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Chronique de concert David Berkeley + Cousteau
Mercredi 18 décembre 2024 : 6775 concerts, 27251 chroniques de concert, 5420 critiques d'album.
Chronique de Concert
David Berkeley + Cousteau
Cela faisait longtemps que je ne m'étais pas laisse attire a un concert par le seul nom et visuel de la pochette. On a donc décide d'y aller Nico, Alix , Olivier et moi. Seul Nico avait entendu une chanson sur FIP ... Apres avoir manger au Café Portal nous sommes arrive au milieu du deuxième groupe ... il faut dire que le service avait été relativement long ... heureusement que c'était bon. Donc rate Elefant et la premier moite du set de David Berkeley.
Sur scène David Berkeley joue de la guitare sèche. Il est accompagne de 4 musiciens jouant respectivement de la mandoline, guitare, basse et batterie. En dehors d'un morceau compose et en partie chante par le bassiste (Tyler Gibbons), tout est de Berkeley. Il s'agit d'un mélange de folk, rock et de country (ça c'est l'effet mandoline). Physiquement il avait un petit cote anglais (a la Damon Albarn de Blur mais en brun). Au niveau de la voix, après l'avoir eu un bon moment au bout de la langue j'ai fini par mettre le doigt dessus .. ce gars a la même voix que Grant Lee Philipps (ex leader désormais solo de Grant Lee Buffalo), cette ressemblance étant renforcée par certains arrangement.
Un petit cote Smog indéniable aussi, sans tout le cote dépressif et noir (David lui sourit !).
Parmi les temps fort, un solo de mandoline et juste après a un solo de guitare tous les deux mémorables qui ont vraiment file la pêche a tout le monde !
A la fin je n'ai pas pu m'empêcher d'acheter son premier album intitule The confluence (le second est en préparation) qui en le réécoutant (très bon quoi que plus calme que sur scène) je repense aussi a Cat Stevens ainsi qu'a Tracy Chapman. Plus d'infos sur ce groupe dont j'espère nous entendrons parler bientôt en France (il a deja une chronique le cri des Coyotes) sur son site : https://www.davidberkeley.com
Vint ensuite le tour de Cousteau ... comme a l'accoutumée les rangs se sont resserrés vers le devant de la scène et il va falloir a nouveau jouer des coudes pour rendre des photos de pas trop loin ...
Les musiciens prennent place. Ils sont au nombre de 5 basse, batterie, clavier, guitare et au centre un chanteur imposant les cheveux gomines, veste noir sur une chemise orange ouverte sur un t-shirt noir et un pendentif argente ... ses doigts et oreilles sont ornes de bagues et boucles d'oreilles, son poignet d'une grosse gourmette comme je pensais que seuls les marseillais étaient capables d'en porter une fois leurs 15eme anniversaire passe ... ouille ouille ouille. Passons.
Ca commence en douceur, une chanson de crooner, douce, langoureuse accompagne par les lents déplacements du chanteur qui pose un peu a mon goût. Le premier nom qui me vient a l'esprit en l'écoutant est Perry Black (et donc un peu Jay Jay Johanson sans le second degré) puis un peu après Elton Jon. A vrai dire je n'accroche pas vraiment et préférais le groupe juste avant. En fait je suis un peu bloque par le cote visuel de la prestation du groupe ... autant a la maison sur ma chaîne (enfin mon petit lecteur CD actuellement) je peux imaginer que j'apprécierais selon la circonstance ces chanson très easy listenning, autant la debout dans une salle j'ai un peu de mal.
Il y a des moments ou la sauce prend, ou le tout sonne bien mais globalement je trouve cela un peu trop répétitif et surtout trop "love" pour moi ... surtout que je n'ai plus personne a prendre dans mes bras ou a qui penser dans ces moments la ... bref pas top, peut être qu'avec un ou deux morceaux pechus au milieu ... Je ne dois pas être le seul a avoir cette impression car la salle me parait se vider petit a petit ... nous restons tout de même notamment car Nico veut a tout pris nous faire entendre la chanson (After the fall) qui passe sur FIP ...
Ce qui m'a ensuite acheve c'est lorsque le chanteur a fini par enlever sa veste revelant que la chemise était en fait une chemisette aux manches retroussées (ou est le paquet de clopes ?) découvrant des gros bisceps de mec qui fait de la muscu, un bras couvert de tatouages. Too much for me, trop de contraste entre l'apparence et le genre musical ...
Je tiens pour finir a préciser que bien que la salle se soit un peu vidée le groupe a eu quand même le droit a 2 rappels (Olivier venait juste de me dire que les rappels étaient plutôt rare ici) ... au cours desquels nous n'avons même pas eu le droit a After the fall ... a moins que Nico ne l'ait pas reconnue ?
Sur scène David Berkeley joue de la guitare sèche. Il est accompagne de 4 musiciens jouant respectivement de la mandoline, guitare, basse et batterie. En dehors d'un morceau compose et en partie chante par le bassiste (Tyler Gibbons), tout est de Berkeley. Il s'agit d'un mélange de folk, rock et de country (ça c'est l'effet mandoline). Physiquement il avait un petit cote anglais (a la Damon Albarn de Blur mais en brun). Au niveau de la voix, après l'avoir eu un bon moment au bout de la langue j'ai fini par mettre le doigt dessus .. ce gars a la même voix que Grant Lee Philipps (ex leader désormais solo de Grant Lee Buffalo), cette ressemblance étant renforcée par certains arrangement.
Un petit cote Smog indéniable aussi, sans tout le cote dépressif et noir (David lui sourit !).
Parmi les temps fort, un solo de mandoline et juste après a un solo de guitare tous les deux mémorables qui ont vraiment file la pêche a tout le monde !
A la fin je n'ai pas pu m'empêcher d'acheter son premier album intitule The confluence (le second est en préparation) qui en le réécoutant (très bon quoi que plus calme que sur scène) je repense aussi a Cat Stevens ainsi qu'a Tracy Chapman. Plus d'infos sur ce groupe dont j'espère nous entendrons parler bientôt en France (il a deja une chronique le cri des Coyotes) sur son site : https://www.davidberkeley.com
Vint ensuite le tour de Cousteau ... comme a l'accoutumée les rangs se sont resserrés vers le devant de la scène et il va falloir a nouveau jouer des coudes pour rendre des photos de pas trop loin ...
Les musiciens prennent place. Ils sont au nombre de 5 basse, batterie, clavier, guitare et au centre un chanteur imposant les cheveux gomines, veste noir sur une chemise orange ouverte sur un t-shirt noir et un pendentif argente ... ses doigts et oreilles sont ornes de bagues et boucles d'oreilles, son poignet d'une grosse gourmette comme je pensais que seuls les marseillais étaient capables d'en porter une fois leurs 15eme anniversaire passe ... ouille ouille ouille. Passons.
Ca commence en douceur, une chanson de crooner, douce, langoureuse accompagne par les lents déplacements du chanteur qui pose un peu a mon goût. Le premier nom qui me vient a l'esprit en l'écoutant est Perry Black (et donc un peu Jay Jay Johanson sans le second degré) puis un peu après Elton Jon. A vrai dire je n'accroche pas vraiment et préférais le groupe juste avant. En fait je suis un peu bloque par le cote visuel de la prestation du groupe ... autant a la maison sur ma chaîne (enfin mon petit lecteur CD actuellement) je peux imaginer que j'apprécierais selon la circonstance ces chanson très easy listenning, autant la debout dans une salle j'ai un peu de mal.
Il y a des moments ou la sauce prend, ou le tout sonne bien mais globalement je trouve cela un peu trop répétitif et surtout trop "love" pour moi ... surtout que je n'ai plus personne a prendre dans mes bras ou a qui penser dans ces moments la ... bref pas top, peut être qu'avec un ou deux morceaux pechus au milieu ... Je ne dois pas être le seul a avoir cette impression car la salle me parait se vider petit a petit ... nous restons tout de même notamment car Nico veut a tout pris nous faire entendre la chanson (After the fall) qui passe sur FIP ...
Ce qui m'a ensuite acheve c'est lorsque le chanteur a fini par enlever sa veste revelant que la chemise était en fait une chemisette aux manches retroussées (ou est le paquet de clopes ?) découvrant des gros bisceps de mec qui fait de la muscu, un bras couvert de tatouages. Too much for me, trop de contraste entre l'apparence et le genre musical ...
Je tiens pour finir a préciser que bien que la salle se soit un peu vidée le groupe a eu quand même le droit a 2 rappels (Olivier venait juste de me dire que les rappels étaient plutôt rare ici) ... au cours desquels nous n'avons même pas eu le droit a After the fall ... a moins que Nico ne l'ait pas reconnue ?
Critique écrite le 05 mai 2003 par Pirlouiiiit
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Coopérative de mai - Clermont-Ferrand, le 10/03/2001
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