Accueil Chronique de concert Cowboys From Outer Space + Ich Bin Dead
Dimanche 22 décembre 2024 : 6842 concerts, 27255 chroniques de concert, 5420 critiques d'album.

Chronique de Concert

Cowboys From Outer Space + Ich Bin Dead

Cowboys From Outer Space + Ich Bin Dead en concert

Poste à Galène - Marseille 19 décembre 2009

Critique écrite le par

" Les Cowboys Viennent de Mars, et les Cowgirls, de l'HyperEspace... (Comme chacun sait !) "
(J'l'aime pas ce titre, faudra que j'en trouve d'autres...)

" Ich Bin Dead (In The 80's !) "
(Qui, qui dit mieux...)


LE problème, avec les " IBD ", c'est que c'" est " un putain de mauvais trip, de genre régressif, qui vous (me ?) pousse à accuser lourdement le poids des années et errances passées... C'est un fait !
Dès les premiers riffs " griffés ", dès les premières nappes de claviers astucieusement placées entre batterie " beat " et râles éructés sur micro, c'est LE retour obligé vers les folles années " rock " du siècle passé ! Le souvenir du Gibus, les échos lointains des très (trop ?) vantées " 80's " passées sous les auspices d'une scène Française ayant eu Bijou, Electric Callas, Stinky Toys, Asphalt Jungle, Diesel, Starshooter, ou Marie et Les Garçons pour nom, et ambitions (ou envies) de légitime prise de pouvoir...

Ich Bin Dead


Impression confirmée/oblitérée, dès les premières tensions vocales en provenance de cordes " blondes " toujours en limite de justesse et de brisures d'Anglais éparpillées partout, partout, partout autour, dans la plus grande tradition et le respect des codes du genre (hexagonal). Impression également renforcée par un " visuel " d'ensemble pétri de suranné : le double port d'un béret " casquette " porté sur petit foulard et Marcel 100% coton, très " tendance " Ménilmuche sur scène (pour lui !) une paire de jambes gainées d'un rouge clinquant, d'une courte jupe sombre évasée - lestée d'une lourde ceinture vintage ! - et d'un t-shirt " CBGB " qui interpelle forcément le neurone " régresseur " (pour " elle "...).

Ich Bin Dead Ich Bin Dead


Vrillée, soudée à son pied de micro en une pose très Debbie " Dirty " Harrie, elle éructe anone ou crucifie de l'envie à tout rompre, s'échinant sans relâche à tout polir arrondir ET conformer à SA vision ; bien décidée qu'elle est à faire de son mieux pour que chaque morceau soit descendu et/ou dompté à la semblance exacte du précédent (ajouté ou minoré de tous ces petits riens qui leurs permettent tour à tour d'exister, se démarquer, ou coexister en monolithique majeur, vis à vis du suivant ET de son suivant immédiat...).

Ich Bin Dead


Devant, en bas, c'est du tendron, du perdreau de l'année ! " Du " qui se lâchait encore en ses couches - fermées maladroitement à l'aide d'élastiques collants situés " là ! Là et là ! Sur le devant... Aussi ! " - il y a peu ! De la peau (sur)tendue qui ne connaît, ni passé (angoisses !) ni angoisse du jour (sous crise financière sévère !) " du " qui se borne tout bonnement à tout accueillir et absorber de la même façon, sans moufter ou juger, disséquer ou comparer. De toutes façons, prenez une blonde de belle facture ! Enserrez-la dans une jupe deux tailles en dessous, dotez-la de deux ou trois détails vestimentaires aguichants de " hauts en bas ! " (ha, ha !) et vous créerez illico presto un parterre de fans transis et soumis du regard et de l'envie (sous commissures de lèvres chargées de bave et inavouables envies d'" ailleurs ", enfin, de " plus près ! ", de " collés-serrés " chargés d'énergie rock brute, de rêves " adolescentesques " indexés sur poignets et marées... Enfin, à condition, tout de même, que le tout prenne de mayonnaise, que cela tienne debout, musicalement, ce qui est le cas ici : " ça " fonctionne même parfois, à donf !

Ich Bin Dead


Mené, sans se la péter, par les embardées électrisantes de Pascal (guitare) et Axelle (chants) soutenu des notes parcimonieuses de Julia (claviers) et installé tout autour sous les rafales d'un ex-Neurotic Swingers déchaîné (Mathieu/batterie) l'ensemble " IBD " parvient à insuffler une réelle ferveur à l'ensemble d'une salle venue une fois de plus en ces lieux pour soutenir et honorer les énergies locales, au travers d'une " sucette " (Lollipop !) qui n'en finit pas de grandir accueillir et proposer... Respect !
(J'aime pas la fin ! Faudra que je la retravaille, le jour où j'en aurais le temps ! Ne serait-ce que pour être à la hauteur de la " leur " : sèche et définitive, décidée et tendue, parfaite et sans retour...).

" Les Cowboys Viennent de l'HyperEspace et... "
(Hé, merde, j'trouve pas la fin marrante et pleine d'inspiration que je croyais, j'verrais " ça " plus tard !).

Cowboys From Outerspace


Dès l'intro, durant laquelle le sémillant Michel (voix/guitares) se plaît à disparaître et apparaître sans cesse (enfermé dans un épais nuage de fumée à même de rendre caduque les antiques accords de Kyoto !) tandis que l'intriguant Bazile (basse) lui, suce aspire et tête du filtre comme un damné en laissant ses doigts tresser du rythme, serré, serré ! On sent que quelque chose, il va passer !
Une entrée en matière menée sous " manque " apparent et féroce appétence, qui déclenche immédiatement un rien de Pogo sur brûlot chez les jeunes pousses en attente - ce qui force tout de go l'admiration des " seniors " en plein trip passéiste versus souvenirs, eux...

Cowboys From Outerspace Cowboys From Outerspace


Une colonie de jeunes " méchés-gominés " qui dodelinent et embardent à tous crins : noyés sous des flots bouillonnants de sueur en provenance directe des aisselles noyées, des tempes qui cognent et lâchent, de la base de nuques en folie qui baignent et " cadensent "...
Le temps que je remarque qu'il utilise une antique guitare de gaucher montée à l'envers à la " Jimi " - sur laquelle il balade nonchalamment un bottleneck luisant, qui crisse de précis ! - me voilà emporté par l'uni-son d'une rythmique carrée dans les coins, en instance de surchauffe avant probable implosion et menace de coulage de bielle définitif ; d'explosion de mollets menée sous assistance survoltée, elle aussi visiblement en manque de ses " locaux " d'hier, venus d'Higher...

Cowboys From Outerspace


L'espace d'un court instant, Michel revient sur la sortie de l'excellent Super Wight, Dark Wight (6e du nom, déjà !) et se risque à parier sur une suite de livraisons futures, sur une promesse d'avenir extensible de l'espace-temps qui ignore visiblement LA loi du marché et les limites de l'âge, avant que d'enchaîner justement sur Super Wight, Dark Wight : morceau inaugural du disque qui renoue avec le fantasme d'un Garage Band 50's bardé d'accords nègres et funky (qui fait suer de nouveau au plus profond des amis présents et passés). Passés maîtres dans l'art délicat du " daté " vigoureux, aptes à bâtir un large et solide pont entre passé et présent, classique et originalité, pastiche et identité, ils imposent une vision des choses qui rassure, à l'heure où les remugles d'un très laid et nauséabond passé s'exfiltrent depuis les poubelles tricolores du passé, sous forme de débat " national " discutable, mené sous (droite) identité et droit du sol (la, si, do !) revisité en lâche MAJEUR ! Il est, de même, toujours rassurant de constater ici, qu'influences diverses, mariages (apparemment) contre-nature, et pluralité de fait, accouchent parfois d'une Marseillanité rêvée, fantasmée, qui mixe au mieux l'ensemble, pour mieux la (re)dessiner...

Cowboys From Outerspace


Tandis qu'il semble hésiter à se lancer, cette fois, la section rythmique, elle - menée de phalange ferme par un Bazile empli de morgue, qui ne dépareillerait pas au sein des désormais mythiques Soprano ! Et...
" Meuh, non... Pas du tout ! Oublie tes mafieux, tes prolos, tes tombeurs de Ritals à la noix, moi, il me fait plutôt penser au " clinquant lamé ahurissant " El Vez ! LE " Mexican Elvis "... D'ailleurs, je le verrais bien entonner You ain't Nothing But A Chihuahua, En El Barrio, ou Quetzatcoatal, plutôt que L'Italiano Vero ou That's Amore ! " (me glisse MON amie, MA partenaire de chaque jour et toujours, MA vie et MA raison d'être, répondant au doux prénom de... Schizophrénie !). Reste, que, Insulaire ou Continental venu d'AmSud, le Bazile tisse une impressionnante rythmique sur-tendue, qui pulse l'ensemble vers les sommets du genre, bien aidé en cela par le jeu technique et plein de sève, du dénommé Mr Henri...

Cowboys From Outerspace


" I Wake Up This Morning, Blues all around... ", après s'être confronté à l'Albion et à Vince Taylor, c'est du Bayou dont il s'agit désormais : ce légendaire repère de malfrats losers et bouseux bluesmen, empli de longue d'une moiteur estampillée " Delta " qui sied on ne peut mieux aux fantasmes du genre (de type Down By Law Versus Bonne Mère ! ") abordés ici en mode noirceur. Une longue suite de notes triées et tirées, d'envies inassouvies, de pêches nocturnes emplies d'alligators à la dérive, de vils poissons-chats postés en embuscade (toujours prêts à piquer et empoisonner tout ce qui bouge pêche ou menace !).

Cowboys From Outerspace


La tension gagne peu à peu les premiers rangs, désormais, puis en gagne d'autres, grignote de nouveau quelques centimètres supplémentaires, se tend d'extensible pour se frayer enfin un passage jusqu'au fond d'une salle qui respire désormais à LEUR rythme ; une montée en abîme façon cavalcade, qui n'en n'oublie pas pour autant d'arriver à bon port, afin que de soulager un tantinet nos systèmes nerveux grandement sollicités, nos systèmes pileux inondés, et... Voici Mr and Mrs Smith, qui déboule sans prévenir ! Un décalage malin du fameux What A Difference Does It Makes (The Smiths) qui s'approprie les fragrances de Johnny (Marr) pour emmener l'hommage bien au-delà de ce qu'il peut être, pour finir par séduire, au point d'oblitérer l'influence et passer le tout au sein du lourd tamis " serré serré " estampillé " Cowboys ". Un tour de force acclamé, doté d'un court solo sec et tendu qui cisaille bien là où il faut pour que " ça " fasse " mâle "... Et qui fait encore monter le tout de la sauce mayo d'un cran !
Le problème, avec notre trio, c'est qu'à les voir ainsi, pleins de vigueur, de hargne, et de morgue, on en oublierait presque qu'ils sont là depuis très très longtemps : toujours en place, toujours pertinents, ne réapparaissant jamais qu'aux moments opportuns : distillant le miel et le fiel en mode perspicacité, sans tenir jamais compte des vulgaires contraintes, des suites à donner coûte que coûte, des données économiques à respecter sans regimber... Non ! L'heure n'est pas au vulgaire, au produit de rayon, au façonné ! Une authenticité qui leur permet, aujourd'hui encore, de continuer et non pas s'accrocher, de composer et non pas dupliquer, de s'amuser, quoi, en lieu et place de cachetonner...

Cowboys From Outerspace Cowboys From Outerspace


Une fois de plus soutenu par un barrage " basse/batterie " apocalyptique, l'homme Michel peut enfin se lâcher et rappeler à toutes les autres " Six Cordes " de la planète bleue et blanche, qu'il est encore et toujours bien assis au sommet de la chose ; qu'il est l'architecte, le contremaître, le manœuvre ET la petite main (gauche) de son propre son ; qu'il sait encore doser et distiller à bon escient - ou parfois se laisser aller à convoquer de la note sans compter au moment opportun ! - sans cinéma, ni pose, ni esbroufe, dédié avant tout chose à SA (leur) cause commune (non, pas " commune ", non, pas " commune ", non, juste, peu fréquente, en fait !).
Toujours concentré, jamais largué, ou, " à côté ", il guide et dessine sans compter. Économe du moulinet, mais prolixe de la pulpe, il a beau faire parfois mine de se perdre, il sait toujours où il va, et nous y conduit tout droit, sans moufter plus haut que son riff...
Comme enfermé de force dans un court rayon d'action (de deux mètres carré, tout au plus) le Bazile promène (lui) sa " gueule " et ses rondes au contact de la houle faite foule, dans la grande tradition des bassistes " unimovibles " du rock.

Cowboys From Outerspace


Dans la foulée d'un album de nouveau au niveau des incontournables Choke Full Of et Space-O-Phonics Aliens, le trio revient à point nommé pour reprendre SA place. Irremplaçables sur la nôtre, ils mériteraient également de botter le cul - devant Manœuvre, témoin ! - des brinquebalants BB Brunes, Shades ou Second Sex ; démontrant, par la même, que si la qualité suffisait à pousser sous les feux de l'actualité, ça se saurait, putain, ça se saurait... Ce que tout le monde semble avoir compris/admis ici durant Dancin' Machine, par contre - " enfumés du bocal du dessus " exceptés, qui continuent, eux, à blablater et se farcir le poumon sans relâche : sourd et niais aux appels répétés du parterre en folie : qui se frotte et s'affronte, qui s'échauffe et se brûle, qui se bile et s'assèche, qui tempête et (se fait digue qui) cède sous les diverses vagues d'assaut des maîtres du genre (d'un genre, au moins, le LEUR !).
Bonne nouvelle, la relève occupe l'ensemble des premiers rangs : bien résolue à faire passer le mot et distiller la bonne parole tout autour. Contrairement aux prophétiques (pathétiques ?) deux derniers présidents tricolores - l'un affirmait pouvoir se " baigner dans la Seine en l'an 2000 ! ", tandis que l'autre se targuait de pouvoir éradiquer les pauvres et sans abri avant... Deux ans en arrière ! ! ! - les Garçons-Vachers de L'Hyper Espace, seront encore là en 2023 et l'affirment céans, devant témoins complices ! Ils sont taillés pour rester avancer coloniser et perdurer quoi qu'il arrive, c'est écrit ! C'est même (contre)signé et assumé, pour peu que le grand Architecte du Rock leur prête l'eau-de-vie et l'ADN nécessaire à toute grande traversée humaine qui se respecte !

Cowboys From Outerspace


Sur scène, " ça " ne cessera plus de monter, et monter, et monter, et monter, et monter, et monter, et monter, et monter, et monter, et monter, et monter, et monter, et... Monter ! De confiner au sauvage, au " tigresque ", à l'oubli, à la folie ! Une ultime montée en forme de pinacle, d'apothéose, d'explosion : distillatrice de folie assumée et d'au-delà à portée, qui nous dessine finalement, à tous et toutes, le plus niais des sourires, l'envie d'y re-tremper ses frusques au plus vite...

(Rien à faire, y'a rien qui vient côté " titres ", aujourd'hui... C'est la lose ! ! !).



Cowboys from Outerspace : les dernières chroniques concerts

Soirée de soutien au Lollipop Music Store : Jules Henriel, Lodi Gunz, Cowboys from Outerspace en concert

Soirée de soutien au Lollipop Music Store : Jules Henriel, Lodi Gunz, Cowboys from Outerspace par Philippe
L'Intermédiaire, Marseille, le 25/11/2023
Nan mais franchement, vraiment, quelle bande de pleureuses que ces deux lascars-là, Paul Milhaud et Stéphane Signoret ! Ca fait, quoi, 17 ans à peine, genre 6 200 jours, en tout... La suite

Karim Tobbi & Michel Basly + DJ Maki  en concert

Karim Tobbi & Michel Basly + DJ Maki par odliz
Maison De Baecque, Marseille, le 09/01/2020
À évènement exceptionnel, concert de standing. Quand une maison des ventes organise la vente de 515 guitares d'un seul et même collectionneur, il lui faut un fameux coup de... La suite

Release Party du livre Histoire du Rock à Marseille, Vol.2 avec De la Crau feat. Nicolas Dick + Screamin' Jungle + Oh Wee + Neurotic Swingers + Parade (Vendredi) / Elektrolux + Conger! Conger! + Cowboys from Outerspace + Venus as a Boy en concert

Release Party du livre Histoire du Rock à Marseille, Vol.2 avec De la Crau feat. Nicolas Dick + Screamin' Jungle + Oh Wee + Neurotic Swingers + Parade (Vendredi) / Elektrolux + Conger! Conger! + Cowboys from Outerspace + Venus as a Boy par odliz
Le Makeda, Marseille, le 30/11/2019
Deux mois après la Rue du Rock, Phocea Rocks remet le couvert, sauf que cette fois-ci, on laisse la sono branchée le temps d'un week-end dédié au rock immortel. Histoire de... La suite

Cowboys From Outerspace en concert

Cowboys From Outerspace par Pirlouiiiit
Lollipop Music Store, Marseille, le 27/09/2019
Ayant eu un peu de mal à nous résoudre à enfourcher nos vélos pour remonter vers le Lollipop Music Store (la compagnie et le punch n'y étant surement pas pour rien) lorsque nous... La suite

Ich Bin Dead : les dernières chroniques concerts

Ich Bin Dead + Vaginal Liquid en concert

Ich Bin Dead + Vaginal Liquid par Pirlouiiiit
Machine à Coudre - Marseille, le 20/02/2010
Ce soir Ich Bin Dead fête la sortie de son premier album Angst Rock enregistré sous la houlette de Lucas Trouble et donc sorti sur Nova Express. Pour l'occasion il m'on demandé... La suite

Cowboys from outerspace + Ich Bin Dead en concert

Cowboys from outerspace + Ich Bin Dead par Stephane Sarpaux
Poste à Galène, Marseille, le 19/12/2009
Pour fêter la sortie de leur 6e album, "Super wight, Dark wight", les Cowboys from outerspace ont investi samedi soir le Poste à Galène. En première partie, ils avaient invité... La suite

Ich Bin Dead + The A-Phones en concert

Ich Bin Dead + The A-Phones par Philippe
La Machine à Coudre, Marseille, le 24/04/2009
Le marathon rock de la semaine commencé en compagnie, qui de Kid Congo, qui du Legendary Tiger Man, se continue en réconciliant ce soir les factions dissidentes autour du nouveau... La suite

Ich Bin Dead (vernissage expo Live in Marseille - retrospective 2007) en concert

Ich Bin Dead (vernissage expo Live in Marseille - retrospective 2007) par Pirlouiiiit
Lollipop Music Store - Marseille, le 06/02/2008
Peut on décemment faire une chronique de concert 5 ans après qu'il ait eu lieu ? Je ne sais pas mais je ne resiste pas à la tentation d'écrire quelques lignes sur le showcase de... La suite

Poste à Galène - Marseille : les dernières chroniques concerts

Feldup  en concert

Feldup par Pirlouiiiit
Makeda, Marseille, le 27/09/2024
Ce soir j'étais invité chez des potes qui habitent juste derrière le Poste à Galène. Ça tombait bien car j'avais justement envie de découvrir ce Feldup présenté comme un youtubeur... La suite

The House Of Love en concert

The House Of Love par G Borgogno
Le Makeda, Marseille, le 23/09/2024
LA MAISON DE L'AMOUR.Où étiez vous le 13 février 1993 ? Personnellement nous étions au Théâtre du Moulin pour le premier concert marseillais de Guy Chadwick et les siens. House Of... La suite

The Echo Festival : Mary Lattimore, Tropical Fuck Storm, HTRK, Slow Pulp, Astrel K en concert

The Echo Festival : Mary Lattimore, Tropical Fuck Storm, HTRK, Slow Pulp, Astrel K par Sami
Theatre de l'oeuvre, Makeda, Marseille, le 31/05/2024
Un nouveau festival à Marseille avec du rock indé dedans, en voilà une bonne nouvelle après des années de vaches maigresDepuis l'arrêt du regretté B-Side, les formations... La suite

Howlin Jaws (+ Pleasures) en concert

Howlin Jaws (+ Pleasures) par Philippe
Le Makeda, Marseille, le 30/05/2024
Le Makeda, long time no see ! Depuis qu'il n'est plus le Poste à Galène, avouons qu'on ne vient plus beaucoup dans ce joli club où on a pourtant vu tant de belles choses. Leur... La suite