Chronique de Concert
My Favorite Horses + Vacarme + Michael Chapman + Sammy Decoster + the Legendary Tigerman + Aufgang + the Soft Moon + Glitter in My Martini (Festival Yeah!)
Aller on rigole plus, après m'être fait la main sur la chronique du premier jour du festival Yeah ! j'attaque le deuxième jour sans notes (en dehors de celles concernant les 2 premiers groupes). Mais avant de parler des groupes, quelques mots sur le cadre. Après nous être couchés un peu tard la veille et donc réveillé tranquillement nous avons profité de la piscine (à toboggan) et du bar de l'hôtel / du camping ainsi que du trampoline (les enfants). Il faisait beau et chaud, l'eau était bonne. Bref un avant-gout de l'été qui semblait enfin là. Après avoir déjeuner au bungalow avec quelques guests nous avons fini par nous mettre en route vers le village.
Trop tard pour la fête pour les enfants dans l'école (dont nous ne verrons que la fin), ayant choisi de commencer par la Fruitière numérique où se tenaient stands de disque et de matos musical ainsi que quelques showcases pas complètement annoncés (le OFF du festival ?) auxquels je ne prendrai pas le temps d'assister curieux d'aller faire connaissance avec My favorite horses qui jouait tôt dans les caves du chanteau ... Me souvenant qu'il y fait particulièrement frais je m'y rends avec ma polaire. Le concert a déjà commencé .. au son, Christophe de Tanger et de Christophe !
... sur scène ils sont 4 : guitare, basse, batterie et clavier/chant. Dans les notes que je relis donc 2 mois après il y a Jack the Ripper, Bashung, et Tanger trois artistes auxquels j'ai pensé en les écoutant. Le cadre intimiste et sombre se prête bien à l'écoute de leur musique. Chant en anglais ou français, morceaux calmes qui montent et explosent enfin.
Pas beaucoup de sourire sur la scène, tout le monde s'applique et/ou est sérieux, mais cela ne veut pas dire qu'ils ne sont pas ravis d'être là, au contraire ! "On est trop content de jouer dans le meilleur festival de la galaxie, c'est trop cool !" diront ils même ! Je m'échappe un peu avant la fin à un moment où le chanteur a pris une guitare, pour rejoindre le reste de la troupe du côté du boulodrome ou mixe Moustic.
Toujours aussi sympathique et proche des gens malgré son statut de star télévisuelle, il passe aussi de forts bons morceaux qui font danser un public de clubbers comme s'il était 4h du matin alors qu'il n'est que 16h. Comme chaque année il a mis un soin particulier dans le choix de sa tenue. Cette année tongs avec chaussettes et petites jambes. Après cet intermède c'est au pas de course que je reviens dans la cave pour Vacarme.
Pas un bruit alors que je progresse dans la cave et de moins en moins de lumière pour finir dans le noir complet. J'avance à tâtons ... "sur scène" (là où My favorite horses jouaient un peu plus tôt) les 2 violonistes du groupe Carla Pallone (de Mansfield Tya) et Christelle Lassort (ex Narrow Terence et désormais Camille) jouent de dos éclairant un petit bout du mur avec leurs frontales.
Le violoncelliste Gaspar Claus est lui dans un espèce de recoin à l'opposé (donc finalement proche de l'entrée) et joue lui aussi à la frontale. Alors maintenant que j'ai dit cela que puis-je ajouter ? Que j'ai profité du moment où Gaspar est allé rejoindre les 2 autres au milieu de la salle pour le suivre et m'asseoir avec le reste du public de part et d'autre et derrière. Que c'était très beau et plutôt calme car, comme le rappelle le site "VACΛRME aime le silence, lui tourne autour, se fond en lui et parfois le brise violemment.".
Le trio va donc se rejoindre au milieu de la salle où une chaise attend Gaspar et c'est désormais sans leurs frontales mais juste ce qu'il faut comme lumière d'ambiance pour les apercevoir, qu'ils vont continuer leur set avec le public reparti sur les côtés de la cave. Ensuite il se regrouperont encore plus et demanderont au public de se rapprocher encore histoire de complétement les encercler, et eux de jouer encore moins fort ....
Un vrai beau moment original (qui m'évoquera cette performance pourtant assez différente du Chant des Pavillon quelques années plus tôt en Bretagne) sur le fond comme sur la forme, juste un peu frustrant sur la plan photo (plus en raison du faible volume sonore que les clic-clac venaient perturber que du manque de lumière).
En sortant de la cave je retrouve Svet, Peggy et Manu ainsi que Fred et Ben en train de gouter le vin du coin. Nous resterons là un petit moment, rallongé par l'attente des pompiers pour vraisemblablement ce qui devait être un petit pneumothorax (quand c'est la première fois et qu'on ne comprend pas pourquoi y a de quoi flipper). Petit coup de stress dont on se serait bien passé (surtout pour eux) et qui surviendra donc juste avant que la série de concerts payants (ce qui n'était pas le cas de toutes les animations de la journée jusque-là).
Cela devait être à Sammy Decoster d'attaquer sur la petite scène ce que je trouvais dommage, car c'est surtout lui que j'étais venu voir, mais suite à l'annulation de Ropoporose il s'est retrouvé à ouvrir sur la grande scène et c'est Michael Chapman qui a été appelé en renfort. J'avoue que je ne connaissais pas le bonhomme (ce qui n'était pas le cas de tout le monde) ce que j'aurais peut-être du passer sous silence quand je lis ce que je lis sur le site du festival :
"Le légendaire guitariste et singer-songwriter britannique Michael Chapman [...] figure parmi les guitaristes anglais les plus innovants du milieu du siècle, a publié plus de 50 disques et écrit 300 chansons depuis 1967; il et est le seul musicien à avoir joué avec Mick Ronson (avant qu'il ne rejoigne les Spiders of Mars de David Bowie), Elton John et Thurston Moore (Sonic Youth), tout en côtoyant Davey Graham, Nick Drake ou Richard Thompson."
Du haut de ses 76 ans, armé de sa guitare acoustique et d'une voix bien caverneuse légèrement éraillée il nous donnera une leçon de guitare et de folk. Chant presque parlé, imposant par sa présence il me fait penser (musicalement) à des artistes comme Elliot Murphy, Bob Dylan, ou encore Johnny Cash ce qui n'est pas pour me déplaire.... bref on voyage dans le temps et dans l'espace pendant ce set inattendu mais au combien réjouissant.
Ensuite direction la grande scène pour ce moment que j'attendais avec impatience (et du coup une certaine appréhension). Incapable de vous dire combien de fois j'ai écouté Sortie 21 son deuxième album sorti récemment, mais il fait clairement partie de mes préférés du moment. D'autant que j'ai été marqué par certains de ses concerts précédent, notamment son premier en 2009 dans un appartement, ... mais qu'en sera-t-il près de 10 ans après ?
Et bien, tuons le suspens tout de suite, ce fut bluffant. Toujours une grosse présence scénique. Magnifiquement accompagné par un bassiste et un batteur qui ne détonnent ni niveau style ni niveau attitude. Les titres du nouvel album s'enchainent les uns après les autres avec facilité et naturel. Le fait de les avoir autant écoutés et du coup de ne pas être surpris n'enlève rien au plaisir de les voir en live.
D'autant que Sammy a toujours l'air aussi habité. Il a cette façon de donner des grand coups de pieds dans le vide vraiment à lui, cette façon d'occuper la scène, de s'approcher du bord, de se pencher pour regarder les gens dans les yeux avec un drole de truc qui brille dans les siens entre agressivité, folie, plaisanterie et folie ... qui peut mettre un peu mal à l'aise (d'ailleurs c'est une des raisons pour laquelle je crois que je n'ai jamais vraiment osé l'aborder malgré toute l'admiration que je voue à sa musique) mais qui montre qu'il est vraiment dedans.
Et du coup il nous emmène tous avec lui. Comme vous pourrez en juger vous-même il a une sacrée présence sur scène et encore plus lorsqu'il en descend pour venir danser une sorte ede gigue endiablé au milieu du public, comfiant la scène aux deux autres musiciens qui ont été rejoints par Baptiste aka BatpointG et son accordéon pour une final explosif ! Un régal, et comme prévu mon temps fort de ce deuxième jour.
Puis viendra le tour du Legendary Tigerman ... passé (mais raté) au Molotov quelques mois plus tôt , j'avoue que je ne l'ai pas revu depuis son lointain passage au Poste à Galène (il y a près de dix ans), à l'époque où il tournait en one-man-band, avec toutes les limites de l'exercice en termes de répétitivité.
Le revoici donc en full band comme à l'époque du passage de Wraygunn où il m'en avait vraiment mis plein les mirettes au Moulin en 2005 ... Je raterai une partie du (début) set pour aider Svet à ramener les enfants jusqu'au camping. Aussi à mon retour le concert était bien entamé et le public comme le groupe à fond dedans.
J'arrive à un moment clé car le tigre s'est lancé dans un duel guitare (lui) - saxo ... encouragés par le batteur et le bassiste eux aussi très bon. C'est rock, c'est fort, ça transpire, ça hurle ... mais c'est peut-être un poil attendu et mécanique quand même dans le genre super héros garage. Impression qui se confirmera dans la suite du set avec des morceaux bâtis un peu de la même façon avec souvent un dialogue / duel guitare / saxo.
Très bon à chaque fois mais un peu pareil. Cela dit dans le public ça fait mouche et renforce la caution rock n'roll de ce festival qui réussit chaque année le périlleux grand écart entre électro pointu et pop rock indie pour le plus grand bonheur de ceux qui ont eu la chance de choper des places (qui partent en quelques dizaines de minutes chaque année sans même que la programmation ne soit vraiment connue).
A la fin de leur set je me cale près du coin DJ pour voir un peu ce que nous réserve Glitter in My Martini ... Là encore je ne me souviens pas vraiment de ce qu'ils ont passé comme musique (mais ça me plaisait bien il me semble) me souvenant au final plus de leurs strip-teases respectifs sur la grande scène que de ce qu'ils ont passé comme musique. Si beaucoup ont eu l'air d'apprécier le show (notamment Ariel Wizmann en side-stage) pour ma part bof bof. Bon après je n'ai jamais été trop branché burlesque ... chacun son truc.
On glisse désormais vers l'electro annonçant la fin de la soirée avec Aufgang fruit de la rencontre entre Rami Khalife compositeur et pianiste qui "transcende l'héritage classique de ses années d'études au plus haut niveau à la Juilliard School de NYC et les racines orientales d'une famille virtuose, son père Marcel étant une figure artistique majeure du monde arabe." et Aymeric Westrich, batteur et producteur qui "entretient la culture instinctive du DIY (do-it-yourself) et insuffle sa connaissance des cultures urbaines et électroniques, développée aux côté de Kery James, Cassius ou Phoenix."
C'est d'abord ce dernier qui m'impressionnera par sa puissance et présence derrière la batterie, avant que mon attention ne se porte aussi sur Rami. Plutôt sympa malgré l'utilisation d'effets dans la voix (ce que j'ai toujours trouvé ridicule). Le métronome inarrêtable d'un côté le savant fou (genre Mekanink Kantatik) de l'autre pour un set (toujours en ligne ici) plutôt expérimental au départ mais qui deviendra rapidement de plus en plus dansant.
Je suivrai de côté essayant d'économiser un peu de force pour ne pas rater le dernier groupe que je ne connaissais pas non plus. Dès les première notes de Soft Moon je comprendrai la présence de Yann et Coco croisés plus tôt dans la soirée. Dark, timide, electro, rock, caché derrière un rideau de lumières et fumée.
En lisant le descriptif du site (lui-même pris de chez Mowno) "C'est via la musique de The Soft Moon que Luis Vasquez a trouvé le meilleur moyen de panser les plaies causées par une enfance difficile. Sans cesse poursuivi par la honte, la culpabilité, et une certaine haine de lui-même, il réussissait - en 2015 avec ‘Deeper' - à plonger au plus profond de ses traumatismes." je me rends compte que le léger malaise que je ressentais à le regarder évoluer sur scène à visiblement une origine.
Cela dit, même si ce n'est peut-être pas assez organique pour moi c'était quand même rudement efficace. Et comme la veille pour DBFC c'est leur musique qui m'accompagnera pendant tout mon chemin de retour vers le camping. Encore une bien belle journée passée à Lourmarin !
Partis pour rester dimanche soir aussi, même si ce n'était pas raisonnable, nous avons bien profité du soleil et de la piscine le matin avant de nous laisser tenter par le brunch du restautant de l'hotel, où nous avons pris le mini déluge comme un signe qu'il était temps de rentrer chez nous ... et avons donc raté Rone, Kokoko, Arnaud de Rebotini, Chapelier Fou and co ... J'aimais bien le temps où le festival tombé un week end précédent un lundi ferié ...
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Critique écrite le 04 août 2018 par pirlouiiiit
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