Chronique de Concert
Hubert Félix Thiéfaine
Préquelle
Toujours délicat, in fine, que d'aller mirer en vrai un artiste qui vient de sortir en bacs son énième Live (le neuvième !) vu que l'on en connaît d'ores et déjà (quasi) chaque son, coins et recoins, avant même d'entendre égrener les premières notes de clavier du long et emballé En Remontant Le Fleuve ; sachant que ce double CD s'accompagne également de l'ensemble de la susdite performance filmée à Paris il y a peu ; non sans omettre, non plus, de préciser que le gars au verbe (et Riffs de guitare) soigné et pertinent, fait généralement peu tourner, côté chansons interprétées, lorsque la formule fonctionne et que les arrangements font la maille. Autant, d'une tournée à sa suivante (ou ses multiples devancières) il n'est pas rare que les "versions" évoluent plutôt de façon radicale (souvent) à contrario, une fois que le train est bel et bien lancé sur rails...
L'été dernier, en nos contrées, sous les pins du Festival De Néoules (83), le public bruissait littéralement d'impatience face à l'inconnu et fourmillait d'attente, suite à la sortie du très beau (et récompensé sous label Charles Cros) : La Stratégie de l'Inespoir (Sony Music). Un album qui avait achevé de convaincre les plus réticents quant à la réalité de la créativité musicale du gars from Dole et à la perspicacité des thèmes et sujets, de société ou pas, abordés d'envie tout du long ; une suite de très beaux moments (Angelus, Résilience Zéro, Stratégie de L'Inespoir) entourés de futurs "classiques" en devenir - (le sus-cité En Remontant Le Fleuve, l'historique et fielleux Karaganda (Camp 99), le lucide Médiocratie, le polémique Retour À Célingrad - le tout "habillé" d'une juste et pertinente coproduction signée Dominique Ledudal et Lucas Thiéfaine : désormais aux côtés de son père sur scène pour y épauler le monument (pas en péril du tout) classé au patrimoine de l'humanité des guitaristes hexagonaux, Alice Botté !
Une édition limitée plus loin - contenant un splendide, mais court, show acoustique enregistré à la Maison de La Poésie - et un répertoire revisité finement de symphonique à La Maison de La Radio place à la suite et fin, de cette fort belle tournée...
Fleuve D'huile...
Depuis les premiers sons de guitares entrecroisées de mains expertes par le duo Alice & Lucas, d'En Remontant Le Fleuve, jusqu'au redoutable et "habité" Karaganda (Camp 99), il m'aura semblé que l'ensemble - pourtant très en "place", musicalement parlant - manquait d'un rien de... sève ? (HFT en tête, visiblement perturbé - en interne ? - et peinant à amener le vaisseau plus vite et plus loin vers la haute mer, comme si souvent par le passé). J'en étais encore à me demander comment j'avais bien pu oublier ce que Nautoniers des Brumes pouvait bien signifier (j'avais fait appel à mon vieil ami Le Littré lors de la sortie du disque) que déjà mon interrogation remettait le couvert à propos des mythiques Stryges évoquées un rien plus loin : putain, c'étaient qui, "elles", déjà, au fait ? Saloperies de neurones surestimés du nombre, jamais-là où l'on pense les... euh, j'voulais en venir, où, moi, là, en vrai ?
Bref, même relative "mollesse" concernant Amour Désaffecté : "Les chevaux sont partis courir là-bas au pied de l'arc-en-ciel... Je crois que je vais faire pareil !", sauf que, non, ils semblent pour l'heure galoper au loin sans être aucunement inquiétés par le sextuor de musicos ; un morceau coécrit avec l'Innocent Jipé Nataf (en visite chez-nous, sous quinzaine) qui sonne bizarrement à mes sens comme un "inédit", un bel enfant non reconnu du désormais lointain et toujours "in" Eros Uber Ales (88).
Castrée de l'intro de guitare - cette magnifique suite de notes enchaînée de vitesse et néanmoins mélodieuse en diable, créée en son temps par l'épastrouillant Claude Mairet - Errer Humanum Est, peine à se lancer mais bénéficie fort heureusement d'une sonique attaque sur six cordes (signée Alice) et d'une section rythmique, Bruce Cherbit (batterie) & Marc Perier (basse), au taquet et plus qu'en place ; une belle version soit, mais qui, une nouvelle fois, manque d'un je-ne-sais-quoi pour réellement "décoller" (oui, de l'absence de son Riff initial, oui, tu l'as déjà évoqué en amont...).
Pertinente et sans fard, Mediocratie sonne d'autant plus "importante" aujourd'hui, en mode "post attentats parisiens du 13 Novembre" et, à moindre échelle, au vu des récentes batailles de rues menées en marge des manifestations (re)montées contre le projet autoproclamé "Loi Travail" ; reste, que, il paraîtrait aujourd'hui que "ça va mieux !" : si l'on oublie ou biffe d'un trait absent le taux de chômage hexagonal endémique, la paupérisation de nos contrées menée en mode exponentiel, les inégalités croissantes, les problèmes grandissants d'accès au logement ou aux soins, et autres babioles de même ordre...national. Mieux, ça (leur) paraît tellement évident, que nos deux derniers présidents en date (ayant chacun échoué et bénéficié tour à tour de côtes de popularité rachitiques) envisageraient comme de si rien n'était de postuler de nouveau au sommet de l'état : conscients de notre légendaire "capacité à l'oubli", soit, mais un rien dédaigneux vis à vis de notre intelligence individuelle et collective... non ? Fort de ce précepte inquiétant et lucide/acide, Confessions d'Un Never Been sonne "prophétique" et malicieux à la fois : " Entre les draps poisseux des siècles d'insomnie / Ça sent la vieille guenille et l'épicier cafard / Dans ce chagrin des glandes qu'on appelle l'amour / Où les noirs funambules du vieux cirque barbare / Se pissent dans le froc en riant de leurs tours / J'ai volé mon âme à un clown...".
Garanti issu à cent pour cent du patrimoine génétique du galérien Jurassien - toujours sur les routes, toujours au fait des choses, toujours prolifique - le premier refrain d'Angelus nous rappelle que ce morceau aurait dû se situer au plus haut, cartonner en radios, Net addiction et télés, en lieu et place des inepties habituelles, produits montés de toutes pièces, ersatz et génériques musicaux dissemblables, refrains et vidéos vains et vides de sens, j'en appelle ici à tous les Maître G ou Reine(s) Christine, Florent P, Kendji G, ou David G de la terre de... France !
Eructée en mode Le Bilan, by Jean Ferrat (dont il a déjà joué Potemkine & Nuit Et Brouillard en Live, dans un passé récent) Karaganda (Camp 99) voit l'ensemble monter en puissance et notre showman sembler à la fois plus "dedans", non pas plus concerné, non, juste plus en "phase", plus braises que cendres : un morceau qui règle d'un coup (de faucille) d'un seul, le compte du PCF d'antan et celui de ses plus "médiatiques" sympathisants issus du lointain XXe ; quand je pense que j'aurais passé une grande partie de mon adolescence à arpenter le BOULEVARD STALINE de La-Seyne-Sur-Mer (83) ça fait frémir du "dedans", vrai ? Et pourquoi pas une place Pol Pot ? Un Square Adolf Hitler ? Un rond-point Franco ? Une impasse George W Bush Jr. ? Un quai Mao Tsé-Toung? Tant qu'à faire ; ou bien encore décerner le Prix Nobel de La Paix à un président Américain gérant un pays pratiquant la peine de mort, enfermant des présumés "coupables" dans le camp de Guantanamo ou bombardant à Drones de bras des cibles dites "stratégiques" aux quatre coins de la planète, chaque jour que Bill Gates fait ou... défait (pourquoi ça ne me fait pas rire du tout, là, hein, dites ?).
Tandis que le gars Bruce martèle ses fûts, que les guitares taillent dans le gras des plénipotentiaires des régimes communistes passés, que la tension monte d'une putain de dizaine de crans et que notre Hubert-Félix déclame son texte en cadence, remonté comme un "I" (dressé comme icelui) on ne peut que se laisser une nouvelle fois "absorber" par les fulgurances issues de la galaxie Thiéfaine, par cet immense et inquiétant corbeau posté derrière la scène, au-dessus, qui semble se réjouir d'avance à l'idée des futurs cadavres à dépecer bientôt d'envie : " Brumes noires sur l'occident, murmures de rêves confus / Barbares ivres de sang, vampires au cur fondu / Qui marchent lentement, au bord des avenues / Des mondes agonisants, des déserts corrompus / Ça sent la chair fétide, le rat décérébré / Le module androïde, le paradoxe usé... C'est l'histoire assassine, qui rougit sous nos pas / C'est la voix de Staline, c'est le rire de Béria / C'est la rime racoleuse, d'Aragon & d'Elsa / C'est le cri des enfants, morts à Karaganda...".
Cette fois, on y est, l'ensemble usine à donf, et... pas qu'un peu !
"Elle m'envoie des cartes postales de son asile / M'annonçant la nouvelle de son dernier combat / Elle me dit que la nuit l'a rendue trop fragile / Et qu'elle veut plus ramer pour d'autres Guernica...". Inspirée de l'uvre poétique du Péruvien César Vallejo (Piedra Negra, Sobre Una Pierra Blanca) Autoroutes, Jeudi D'automne nous rappelle ô combien rien ne change (changera ?) jamais au niveau de notre (in)humanité bâtarde ; nous avons beau être aujourd'hui "New Yorkais", "Parisiens", "Tunisiens", "Ukrainiens", "Maliens", autrefois "Arméniens", "Vietnamiens", "Yougoslaves", "Espagnols", "Tchèques", "Juifs", ou plus avant "Germains", "Gaulois", "Zoulous", "Incas" ou "Indiens d'Amérique", et gueuler fièrement "Plus Jamais Ça !" au sortir des ignobles tranchées de 14-18, il est de la nature de notre race d'OUBLIER et dupliquer sans ciller de l'horreur par brassées, c'est comme ça. Ça plombe carrément notre passage terrestre, forcément, mais il faut vivre "avec" et croiser les doigts tout du long pour espérer passer au travers. Ces noires digressions, mises à part, musicalement, elle tient putain de bien la route sur scène : entre nappes de claviers de Christopher Board, guitares incisives au taquet et rondes de basse, tout comme l'intégralité de l'album dont elle est originellement issue Soleil Cherche Futur (1982)...
"J'écoute le vent siffler à 11500 mètres... J'ai ma bombe à étrons et j'ai mes droits de l'homme / Et j'ai ma panoplie de pantin déglingué / Et j'ai ces voix débiles qui m'gueulent dans l'hygiaphone / Ne vous retournez pas la facture est salée" : Spéciale dédicace à François Sarkozy et Nicolas Hollande ; la terre joue au Bingo et eux avec nos nerfs, nos petites vies d'individus lambdas noircis sous trique. Cette Femme de Loth tombe à point nommé pour nous rappeler que, outre ses nombreuses prises de risques - comme avec l'étonnant et toujours pertinent Alambic / Sortie Sud (1984), dont elle est issue - son créateur aura toujours su tisser de la ligne mélodique en orfèvre, toujours. Si, si. Chanteur à "textes", soit, mais, chanteur ET MUSICIEN avant toute chose. Point.
Vive l'Amor...
Nantie d'une intro un rien différente, avant entrée en mode "frontal" des deux guitares, Alligators 427 nous rappelle tragiquement que rien n'a changé/avancé non plus, sur le sujet très précis du nucléaire ; enfin, si, que celui-ci - malgré Tchernobyl & Fukushima - va très probablement alimenter les voitures "propres" roulant à l'électricité auxquelles tiennent tant les membres des divers mouvements écologiques pour fuir la pollution des "méchantes" énergies "fossiles" : un réel progrès qui devrait perdurer durant des milliers d'année de (radio)activité...
La section rythmique s'en tape carrément, elle, de toutes ces grises interrogations, elle assure en métronome afin de soutenir au mieux les magnifiques parties de guitares et l'envie de plus en plus pressante d'Alice de se ficher en mode Hendrix : manche de droitier incliné (tête) vers le bas et doigts qui tirent, vrillent et pincent d'envie ; je pense pas que nos "enfants s'appelleront vers de terre !", non, ça fait déjà belle lurette que nous avons muté vers cet état peu engageant sans même nous en êtres aperçus : entre G8, Vaines Promesses, Pôle Emploi, Écrans Surdimensionnés, Football, Retour Des Extrémismes Religions, Fessiers Posés De Longue Sur Canapés, Drucker & Hanouna, et autres tueurs patentés de neurones, vie, avenir et espoir...
Public Cherche (Futur) Second Souffle...
Coup de bol, au moment des rappels, leur retour sur scène s'accompagne d'une ligne de basse élastique de Dingue(s) (et des Paumés) : Et leurs aéroports se transforment en bunkers / À quatre heures du matin derrière un téléphone / Quand leurs voix qui s'appellent se changent en revolvers / Et s'invitent à calter en se gueulant "come on!"... Et lorsque leurs tumbas jouent à guichet fermé / Ils tournent dans un cachot avec la gueule en moins / Et sont comme les joueurs courant, décapités / Ramasser leurs jetons chez les dealers du coin". J'ai beau avoir fouillé, fouillé à fond sur site (rubrique Dicothiéfaine ) y'a toujours des choses que je ne capte pas, que nibe, rien à faire, j'dois être con ! Celle-ci, c'est un peu comme le Lynch de Mullholand Drive, elle rend "intelligent", même quand on n'y pige que dalle, ou, pas loin. De toute façon nous ne sommes jamais que des " ... loups frileux au bras d'une autre mort / Piétinant dans la boue les dernières fleurs du mal...", alors, à quoi bon...
Quelques chansons plus tôt, j'avais une nouvelle fois ri - comme à Néoules, l'été dernier - en voyant la majeure partie du public s'époumoner en vain et tacher d'être audible durant le refrain de l'antique Lorelei qui accélère à tout va et se pare de guitares saturées au moment opportun. Ils auront couru après tout du long, sans jamais, enfin, vous voyez...
Durant le magistral 113e Cigarette Sans Dormir, je n'aurais pas ri du tout. Du tout. Nope. Réalisant qu'aujourd'hui il nous fallait avant tout apprécier le fait de pouvoir continuer à rire et écouter sans trembler, le fameux : "Manipulez-vous dans la haine / Et dépecez-vous dans la joie / Le crapaud qui gueulait: "je t'aime" / A fini planté sur une croix !", alors que, concernant le, tout aussi pertinent : " Les petites filles de Mahomet / Mouillent aux anticoagulants / Depuis qu'un méchant gros minet / Joue au flipp' avec le Coran", ben... C'est pas "gagné", gagné", que l'on "Soit Charlie", ou pas. Outre la magistrale leçon d'histoire déclinée céans, encore et toujours à méditer, l'ensemble du texte devrait être obligatoire aux abords des cours de récré : faisons adhérer nos têtes blondes (ou brunes, ou frisées, ou crêpées) au programme "Thiéfaine 1ère Langue", et la laïcité sera bien gardée, entre autres choses : " Les enfants de Napoléon / Dans leurs mains, tiennent leurs roustons / S'ils ont compris tous les clichés / Ça f'ra d'la bidoche pour l'armée... Arsenic is good for you !".
Qu'en pensent exactement les Bipèdes À Station Verticale qui m'entourent ce soir, je n'en sais fichtre rien, sinon qu'ils sautent en tous sens sur celle-ci ; qu'ils éructent, s'époumonent et suent en rythme - endiablé, et saupoudré d'un beau travail du gamin Lucas - jusqu'à la gadoue finale : Car tu es gadoue, et à la gadoue, tu retourneras...
Foin de Tube...
Ils et elles semblent toutes et tous l'attendre ; pis encore, la demander, l'appeler de leurs chants, cette "salope Marie couche-toi-là sur paille" de Fille du Coupeur de Joints : légalisée sur scène au coin de (quasi) chaque show, depuis la lointaine 1978 - n'en déplaise au sémillant et ô combien pertinent et utile Patrick Menucci - elle l'emporte de nouveau et fait vibrer fort la foule, comme à chaque fois, non, toutes les fois ; même si j'avoue que je ne goûte guère que le passage "planant-prog" qui siège en son centre, ma foi fort bien ficelé, je me dois de l'admettre, à défaut de... convenir ?
Des Adieux...
Tandis qu'il achève le concert armé d'un simple bout de bois et d'un bel organe vocal, aussi reconnaissable qu'atypique, dérangeant et attirant à la fois, je fais des jaloux alentours en m'éventant de frais à l'aide de mon carnet à spirales : z'avez déjà essayé d'en faire autant avec un clavier numérique, un Smartphone ou une Tablette de voyage ? Désolé, il n'existe pas d'Apps à la con capable de traiter les subites montées de chaleur en salle de concert ; enfin, pas pour l'instant...
Lui, n'en a cure, en face, comme un peu plus tôt durant le show et le mythique Je T'en Remets Au Vent (78) il finit ce beau show en mode solo, guitare en pognes et mélancolie vrillée au cur, afin que de rappeler à toutes et tous, qu'au commencement, était le verbe :
"Déjà le vieux veilleur mélancolique nous guette / Annonçant des avis d'orage et de tempête / Mais bientôt le silence nous fait mal à la tête / Des adieux..."
Critique écrite le 05 mai 2016 par Jacques 2 Chabannes
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