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Chronique de concert Cléa Vincent, H-Burns, Pambelé, Les Wampas (Vercors Music Festival)
Samedi 21 décembre 2024 : 6880 concerts, 27251 chroniques de concert, 5420 critiques d'album.
Chronique de Concert
Cléa Vincent, H-Burns, Pambelé, Les Wampas (Vercors Music Festival)
Le Vercors Music Festival a célébré sa dixième édition avec une première soirée riche en émotions et en découvertes musicales. En plein milieu du massif du Vercors, le lieu du festival offre un panorama spectaculaire sur les montagnes alentours. Cette année il n'y a qu'une seule scène, avec en fond l'impressionnante piste de luge sur rail. Cette immersion en plein air crée une ambiance unique, familiale, marquée par la convivialité et la proximité.
Entre les concerts, pendant les changements de scène, c'est le duo de DJs locaux de la boite Le Koda qui maintiendront l'ambiance depuis le bar avec des mixes variés en fonction de l'ambiance de chaque soirée.
La soirée débute avec Cléa Vincent, qui, malgré un public encore clairsemé, réussi a captiver l'audience avec ses mélodies pop électro et ses textes inspirés. Accompagnée d'une basse, un clavier et une batterie, elle offre une performance planante, oscillant entre pop, électro et bossa nova.
Sa gaieté est communicative et son talent indéniable, une belle entrée en matière pour le festival.
La scène accueille ensuite H-Burns, alias Renaud Brustlein, qui livre une prestation intense et émotive. Son rock folk, teinté de blues et de rock électrique, trouve un écho favorable auprès du public. Le show est maitrisé à la perfection, et le groupe, originaire de la région, est chaleureusement applaudi par les festivaliers.
Entre ensuite en scène le collectif Pambelé. Composé de sept musiciens aux influences diverses, le groupe envoûte très rapidement le festival avec un mélange enivrant de musique latine, brésilienne et de percussions traditionnelles colombiennes.
Les différents instruments ... saxophone, guitare, piano, djembé et autres percussions ... se fondent pour former une transe musicale et le public, entraîné par cette énergie contagieuse, ne peut pas résister à l'appel de la danse. Le groupe alterne habilement les musiques aux rythmes brésiliens et les mélodies plus douces, accompagnées de bâtons de pluie.
La soirée se conclue avec les inénarrables Wampas. Attendus avec impatience par les festivaliers, Didier Wampas, fidèle à sa réputation, livre une performance énergique et débridée, malgré une voix qui n'accroche pas toujours les bonnes notes. Sa présence scénique et son interaction avec le public compensent très largement, et cela crée une ambiance électrique.
Entre saut dans le public et wall of death, Les Wampas sont comme une vague d'énergie incontrôlée qui déferle sur les festivaliers. Le set culmine avec la chanson "Manu Chao", que le public reprend choeur.
Cette première soirée du Vercors Music Festival a été une réussite, une belle introduction à ce festival.
Entre les concerts, pendant les changements de scène, c'est le duo de DJs locaux de la boite Le Koda qui maintiendront l'ambiance depuis le bar avec des mixes variés en fonction de l'ambiance de chaque soirée.
La soirée débute avec Cléa Vincent, qui, malgré un public encore clairsemé, réussi a captiver l'audience avec ses mélodies pop électro et ses textes inspirés. Accompagnée d'une basse, un clavier et une batterie, elle offre une performance planante, oscillant entre pop, électro et bossa nova.
Sa gaieté est communicative et son talent indéniable, une belle entrée en matière pour le festival.
La scène accueille ensuite H-Burns, alias Renaud Brustlein, qui livre une prestation intense et émotive. Son rock folk, teinté de blues et de rock électrique, trouve un écho favorable auprès du public. Le show est maitrisé à la perfection, et le groupe, originaire de la région, est chaleureusement applaudi par les festivaliers.
Entre ensuite en scène le collectif Pambelé. Composé de sept musiciens aux influences diverses, le groupe envoûte très rapidement le festival avec un mélange enivrant de musique latine, brésilienne et de percussions traditionnelles colombiennes.
Les différents instruments ... saxophone, guitare, piano, djembé et autres percussions ... se fondent pour former une transe musicale et le public, entraîné par cette énergie contagieuse, ne peut pas résister à l'appel de la danse. Le groupe alterne habilement les musiques aux rythmes brésiliens et les mélodies plus douces, accompagnées de bâtons de pluie.
La soirée se conclue avec les inénarrables Wampas. Attendus avec impatience par les festivaliers, Didier Wampas, fidèle à sa réputation, livre une performance énergique et débridée, malgré une voix qui n'accroche pas toujours les bonnes notes. Sa présence scénique et son interaction avec le public compensent très largement, et cela crée une ambiance électrique.
Entre saut dans le public et wall of death, Les Wampas sont comme une vague d'énergie incontrôlée qui déferle sur les festivaliers. Le set culmine avec la chanson "Manu Chao", que le public reprend choeur.
Cette première soirée du Vercors Music Festival a été une réussite, une belle introduction à ce festival.
Critique écrite le 29 juillet 2024 par Mkhelif
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