Accueil Chronique de concert (My) This Is Not A Love Song (TINALS) Festival 2016 : Daddy Long Legs, Ty Segall & The Muggers, The Mystery Lights (+ Destroyer, Explosions in the Sky)...
Jeudi 26 décembre 2024 : 6828 concerts, 27255 chroniques de concert, 5421 critiques d'album.

Chronique de Concert

(My) This Is Not A Love Song (TINALS) Festival 2016 : Daddy Long Legs, Ty Segall & The Muggers, The Mystery Lights (+ Destroyer, Explosions in the Sky)...

(My) This Is Not A Love Song (TINALS) Festival 2016 : Daddy Long Legs, Ty Segall & The Muggers, The Mystery Lights (+ Destroyer, Explosions in the Sky)... en concert

Paloma, Nîmes 3 juin 2016

Critique écrite le par


Deuxième venue, toujours plutôt touristique et donc un brin désinvolte, à la merveilleuse Paloma de Nîmes pour saluer son This Is Not A Love Song Festival 2016, après un délicieux premier passage en 2015. On pourrait évidemment refaire la visite ici, et réexpliquer longuement pourquoi cet endroit est pratiquement merveilleux, d'autant qu'à quelques détails près il n'a pas trop changé - on voudra donc bien se référer si besoin à la chronique de l'année passée pour nous éviter les redites ! Année passée où j'avais rapidement compris qu'il faudrait absolument revenir à Paloma avec femme et enfant, dont acte : cette fois-ci on est là tous les trois, avec casque et appareil à bulles !


L'organisation du désormais bien installé TINALS a en effet prévu la possibilité que devant un tel endroit en plein air, sécurisé et joli, avec des concerts intéressants y compris tôt dans la soirée, avec les divers jouets et ateliers proposés aux petits et grands, on puisse avoir l'idée (du coup pas si étrange) d'amener un minuscule (surtout s'il a déjà survécu à une journée à Rock en Seine, jauge 5 à 6 fois plus grande ...). Précisons que pour eux, les Mini-Mees, TINALS c'est GRATUIT sur simple inscription et qu'un casque anti-bruit peut même être fourni aux parents distraits ! On pourrait aussi redire en détail pourquoi on aime ce festival, mais cet exemple n'est-il pas suffisant ? Comme n'importe qui, Céline et Joshua sont rapidement conquis par l'endroit, ses intérieurs charmants et chics, sa décoration plaisante, ses extérieurs jolis et accueillants, et son personnel aussi débordé que sympathique...


Evidemment quand on apprend à l'accueil (toujours charmant, l'accueil, on est même venus nous chercher pour nous éviter de faire la grande queue des pass 3 jours !), quand le petit apprend à l'accueil donc, que personne ne vend de glaces, il est si scandalisé (et à juste titre !) qu'on frôle quand même l'incident diplomatique. Ca va pour cette fois mais l'an prochain, gare, des food trucks vont être renversés (et prenez de la mayonnaise, aussi, c'est un conseil !) Soulagé et réhydraté/réhoublonné, on acquiert en tout cas rapidement la tranquille certitude que ça valait le coup de presque imploser de rage il y a une heure, coincé pendant des plombes sur la rocade d'Avignon (une ville absolument ignoble pour tout ce qui est situé en dehors de ses murs historiques, soit dit en passant), pour revenir ici, mal conseillé par un GPS qui aurait mérité un procès (et un lancer contondant) pour l'ensemble de ses mauvais choix...


Et même si on ne verra/entendra que les 3 dernières chansons de Daddy Long Legs, blues rock à harmonica super sympa qui s'ébroue à trois, joliment habillés, sur la petite scène "Mosquito" réaménagée en nettement plus grand que l'an passé. Leur blues folk festif avec une touche de punk braillard, façon Left Lane Cruisers, est évidemment un genre aussi basique que joyeusement inépuisable, parfaitement adapté à faire se trémousser des gens rigolards, leur faisant secouer la tête jusqu'à ce qu'ils renversent une partie de leur joli gobelet sur le paletot du voisin de devant. Bref c'est chouette et à revoir prochainement ! Tout comme à l'occasion les Dilly Dally, enfermées à une heure où tout le monde ici a envie d'être dehors et qu'on a donc seulement aperçu.e.s quelques instants...


On arrive donc très vite à l'heure de celui qui, à lui seul, nous emmènerait n'importe où, ce bon jeune Ty Segall et son groupe du moment, les & the Muggers - des soit-disant casseurs de gueule qu'on imagine mal réussir à faire du mal à autre chose qu'à une mouche. D'entrée il réaffirme un joyeux mauvais goût en fracassant ce qui est pourtant un de mes adages préférés du bon goût rock, et qui se formule à peu près ainsi : "If somebody wears a suit on stage, everybody does !". Car si certains de ses collègues sont en costard, lui est en en bleu de travail. Tout comme l'un de ses guitaristes, en orange intégral avec casquette en fourrure incluse, une sorte de sosie de Sebastien Tellier dont les yeux vous piquent presque à le regarder...


Ty Segall semble être frustré d'avoir si peu de cheveux à agiter, et aggrave son cas en mettant temporairement un masque de psychopathe chauve en latex - son nouveau meilleur ami si l'on en croit l'ensemble de ses visuels récents. Le prêterait-il pour la photo à un candidat au mariage - puisque c'est possible aujourd'hui au stand d'à côté et avec un Elvis en costume, au Las Tinals ? Si son dernier album sonne plus foutraque et plus pop que les précédents (Squealer Two), il contient aussi de belles tranches heavy (efficace Diversion), et au moins un tube total, Candy Sam qu'on écoute en trépignant, tout en contemplant le petit qui fait toujours des bulles... mais en sautillant !


La plupart des fins de morceaux sont quand même plus freestyle que celles du très précis Manipulator, ou même de son merveilleux side project garage, le trio Fuzz... Et de même la voix de Ty Segall semble plutôt en mode relax : il braille joyeusement sans toujours essayer d'être juste et agréable à l'oreille, et passe même le micro à un compère ("My therapist !") pour une diversion crooner. Au final ce groupe, cet album et cette tournée semblent être une sorte de récré pour Ty Segall, puisqu'il y est peut-être moins impliqué et moins exposé que d'habitude. Mais qu'à cela ne tienne, avec lui on est toujours bien, même en récré ! Cela dit Joshua se sent tout de même autorisé à aller fabriquer quelques origamis avec sa maman, un peu plus loin sous une tente. Ben quoi, si tout le monde joue et s'amuse sur scène, hein ?...


Deja-vu en mode solo, puis en mode Fuzz, sur deux dates déjà très différentes, le show de ce jour de Mr Segall était encore une troisième chose : à l'instar de son mentor John Dwyer, il fait décidément partie des artistes à suivre de près puisque tous les 6 mois, ils sont déjà partis ailleurs ! Quoi qu'il en soit et pour ne pas désarçonner ses fans plus que de raison, ni laisser au placard ses propres tubes (ce qui serait vraiment gâcher !), il finit le set par la merveilleuse Manipulator et, enchaînée au bout d'un mini-boeuf, l'extraordinairement jouissive Feel, qui déclenche évidemment un joli pogo amical devant lui ! De quoi ressortir bavant et hilare de ce concert, où contrairement à l'habitude on a pu vraiment, mais vraiment s'approcher de lui. Et de savoir que son minot de 4 ans a pu voir, à 5 mètres à peine, l'un des plus grands cadors du rock US actuel, c'est peut-être un détail pour vous, mais pour nous ça veut dire beaucoup !


On repart en goguette mais encore une fois, il fait trop bon dehors pour rester plus longtemps que quelques minutes dans la "huuuuuuge venue", au concert de Destroyer, un gentil crooner qui semble n'avoir pas (ou pas encore ?) su choisir entre Lou Reed et David Bowie, les imitant tour à tour sans en avoir vraiment la flamboyance, et encore moins les looks pointus. Joli mais pas captivant donc (ou alors, c'est possible, on est pas passés au bon moment), on s'esquive rapidement. On attrapera en passant (et tout au même camion !) une bonne salade thaïe, un sandwich espagnol marrant et bon et des frites maison, pour le plus grand bonheur du petit qui ne conçoit certes pas une soirée de fêtes sans elles.


Avant de rejoindre The Mystery Lights, un groupe autrement plus fun, qui enchaîne et allie joyeusement proto-punk 60's pétaradant et soul vibrionnante, le tout agrémenté de quelques saillies rock'n'roll heavy décomplexées. Très chevelus, très en joie, ils nous font passer un très agréable moment avec leurs compositions variées, s'approchant aussi bien d'Alabama Shakes que, pour un final vraiment enthousiasmant, de Led Zeppelin ! Finissant dans un triomphe mérité - ils sont chauds comme un food-truck à churros, un groupe à réécouter sans fautes ! C'est marrant, on croit souvent qu'on ne pourra plus jamais découvrir un groupe de jeunes cons qui réussisse à nous envoyer vraiment en l'air, et on en trouve quand même toujours de nouveaux, plus beaux, plus sympas et plus talentueux que les précédents - et pourtant en 2016, ces petits saligauds seront bientôt nés... un siècle après nous !


A ce stade, notre soirée ici est amplement faite et notre venue justifiée, d'autant qu'il est l'heure où les parents responsables couchent (paraît-il) leurs enfants, au lieu de papoter dehors avec une bière et une clope, et avec l'aimable Fred Nevchehirlian ! Quelques minutes à Explosions in the Sky nous suffiront donc à en comprendre le concept : post-rock instrumental, évidemment c'est très beau, et évidemment ça ressemble (comme toujours) à Mogwaï (puisque Mogwaï a épuisé ce style...). Une fois qu'il s'est assuré que la caméra-grue l'a bien filmé plein cadre (... on peut le vérifier en replay du concert ici-même à 6'30" !), le petit consent donc à rentrer à la maison, en partant à près de 22 heures. Alors bien sûr, plus tard dans la soirée, il y avait à revoir des groupes à sensation bien connues et déjà éprouvées sur scène, comme les very strange Battles ou les généralement jouissifs Foals, mais peu importe : nous repartons satisfaits et presque euphoriques, laissant là quelques milliers de bienheureuses personnes profiter de la douceur de la nuit qui commence !


Bravo, TINALS, Paloma, we'll be back ! Merci pour l'invitation pour les kids et longue vie à vous - on arrivera bien à venir voir un concert un soir dans les intérieurs splendides aussi ! Mais sachez quand même qu'au prochain TINALS, et seulement si on y est forcés (mais oui, c'est une menace !) on fera une manifestation devant le stand information du festival : "I scream, You scream, We scream for Ice Cream !...". Ah, mais.




This Is Not A Love Song Festival : les dernières chroniques concerts

Prettiest Eyes (This Is Not A Love Song Festival - TINALS 2019) en concert

Prettiest Eyes (This Is Not A Love Song Festival - TINALS 2019) par Pierre Andrieu
Paloma, Nîmes, le 01/06/2019
Samedi 1er juin, minuit, Nîmes, la dernière journée de TINALS 2019 touche à sa fin et l'on commence à être passablement chaud (on vient de s'enquiller cul sec Fontaines... La suite

Warm Drag (This Is Not A Love Song Festival - TINALS 2019) en concert

Warm Drag (This Is Not A Love Song Festival - TINALS 2019) par Pierre Andrieu
Paloma, Nîmes, le 01/06/2019
Bien mis en jambes par le set explosif de Fontaines D.C., qui lance parfaitement le dernier jour de TINALS sur la scène extérieure Mosquito, on arrive à température idéale... La suite

Low (This Is Not A Love Song Festival - TINALS 2019) en concert

Low (This Is Not A Love Song Festival - TINALS 2019) par Pierre Andrieu
Paloma, Nîmes, le 01/06/2019
Au milieu d'une programmation de haut vol lors du dernier jour de TINALS (Fontaines D.C., Warm Drag, Rendez-Vous, Shame, Prettiest Eyes et Johnny Mafia), le cultissime... La suite

Fontaines D.C. (This Is Not A Love Song Festival - TINALS 2019) en concert

Fontaines D.C. (This Is Not A Love Song Festival - TINALS 2019) par Pierre Andrieu
Paloma, Nîmes, le 01/06/2019
Déjà vu en pleine possession de ses moyens à La Coopé en octobre 2018, c'est à dire bien en amont de la sortie de "Dogrel", son premier album en forme de gifle indie rock... La suite

Daddy Long Legs : les dernières chroniques concerts

Shellac, Ty Segall & The Muggers, Dinosaur Jr, Algiers, The Mystery Lights, Nots, Metz, Cavern Of Anti-Matter, Quetzal Snakes, Parquet Courts, Girl Band, Dirty Fences, Steve Gunn, Daddy Long Legs, Dilly Dally (This Is Not A Love Song Festival 2016) en concert

Shellac, Ty Segall & The Muggers, Dinosaur Jr, Algiers, The Mystery Lights, Nots, Metz, Cavern Of Anti-Matter, Quetzal Snakes, Parquet Courts, Girl Band, Dirty Fences, Steve Gunn, Daddy Long Legs, Dilly Dally (This Is Not A Love Song Festival 2016) par Pierre Andrieu
Paloma, Nîmes, le 05/06/2016
Prog démente, site impeccable (superbe salle, jardin éphémère avec deux scènes extérieures bucoliques), soleil garanti, tarifs modérés, le This Is Not A Love Song Festival,... La suite

Explosions in the Sky : les dernières chroniques concerts

(mes) Eurockéennes 2017, 1/2 : Thomas Azier, Johnny Mafia, Rei, HMLTD, Killason, Meatbodies, Explosions in the Sky, Dropkick Murphys, Vitalic, Justice en concert

(mes) Eurockéennes 2017, 1/2 : Thomas Azier, Johnny Mafia, Rei, HMLTD, Killason, Meatbodies, Explosions in the Sky, Dropkick Murphys, Vitalic, Justice par Philippe
Presqu'île du Malsaucy, Evette Salbert, le 08/07/2017
Devenir un vieil Eurockéen ? Ce n'est pas être vieux et aller encore au festival, non, c'est juste faire le constat que d'y aller pour la 24 ième p...n d'année d'affilée, donne... La suite

EZ3KIEL / DAAU / DJ ZEBRA / LES GEORGES LENINGRAD / EXPLOSIONS IN THE SKY / I MONSTER par Cadfael 58
Printemps de Bourges, le 20/04/2004
Une bonne idée que ces 2 salles accolées entre elles par 2 bars. *Au 22 ouest, la plus grande des 2, se sont succédés et mêmes mélangés DAAU et EZ3KIEL. DAAU, une formation étrange (accordéon, violon, clarinette etc...) qui joue une musique étrange : une vrai bande originale de film aux atmosphères doucement yiddish. Les 3 membres d'EZ3KIEL... La suite

Explosions in the sky par silver mount zion
Guinguette Pirate, Paris , le 22/09/2002
"thank you for comming to this rock show, we are Eplosions in the sky from Austin Texas", voilà comment le groupe est entré sur scène et voilà les seules paroles qu'il prononcera dans le micro... Ensuite, les premières notes de "greet death" retentissent, ils jouent fort, ils jouent bien. Le concert va durer plus d'une heure sans coupure... Le... La suite

The Mystery Lights : les dernières chroniques concerts

The Mystery Lights + Rod Hamdallah (Les Nuits de l'Alligator 2020) en concert

The Mystery Lights + Rod Hamdallah (Les Nuits de l'Alligator 2020) par Pierre Andrieu
La Coopérative de mai, Clermont-Ferrand, le 13/02/2020
Animée chaque année par les efforts de moult cadors rock 'n roll blues, la caravane du festival itinérant Les Nuits de l'Alligator passe une nouvelle fois par La Coopé en ce... La suite

The Mystery Lights en concert

The Mystery Lights par Pierre Andrieu
La Coopérative de mai, Clermont-Ferrand, le 13/02/2017
Avec leur rock garage magistralement teinté de rhythm & blues, les Mystery Lights nous avaient joliment troué le cul au This Is Not A Love Song Festival de Nîmes en juin 2016,... La suite

Shellac, Ty Segall & The Muggers, Dinosaur Jr, Algiers, The Mystery Lights, Nots, Metz, Cavern Of Anti-Matter, Quetzal Snakes, Parquet Courts, Girl Band, Dirty Fences, Steve Gunn, Daddy Long Legs, Dilly Dally (This Is Not A Love Song Festival 2016) en concert

Shellac, Ty Segall & The Muggers, Dinosaur Jr, Algiers, The Mystery Lights, Nots, Metz, Cavern Of Anti-Matter, Quetzal Snakes, Parquet Courts, Girl Band, Dirty Fences, Steve Gunn, Daddy Long Legs, Dilly Dally (This Is Not A Love Song Festival 2016) par Pierre Andrieu
Paloma, Nîmes, le 05/06/2016
Prog démente, site impeccable (superbe salle, jardin éphémère avec deux scènes extérieures bucoliques), soleil garanti, tarifs modérés, le This Is Not A Love Song Festival,... La suite

Ty Segall : les dernières chroniques concerts

Fat White Family, Beak>, Tess Parks, Ditz, Ty Segall, Big Joanie, Vanishing Twin, PVA, Wu-Lu (La Route du Rock Collection Eté 2022) en concert

Fat White Family, Beak>, Tess Parks, Ditz, Ty Segall, Big Joanie, Vanishing Twin, PVA, Wu-Lu (La Route du Rock Collection Eté 2022) par Pierre Andrieu
Fort de Saint-Père, près de Saint-Malo, le 20/08/2022
Dernière journée épique à Saint-Malo pour La Route du Rock avec moult concerts incroyables de 16h à 2h du matin pour fêter une dernière fois les 30 ans du festival : Fat White... La suite

Ty Segall And The Freedom Band en concert

Ty Segall And The Freedom Band par Samuel C
La Cigale - Paris, le 10/10/2019
Ty Segall a investi La Cigale les 9 et 10 octobre. Il arrive sur scène à 20h30 avec sa tenue habituelle, soit un croisement entre le bleu de travail et la combinaison réalisée... La suite

Interview de Ty Segall à l'occasion de la sortie de l'album <i>Joy</i>, enregistré en duo avec White Fence en concert

Interview de Ty Segall à l'occasion de la sortie de l'album Joy, enregistré en duo avec White Fence par Pierre Andrieu
Paloma, Nîmes, le 20/07/2018
De passage au This Is Not A Love Song Festival pour promouvoir l'excellent album "Freedom's Goblin" avec un concert flamboyant sur la grande scène plantée devant la salle de... La suite

Ty Segall And The Freedom Band + Mike Donovan en concert

Ty Segall And The Freedom Band + Mike Donovan par Lebonair
Le Bataclan - Paris, le 14/06/2018
Parmi nos chouchous à Concertandco depuis quelques années, on retrouve naturellement le jeune Californien Ty Segall. Le chanteur, guitariste, batteur, multi-instrumentiste ultra... La suite

Paloma, Nîmes : les dernières chroniques concerts

Ibeyi + Yellow Straps  en concert

Ibeyi + Yellow Straps par Lionel Degiovanni
Paloma, Nîmes, le 26/11/2022
Ce soir, retour à Paloma pour le duo Ibey, que j'ai vu à ses débuts. En attendant de les retrouver, je découvre la première partie qui est assurée par Yellow Straps. Yellow... La suite

Julien Granel & Miel de montagne en concert

Julien Granel & Miel de montagne par Lionel Degiovanni
Paloma, Nîmes, le 27/10/2022
Retour à Paloma (Nîmes) pour revoir Julien Granel, un artiste que j'avais croisé cet été lors d'un festival. Avant de le retrouver, je découvre en première partie le groupe Miel de... La suite

Phoenix en concert

Phoenix par Lionel Degiovanni
Paloma, Nîmes, le 01/06/2022
Ce soir-là, retour sur Nîmes pour aller revoir un groupe bien français qui chante exclusivement en anglais, il s'agit de Phoenix, qui revient avec un nouvel album tout frais... La suite

Blumi + The Divine Comedy en concert

Blumi + The Divine Comedy par Philippe
Paloma, Nîmes, le 19/03/2022
Retour enchanteur à la salle Paloma de Nîmes, ce samedi soir, où l'on était pas revenus - hélas - depuis le merveilleux festival TINALS en 2019. Festival dont on est toujours... La suite