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Chronique de concert Festival chorus + les kag + carmen maria vega
Vendredi 27 décembre 2024 : 6823 concerts, 27255 chroniques de concert, 5421 critiques d'album.
Chronique de Concert
Festival chorus + les kag + carmen maria vega
Festival chorus 20ans ,
Les midis du Magic reçoivent aujourd'hui une scène féminine.
Ca commence par les kag (non ça n'est pas vulgaire, ça veut dire espoir en ...)
2 femmes avec des personnalités que tout oppose et qui pourtant, sur scène, forment un duo détonnant et c'est le moins qu'on puisse dire.
Impossible de décrire ce spectacle qu'elles définissent elles même d'opéretto-variéto-pop-punk-yaourtique et je ne peux pas mieux dire.
Ce qu'il y a de bien avec le yaourt c'est que tout le monde est égal face à un tel langage : personne ne comprends rien.
On a donc droit à un délire yaourt allemand suivi de près par le yaourt espagnol. Tout cela ponctué avec un jeu de scène hilarant autant par leurs tenues que par leurs mimiques. Elles se disputent souvent violemment jusqu'à ce que l'une d'entre elle atterrisse dans les bras d'un charmant spectateur pour se faire consoler.
Elles sont tellement attachantes qu'elles feront le tour de la salle en nous embrassant pour le final. Bref un spectacle efficace.
Changement radical de style en accueillant Carmen maria Vega. Le titi parisien, avec son accent criard sous les traits d'une petite piaf.
Elle peut être misogyne, mythomane hypocondriaque, cuistot amoureux, mère bourgeoise et ses textes incisifs nous entraînent dans ses histoires rocambolesques.
Encadrée de 2 cordes, sa personnalité trouve néanmoins sa place entre ces 2 costauds.
Pas étonnant qu'elle soit la révélation chanson du festival.
Les midis du Magic reçoivent aujourd'hui une scène féminine.
Ca commence par les kag (non ça n'est pas vulgaire, ça veut dire espoir en ...)
2 femmes avec des personnalités que tout oppose et qui pourtant, sur scène, forment un duo détonnant et c'est le moins qu'on puisse dire.
Impossible de décrire ce spectacle qu'elles définissent elles même d'opéretto-variéto-pop-punk-yaourtique et je ne peux pas mieux dire.
Ce qu'il y a de bien avec le yaourt c'est que tout le monde est égal face à un tel langage : personne ne comprends rien.
On a donc droit à un délire yaourt allemand suivi de près par le yaourt espagnol. Tout cela ponctué avec un jeu de scène hilarant autant par leurs tenues que par leurs mimiques. Elles se disputent souvent violemment jusqu'à ce que l'une d'entre elle atterrisse dans les bras d'un charmant spectateur pour se faire consoler.
Elles sont tellement attachantes qu'elles feront le tour de la salle en nous embrassant pour le final. Bref un spectacle efficace.
Changement radical de style en accueillant Carmen maria Vega. Le titi parisien, avec son accent criard sous les traits d'une petite piaf.
Elle peut être misogyne, mythomane hypocondriaque, cuistot amoureux, mère bourgeoise et ses textes incisifs nous entraînent dans ses histoires rocambolesques.
Encadrée de 2 cordes, sa personnalité trouve néanmoins sa place entre ces 2 costauds.
Pas étonnant qu'elle soit la révélation chanson du festival.
Critique écrite le 21 avril 2008 par july