Accueil Chronique de concert (mes) Eurockéennes 2018, 2/2 : BCUC, Touts, Caroline Rose, At the Drive in, Queens of the Stone Age, Viagra Boys
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Chronique de Concert

(mes) Eurockéennes 2018, 2/2 : BCUC, Touts, Caroline Rose, At the Drive in, Queens of the Stone Age, Viagra Boys

(mes) Eurockéennes 2018, 2/2 : BCUC, Touts, Caroline Rose, At the Drive in, Queens of the Stone Age, Viagra Boys en concert

Presqu'île du Malsaucy, Evette Salbert 7 juillet 2018

Critique écrite le par


Retour en goguette et sans trop de pression, après un délicieux repas entre amis (dont certains ont du repartir élever leurs heureusement adorables enfants), pour un deuxième et dernier jour, toujours sous un soleil radieux et sur une boue qui a presque séché, à Evette-Salbert, la capitale française du rock ... enfin, au moins trois jours par an ! Petit point agaçant, mais compréhensible au vu des pauvres tarés suicidaires qui foulent actuellement la même planète que nous, on est obligés pour des raisons de sécurité sans doute légitimes (mais qui nous échappent quand même un peu) de longer le lac par un tout petit passage et donc, de rater Truckks qui sonnait pourtant très costaud, de loin...


On commence donc ce samedi avec les étonnant Sud-Af' de BCUC, avec un concept fourre-tout qu'on était pas sûrs de bien comprendre avant de les voir : de l'afro punk ! C'est donc ici de la musique d'inspiration africaine, mais boostée par des percussions très virulentes et surtout un chanteur et une chanteuse super-énervés (mais bons interprètes par ailleurs), et portés par des rythmiques nerveuses et prenantes. Il n'y a pas tout à fait assez de monde sous le chapiteau mais la mayonnaise, ou plutôt la sauce gombo, finit par prendre très bien : c'est à la fois dépaysant et super entraînant, donc assez irrésistible pour les gambettes - certains des musiciens du groupe s'offrent même un petit tour de crowdsurfing bien mérité, avant un finale pétaradant et joyeux. Le chanteur remercie chaleureusement le public pour son accueil, et ils sont longuement applaudis en retour : commencer la journée par une petite révélation, on en attendait pas tant !


On rejoint ensuite la très agréable scène Loggia, avec les sympathiques représentants d'un punk rock orthodoxe mais heureusement aussi irish, le trio Touts (prononcer [Toyts], et d'ailleurs ça sonne mieux !). Ca ne donne pas franchement dans l'originalité, c'est juste bête, pas trop méchant et efficace - et donc très plaisant. Certes ça nous rappelle un demi-million de groupes du même jour déjà vus dans des caves humides à Marseille ou ailleurs, mais au moins avec un accent rigolo et une touch irish agréable en plus (à signaler, un bout de ballade irlandaise interprétée presque a capella, avant un titre celtic punk façon Flogginy Molly !). Le groupe, qui déclenche régulièrement des petits pogos de bon aloi, nous gratifiera également d'une reprise déchaînée de Gloria (de leurs glorieux par... grand-parents de Them) : pas de quoi déclencher un Brexit, lads, mais c'est du bon boulot !


"OK, so now I guess it's paup time, lof !"... C'est qu'on a pas franchement le choix musicalement ("Du reggae ou du rap aux Eurocks, vous préférez qu'on vous arrache une dent ou un ongle, monsieur ? Attendez, je réfléchis..."). On s'arrête donc un bon moment dans le très joli bar Eurocks Memories, qui a compilé des photos des 29 éditions précédentes, rassemblé les meilleurs fûts de bière disponibles sur le site (dont une IPA super, qui change agréablement de l'urine de muridé de la marque H......n !), et même un canapé où se serait assis David Bowie lors de son dernier passage ici. Le truc étant squatté par des jeunes gens qu'on aura pas le coeur de déranger, on se console en se disant qu'à un niveau moléculaire, il est très possible qu'on contienne au moins quelques atomes ayant appartenu à David Bowie (et même à Leonard de Vinci ou à Yvette Horner, figurez-vous, si si...)


On se reprend, mais sur la même loggia, avec Caroline Rose. Avouons qu'on se tâtait un peu avec Juliette Armanent mais qu'on ne regrettera jamais ce choix : la très jeune rockeuse au look discutable, habillé en rouge hippie et qui a déployé tout un petit bordel de fanfreluches et peluches sur la scène, va nous torcher un magnifique petit concert de pop-rock punchy, bien composé et bien chantée (possiblement, la bande-son de notre été !). Et en bonus, elle est vraiment très marrante, parlant sans filtre et avec beaucoup d'esprit de son cul et de celui des autres, et de leurs aventures respectives (Jeannie becomes a Mom)... On est régulièrement morts de rire à ses présentations de chansons, tandis qu'elle et son groupe sont ravis de l'accueil reçu à leur deuxième concert en France (le premier semblant avoir été un flop) : donnant, donnant ! Super reprise du Toxic de Britney Spears, en passant, ainsi qu'un petit air de Céline Dion joué à la flute à bec... Fait inédit aux Eurocks et également assez drôle, le groupe finit en vendant ses disques et T-shirts au pied de la scène, au cul du camion - hé, c'est que la vie est dûre pour les aspirants-stars ! Tout ça va bien avec le style un peu désinvolte, mais aussi la musique sacrément efficace de la petite brune et de son groupe mixte, à qui elle n'a pas manqué précédemment de rouler des pelles pendant le show, histoire de poser de bonnes bases...


Sur le prochain créneau, c'est juste totalement WTF pour nous : première tentativs sans trop y croire à Superorganism, un groupe d'une laideur visuelle et auditive effarante, et d'une pauvreté musicale assez consternante (à moins qu'un truc genre conceptuel nous ait complètement échappé ?), devant lequel le public ne semble vraiment pas sauter au plafond, d'ailleurs. Il ne nous faudra que quelques minutes pour détester à l'unanimité ! Cela dit c'est déjà plus que le temps, sans doute encore exprimable en secondes, passé devant le rappeur Damso. Nous ne prétendrons pas avoir un avis autorisé, puisque nous ne vivons pas sur la même planète que les gens qui supportent l'autotune autrement que ligotés, pendus par les pieds à un arbre et avec une pomme coincée dans la bouche... Alors prenons plutôt l'avis d'une connaisseuse de rap (et de la génération suivante) : playback à 70 %, gens qui chantent à sa place à 20 %, et 10 % mal chantés par lui... Le compte est bon, merci Mademoiselle ! Mais il paraît que ce genre d'artistes attire un nouveau public dont le festival a besoin pour faire le plein, alors...


Assez nostalgiques de The Mars Volta, on était tout prêts à s'enflammer pour le rock noisy-expérimental de At the Drive-in, le groupe historique du duo Bixler-Zavala & Rodriguez, mais ce sera une grosse déception. Un son proprement dégueulasse pendant la moitié du concert, où l'on entend que la voix et la batterie, couvrant totalement le reste, dans un style déjà pas facile d'accès... et quelques riffs plaisants enfin distingués en fin de concert, mais quand il est déjà trop tard. Pour une telle débauche d'énergie, et des chansons si complexes, c'est vraiment dommage, car le tout s'avère beaucoup plus épuisant qu'enthousiasmant au final... Heureusement qu'on a aperçu Seasick Steve pendant le concert, se baladant sans façons sur le festival à la veille de son troisième passage ici !


On a une longue histoire d'amour avec Josh Homme & ses Queens of the Stone Age (peut-être bien notre groupe préféré), mais on les a trouvés décevants l'hiver dernier à Bercy, tout comme leur dernier album d'ailleurs... On est quand même curieux de voir, pour notre 8ième rencontre, leur Villains Tour en plein air aux Eurockéennes, où ils sont déjà souvent venus (sauf oubli, en 2005, 2007 et surtout 2011, pour un set fabuleux juste après Motörhead...). S'ils ont apporté de nouveau leurs petits mâts lumineux et sans grand intérêt, et qu'ils entrent toujours sur la musique d'Orange Mécanique, c'est pourtant bien leur meilleur visage qu'ils vont montrer ce soir, Ginger Elvis semblant assez sobre et son groupe, prêt à en découdre. Le tout avec un set de festival, qui force à l'efficacité et en effet, on ne va pas voir passer les 90 minutes...


Seuls petits regrets, pas de piano-voix où la voix de Josh peut vous foutre les poils (The Vampyre...), quelques passages obligés par le dernier album, sympas pour certaines (The way you used to do) mais qu'on aurait bien remplacés par de vieilles bombes (Feel Good Hit... ou Avon, au hasard), un ou deux inamovibles qui font juste perdre du temps (Smooth Sailing, Make it with Chu), ou encore une communication un peu standard entre les morceaux ce soir. Bref des regrets de fan (et donc d'enculeur de mouches, par définition) parce qu'évidemment le concert est globalement ... teigneux, groovy, puissant, sexy, jouissif ! Et qu'on y pogotera joyeusement entre amis à plusieurs reprises, rejoints par des voisins qui ne demandaient que ça. Parce qu'on jouira sans entraves des deux autres tiers de la set-list qui sont évidemment un rêve humide pour aficionados, idéalement encadrés par le riff toxique d'A Song for the Deaf pour entrer et celui de la furieuse A Song for the Dead pour sortir. Personne avec un minimum d'ADN rock'n'roll et/ou stoner (ou simplement de bon sens), ne peut espérer résister à Sick Sick Sick, You think I ain't worth..., No one knows, My God is the Sun, Burn the Witch, If I had a Tail, Little Sister ou encore, Go with the Flow. Retournons son petit compliment au chanteur pour finir, avec l'accent : "We love you so much, mercy bow'coo, motherfuckers !"... Concert capté entièrement par les bienfaiteurs du rock (et du metal) à la télé, Arte !


S'il y a un gang qu'on avait très envie de revoir pour finir, ce sont bien les Viagra Boys, qu'on a découverts et adorés récemment au festival TINALS. Hélas, le concert sera encore plus foutraque ce soir, déjà qu'on en a manqué un bon tiers le temps de s'extirper d'une foule immense entre QOTSA et whoever the fuck qui anonnait un atroce rap bling-bling sous le chapiteau... On arrive donc trop tard pour Liquids et Research Chemicals, leurs meilleurs titres, on se contentera d'I Don't Remember that et quelques autres, chouettes mais pas bouleversantes malgré une section rythmique irréprochable, d'autant que le chanteur semble vraiment très, euh, fatigué... Il se barre d'ailleurs avant la fin, laissant le clavier et le saxo pérorer tandis que le reste du gang est déjà reparti tiser dans les loges. Occasion manquée pour cette fois, espérons qu'on en aura d'autres, car ce groupe de punk 3.0 est quand même très prometteur...


On a toujours apprécié les concerts de Jungle (déjà passés par ici en 2014) mais là, c'est vraiment tard pour des vioques comme nous, on les écoutera donc sur le chemin du retour : les QOTSA à eux seuls ont amplement fait notre samedi ! Et pour cette année, le dimanche se fera sans nous : le très hype Eddy de Pretto nous insupporte quelque peu (rien de personnel !), certes pas autant que le très urticant Liam Gallagher ; on a revu Alice in Chains et même vu Dead Cross (tous deux très bons !) il y a 15 jours au Hellfest, déjà revu beaucoup de fois nos bien-aimés Limiñanas et Seasick Steve... et surtout on aurait pu espérer une tête d'affiche un peu plus rutilante (ou au moins plus originale) que Shaka Ponk pour conclure.


Les désormais 4 jours au lieu de 3 produisent toujours un petit effet de dilution regrettable : moins de concerts par jour, moins de têtes d'affiche (une rumeur avait initialement annoncé le retour de Daft Punk, quand même !) On garde donc la nostalgie de trois journées plus denses (il y a eu jusqu'à 25 concerts par jour, quand même, contre 14 pour ce dimanche, ça commence à se voir, là, les gars...). Mais enfin, nul doute que ce sera malgré tout une journée sympa pour conclure cette édition trentenaire, donc :

Longue Vie aux Eurockéennes !

Photos par : Philippe Boeglin (Ambiance jour, Caroline Rose, Eurocks Memories)

Photos pro par : Brice Robert (BCUC + vignette recadrée, At the Drive-In), Fab Mat (Touts), Christian Ballard (Damso), Eric Munck (Queens of the Stone Age), Jean-Christophe (Viagra Boys/ recadrée pour Concertandco, Ambiance nuit), Mael Joanas (Foule). Merci beaucoup !

Flashback : Chroniques de 24 années passées aux Eurockéennes, soit environ 2 mois entiers : 2017, 2016, 2015, 2014, 2013, 2012, 2011, 2010, 2009, 2008, 2007, 2006, 2005, 2004, 2003.... et les 9 plus anciennes, regroupées en trois parties depuis 1994...


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