Chronique de Concert
Hugh Coltman / Joseph Arthur and The Lonely Astronauts
(Parlez-moi de Grenoble III)
Ce soir, à force de tourner autour des " tout-petits ", des animations prévues à leur effet, et de la halte-garderie du festival - offerte aux parents des moins de six ans, titulaires d'un billet pour le soir ! - à force que de me réserver pour les lectures de plein air, à force d'observer le ciel et ses bourrasques de vent en le priant de patienter quelques heures de plus, au moins, j'ai failli en oublier l'essentiel : le blues déjanté qui poisse des Hells's Kitchen, prêt à donner de leur trio (Suisse) sous square. Un concert dense, décalé, oscillant sans cesse, entre traditions du genre, effets sonores et visuels, distorsions de toutes sortes, et " vrai faux " bordel organisé... Un rien d'Arno, un soupçon de Willy Deville, un zeste de Tom (Waits) un volume de Legendary Tiger Man, de bonnes chansons, et... Une tranche de plaisir, également partagée, entre membres du groupe, festivaliers, et foule locale (ou en transit vacancier).
" Un Homme Affable... "
(Hugh and Elles !)
21 h et pleins des secondes (sans parler des dixièmes, ni même des centièmes ou millièmes, à quoi bon ?) : sous chapiteau tendu qui bruisse doucement de houblons.
Sur la lancée d'un album disparate, soit, mais animé des meilleures, " plaisir " intentions, qui soient - Stories From The Safe House - Hugh Coltman investit benoîtement la place, entouré d'une formation, on ne peut plus classique : guitare, basse, batterie, claviers, et... Lui ! Depuis hier au soir, la mode est à la touffe de cheveux frisés balançant sur collier de barbe de 2, 3, 4, ou... 5 jours ! (Pas plus, hein, faut pas exagérer non plus et rester, quoi qu'il arrive, en bordure de " soigné, négligé "...).
Tout de suite, il a beau rire, plaisanter et jouer au mieux de son " French accent ", pour dédramatiser : on sait que l'ensemble de la soirée va essentiellement tourner autour des épineux problèmes relationnels " homme-femme " ; la chose la moins marrante du monde, en somme, ou, pas loin... Deux morceaux inauguraux écrits autour des problèmes nés de relations amoureuses à distance, qui voient l'homme " Colt " suer abondement et s'évertuer à faire monter la sauce, aidé en cela d'une suite de petits sautillements nerveux et moues (d'apparence) affligées. Sur On My Hands, il s'excuse platement auprès d'une donzelle passée, et/ou répand sa mélancolie à tout va, sans retenue ; tandis qu'un groupe de type(s) pré-andropause (on dit bien pré-pubère, non ?) échange des points de vue immortels sur le " pourquoi du comment du port des pantalons en lin en soirée... ". Ce soir, " ça " s'éparpille un tantinet céans, c'est un fait ! Tandis que je commence à râler entre canines, mon habituelle partenaire de canapé me glisse malicieusement, que, " c'est à l'artiste de tenir son public en haleine, au bord de l'explosion, ou, du... Languissant ! ", je ne peux qu'acquiescer et me borner à lui sourire niaisement en retour (j'aime pas quand elle est ainsi perspicace, c'est Mon rôle à MOI de l'être, d'ordinaire !).
Sur scène, " ça " Reggae-ise langoureusement, " ça " chaloupe de qualité et " ça " donne envie d'aller s'étendre dans l'herbe " grass " des squares, avant que de glisser brusquement et d'enchaîner de sec vers le superbe Could You Be Trusted ?
Notre homme est visiblement à l'aise, il tente d'emporter le public à sa suite en le scindant symboliquement en deux, en le faisant chanter chaudement de gorge : armé d'une pluie d'harmonies très Beach Boys. NOTRE côté l'emportant finalement haut la main, logiquement, aigus bien en place.
" Plus de filles de notre côté... C'est tout ! " (me glisse un ado frustré qui vient tout juste de muer et qui regrette déjà l'époque bénie où tutoyer la tierce n'était qu'un simple échauffement menant à la route du contre-ut de légende...). La température vient subitement de grimper d'une dizaine de degrés, suffisait de les faire participer, voilà, tout ! Un changement entériné par l'enjôleur All The Lovers Come And Go These Days, qui semble tiré d'un BO de " Presley at The ciné ! " (en visite à Hawaï, ou a... Capulco !). " Non, non, c'est une sorte de rumba red-neck ! " (ou) " non ! Plutôt un mambo rétro tiré d'un vieux western avec Dean Martin ce héros : aux prises avec des méchants bandits et une belle brune qui ondule du mollet sous froufrous rouge sang ! ".
" Attends, attends ! Pas, du tout, non, c'est juste un groupe de losers qui cachetonne au coin d'un vieux piano-bar pourrave, et qui... ".
" Vos gueules, les neurones ! Je bosse, là. J'essaie de me concentrer... Moi ! " (il faut parfois que je me fâche, certains soirs, selon mon état de fatigue, c'est comme ça).
Ceci étant réglé en " interne ", je le regarde se flageller le bas du dos - encore à cause d'une énième gonzesse, autrefois passée entre ses mains expertes ! - à l'aide de son jack (le fil, pas la boisson) et se répandre de sonores " pardon ! " ; je repense alors à toutes celles qui m'ont largué. Pourquoi, " toutes " ? Elles n'étaient jamais, que 2... 4... 5... 8, ou 9, à la limite, enfin... Pas plus d'une petite quinzaine, en fait. Ha, non mais ! Tiens, c'est le Jealous Guy de l'ami John (Lennon) qui retentit et envahit le Grenoblois lieu : de plus en plus sous le charme plutôt débonnaire du gars Hugh, en grande repentance. On pense mieux le cerner, alors que lui vient juste de s'échapper pour rejoindre les rives gorgées de soul du fantastique " live " de Donny Hattaway, jusqu'à s'évertuer à enjoindre le public à donner de la voix au niveau du public de ce concert mythique, enregistré entre New York et Los Angeles, au cours de la lointaine année 1972. Un échange " chanteur-public " bien dans la " soul " tradition, qui n'est pas sans rappeler le fameux " live " de Toots (and The Maytals) au Hammersmith Palais (80). Bon, c'est vrai, on est parfois ici plus proche de Michael Franks, que d'Al Green, mais, bon, " ça " fonctionne en tout cas, et le public lui colle aux vocalises, comme le postérieur de notre présidente aux caméras et gros plans... Médias. Conscient du manque, Hugh évoque l'esprit du Mento et se lance dans Magpie... " M'en fous, j'préfère le Rocksteady ! " (me glisse une jolie voix érudite sous dreadlocks postée à côté : croupe ferme en sus et sourire débordants de blanches ratiches, avant de se mettre à onduler elle aussi, à son tour).
Après avoir invité l'ensemble du chapiteau à l'imiter, Hugh roucoule et ondule du bassin en compagnie d'une jeune paire de tresses issue des premiers rangs afin de tourner langoureusement sous projos aux bras du beau gars de la fête...
L'occasion de se laisser aller aux débordements cutanés nés de la danse, puis de s'en jeter rapidement un petit derrière la nuque en sueur, avant de regagner fissa les premiers rangs déjà en attente d'Astronautes sur le retour, de Manche...
" Un Jour Sans Fin "
(Making Mistakes...)
21 h 50 (ou 22h ? J'sais plus, j'sais pas, j'l'ai pas noté sur carnet ! Mea culpa !) :
Ce qui me frappe tout d'abord les sens en alerte - après avoir rencontré le groupe l'après-midi : des individus fébriles de l'équilibre, encore en re-descente du concert donné LA VEILLE AU SOIR, à Londres ! - c'est qu'ils sont bel et bien debout, prêts à en découdre ! (quoique gonflés de prunelles, ou pochés de pourtour d'yeux, avec peau qui craquèle sous rides poussées !).
Pour accréditer cet état d'apesanteur mal apprivoisée, les Astronautes Solitaires se lancent sur le très de circonstance Spacemen (et ses habituels soubresauts rythmiques, ici passés aux forceps, pesamment, sans souplesse !). Serait-ce histoire de fêter dignement le récent (cinquantenaire) anniversaire des premiers petons posés sur la lune par un autre natif de l'Ohio (Wapakoneta) le planétairement encensé Armstrong... Neil ?
Reste, que, pour tout dire, la " machine " grippe et toussote encore salement en l'instant, Greg (Wiz/batterie) excepté, qui tente de lier le tout à grands coups de moulinets fouettés sur cymbales, pour tacher de faire prendre la sauce, qui semble exhorter son leader à se lancer et prendre un premier solo apte à faire décoller le vaisseau pour de bon (une tentative, courte, un rien baroque et inaboutie sur six-cordes, en définitive!).
Pour me satisfaire l'intérieur - pendant qu'ils butent mollement sur le début de Too Much To Hide ! - je m'accroche du regard aux courbes galbées de Sybil Buck (basse + longues jambes qui émergent d'un court short bouffant, jusqu'à toucher le... Sol. Si, si !) qui n'a visiblement rien perdu de ses années de mannequinat... Tiens, ça tourne presque rond, désormais, le " Jo " attaque le premier faux plat à grands coups de notes tissées tenues ou tirées, afin de se lancer en suivant vers les hauteurs espérées de prime abord. Tout à coup, c'est nous, là (dans la fosse) qui avons du mal à le suivre, qui suons au diapason, tout en soufflant de rauque : attendant vainement qu'il nous libère ou qu'il lâche le bas de son manche, pour entonner le salvateur " Be here now ! ".
Even When You're Blue s'est manifestement " durcie " en passant au tamis serré de manche du groupe : autant, les dernières interprétations acoustiques semblaient " en l'air ", mal assurées, en manque d'explosivité, autant, là, comme, ça, là, c'est autre chose, et ça a au moins le mérite de ne pas faire reculer l'ensemble de deux cases.
Dès l'intro de, In The Sun - à chaque fois que cela se produit, où que je sois, quel que soit mon état ! - mon épiderme se recouvre de frissons et j'ai le poil érectile qui se tourne illico vers son auteur (comme l'humble tournesol, vers son astre régulateur). Ha, celle-là, celle-là, c'est LE hit ! Celui qui aurait dû lui permettre de régner sur le vaste monde des " charts ", si le monde tournait réellement rond sur sa base artistique. Rien à (re)dire, elle sonne toujours comme au premier jour et les yeux des présents s'arrondissent jusqu'à doubler ou tripler de volume. Sur le refrain, j'en écrase une (toute) petite en repensant à la première fois où je l'ai entendu la chanter en vrai, et la dédier à Jeff Buckley ; une chaude soirée de juin 97 où le temps avait soudainement paru s'étirer, devant tant de grâce et de beauté.
Reste, que, elle vient peut-être un tantinet trop tôt dans la soirée : un tel " sommet ", ça se mérite, ça s'attend, ça se déguste un rien Frappé (j'ai honte de moi, là... Pour de vrai !) ça doit juste venir à point nommé pour entériner ce qui précède et faire définitivement basculer les choses vers le triomphe d'un soir ! Et puis, surtout, surtout, qui choisir pour repartir dignement par la suite, sans avoir pour autant à baisser d'un ton ou deux en qualité ? C'est l'intro de guitare de Missy Baba, qui vient me sortir de mes techniques et inutiles pensées d'individu masculin en perpétuelle bordure de fanitude, pour me ramener au " direct ", au " vrai ", au " réel " : une intro qui me fait mouliner des genoux et donner de la voix sans retenue. Cette chanson, c'est un (nouveau) sommet, un cap, une péninsule mélodique, un monde à elle toute seule, qui transcende et ravit, mais qui, pour l'heure, reste toujours tapie en quelque bande posée sur un coin de studio US, comme au secret, toujours en attente de bon de sortie, d'officialisation - mais que l'on peut fort heureusement se procurer en achetant un des " live " issus de la dernière tournée Française, sur le site officiel du groupe (www.josepharthur.com). La version de ce soir élude toute fioriture. Elle est plus dense, plus courte, resserrée, et malheureusement délestée du long solo de wah-wah qu'elle renferme, habituellement destiné à nous faire voyager dans l'au-delà, et l'azur.
Deux accords gratouillés de distraction, plus loin, l'homme Joseph se fige d'un coup, puis se prend (gentiment) le chou avec un spectateur qui ne sait goûter à la " transe " sans expédier des centilitres et des centilitres de bière voleter un peu partout autour de lui, sur la gent concentrée, qui n'en peut mais...
" Je sais que c'est ! Quand je buvais, j'ai connu cela... Juste trop d'alcool, c'est tout ! Mais tu déranges tout le monde, soit cool ! Sécurité ! Emmenez-le au bar et payez-lui une bière... Mais sortez-le d'ici... Désolé, mec ! C'est juste pas possible... ". Une diatribe assénée, avec juste ce qu'il faut d'autorité, et qui laisse bientôt la place à une version musclée de She Says You Lack Imagination. Une autre nouvelle chanson, exhumée il y a peu, et qui commence manifestement à tourner fort : plus dense, plus soignée, plus assise, plus mâture qu'en mars dernier, et, paradoxalement, plus efficace, aussi ; un futur sommet de plus, qui n'attend que le noir vinyle vierge prochainement disposé à le graver en son sein (ou bien l'azur immatériel de moindre qualité, communément appelé MP3, ou FLAC !).
Pendant que " ça " tricote du solo sur Slide Away, mon voisin de gauche - je suis momentanément " brouillé " avec celui de droite, suite à une sordide histoire de perte d'équilibre, et concassage de petons ! - me demande si je connais " ... celui qui passe, là ? ", parce que " c'est vachement bien... " : j'en ai la gorge toute nouée et les " quenouilles " qui grincent fort sous pelvis.
Ce mec écume la croûte terrestre depuis près de treize années, il a sorti la bagatelle de 17 albums (EP compris) il a joué aux côtés de gars comme Peter Gabriel, Michael Stipe et REM, Ben Harper, Gary Louris (Jayhawks), Faultline, Ani di Franco, Garth Hudson (The Band), Gomez, Joan Osborne, Juliette Lewis, John Brion, ou... Bruce Springsteen ! Sorti des centaines de disques " live ", peintures, dessins et poèmes, et... Il continue pourtant à sortir de certains de ses solos, comme on sort d'un mauvais rêve : en sursaut, d'un rapide rappel de pied glissé, mal assuré sur ses pédales, mettant ainsi un terme à une version de Slide Away qui ne restera pas dans les annales du genre.
Tandis qu'il se souvient avoir écrit ce sommet de sensibilité qu'est Invisible Hands (99) la guitare de Kraig (Jarret Johnson) échappe à sa lanière et heurte sèchement le sol, devant les regards, mi-amusés, mi-incrédules, de tous les humains et apprentis musiciens présents... Vous avez dit, coup de chaleur et retour de bâton de fatigue ?
Une péripétie bien vite oubliée, car, sur scène, c'est le retour aux grandes vagues de magie d'antan. Quand le gars Arthur s'échine ainsi à frapper doucement le corps et le manche de sa guitare pour y bâtir patiemment ses rythmes, qu'il entrelace de notes vrillées et thèmes, c'est tout un pan de ma vie qui se met à défiler devant mes yeux embués de sel (une émotion apparemment partagée par une partie de la salle !). C'est MA madeleine à moi, ce truc ! Ça me téléporte instantanément au bon vieux temps jadis des tournées en " solo ", vers ces concerts mémorables, ces improvisations hors du temps, calées sur bruits de bouche, pédestres percussions, boucles vrillées ou crissées, et lasagnes vocales sous couches multiples, à déguster... Frappé ! (assez avec " ça ", on te dit !). Je le regarde sans mot dire, tisser paisiblement ses strates, comme un peintre sur toile, concentré comme rarement, quoiqu'en ultime bordure de larsen. Hélas, là encore, le final avorte un peu (trop) rapidement pour léviter, nous faire (un apparent manque de pratique, qui ne devrait plus le guetter au cours de l'automnale tournée solo annoncée et confirmée).
Comme souvent, il faut attendre la neuvième chanson pour entendre enfin un morceau extrait du fantastique et dernier album : Temporary People (Fargo). Une version de Faith, qui ne cesse pourtant de monter en intensité : les pentes escarpées de la " foi " ne peuvent mener qu'en bordure de rupture de mollets, qu'aux portes du supplice, avec raison qui supplie d'étonnement et final mené de " pieds " de maître par Sybil, qui écrase la scène de ses amples contorsions et petits sauts de cabri pieds joints.
Sur, Honey and The Moon - sans cesse revisité de hauteurs, en solo acoustique, version - je me demande de nouveau pourquoi de telles chansons ne passent pas à la postérité (ou au moins en radio, au moins...). Mais, c'est lorsqu'il parsème A Smile That Explodes, de sons, rythmes, et boucles, que je décolle pleinement, malgré une fin de nouveau abrupte et un accord (sur)saturé qui entraîne le groupe à plonger en une version dantesque et brutale de I Donated Myself To The Mexican Army. Une interprétation emplie de cris suraigus, de solos de guitares et frappes sèches sur caisse (grosse et claire) qui fait se soulever l'ensemble des premiers rangs et mes hanches, soudain... Crisser !`
Niveau rappel, hormis l'écourté et " neutre " Black Lexus, c'est une toute nouvelle chanson, très " T-Rex ", intitulée Iran (You Can't Kill The Free !), qui se charge de faire plier et suer l'ensemble des articulations encore en état de marche. Une chanson écrite pour soutenir l'actuelle tentative de révolution Perse, née du résultat tronqué/truqué des dernières élections et de la main mise de Marmoud Armaninejad sur son beau pays. Une ode au soutien et à l'empathie entre les peuples, destinée à rappeler aux humains en vacances, que la lutte continue (là-bas !) qu'elle est de première importance, et que ses répercutions seront très certainement planétaires, à terme.
Ceci étant fait, voyant que la foule est gentiment poussée vers la sortie et le jardin d'enfant adjacent : monsieur " Jo " choisit d'ignorer son (manifeste) état de fatigue plus qu'avancé, pour se mêler aux traînards et parler, signer, et dessiner sur papiers ou carnets tendus de plaisir. Comme d'hab', quoi, douce habitude que celle-ci, ho, oui...
(Lorsque je le croiserais de nouveau, une demi-heure et quelque, plus tard : ce n'était déjà plus qu'un homme en quête d'hôtel et de repos ; un homme cherchant néanmoins à savoir, si lui, et ses musicos, s'étaient montrés à la hauteur du challenge à relever du soir. Je ne pus qu'acquiescer en souriant...).
Set List du Cabaret Frappé :
Spacemen
Too Much To Hide
Even When You're Blue
In The Sun
Missy Baba
She Says You Lack Imagination
Slide Away
Invisible Hands
Faith
Honey And The Moon
A Smile That Explodes
I Donated Myself To The Mexican Army
Black Lexus
Iran
Critique écrite le 01 août 2009 par Jacques 2 Chabannes
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