieurs anecdotes sur Dinah (elle se qualifie elle même d'un juke-box à anecdotes !) elle nous raconte comment sa mère Dee Dee Bridgewater s'est retrouvée dans les bras de la grande prêtresse qui lui prédit un destin de chanteuse mais chieuse !), ou l'impressionnant palmarès de ses maris et amants, ou encore la multiplicité de ses engagements (même tenir un restaurant de tacos à Détroit !).
Le swing est là. La chaleur de sa voix nous ferait même croire à l'ambiance des clubs enfumés et intimiste de la Nouvelles Orléans (en même temps je n'y suis jamais allée mais un jour peut être...).
Entre les chansons d'amour, I'm mad about the boy ou Cry me a river ou encore I've never forget you, les morceaux pétillants comme Fat Daddy nous font swinger sur nos chaises.
Un rire communicatif, une générosité énorme, j'ai adoré China.
Critique écrite le 31 mars 2008 par july
China Moses : les dernières chroniques concerts
China Moses & Raphaël Lemonnier par Mcyavell
Théâtre Armand - Salon de Provence, le 26/01/2010
Les lumières du Théâtre Armand se tamisent. Des bandes sons d'époque sont diffusées. L'époque, ce sont les années 55/63, lorsque Dinah Washington était au sommet de son art. China... La suite
China Moses + Raul Midon par Julien 13RU
espace Julien - Marseille, le 07/04/2009
A l'aveuglette... C'est rempli de curiosité que je me suis rendu ce soir au concert de China Moses et de Raul Midon à l'Espace Julien.
Première surprise : la salle est pleine,... La suite