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Chronique de concert JC des Clebards
Mardi 19 novembre 2024 : 6647 concerts, 27225 chroniques de concert, 5420 critiques d'album.
Chronique de Concert
JC des Clebards
Ce soir JC des Clebards joue quasiment en solo au Cocoon.
Quelques mois après un passage remarqué à Challans, le contrebassiste du groupe nous présente son projet solo.
En effet, JC a bien bourlingué entre une expérience de chanteur / guitariste des Vieilles Margates, un apprentissage de la contrebasse pour les Clebards, il aime les challenges...
Et jouer en solo pour un artiste habitué à partagé la scène avec ses compères, la barre est relevée d'un cran.
Le beau temps était de la partie aujourd'hui, et l'affluence est quelque peu menacée par l'envie de profiter de la côte ensoleillée...
L'équipe du Cocoon à dû avoir le nez creux, car le concert est annoncé à 22h, afin de permettre aux challandais d'avoir le temps de se pomponner avant de faire la sortie du Samedi soir.
La jeunesse est au rendez vous, et prend les jeux d'assaut ! Le zinc aussi, mais la moyenne d'age y est un peu plus élevée.
JC introduit son entrée par un discours improvisé, plantant immédiatement le décor, en totale adéquation avec celui du Cocoon. Son univers transpire du coude appuyé au comptoir, mêlant les réflexions sur l'homme, et un panorama sur le flot social dans lequel nous baignons.
L'amour, le déceptions, les paraboles sont présentes pour apporter un aspect poétique, et des blagues graveleuses viennent mettre un peu de légèreté !
JC a un jeu très tapé, limite slappé sur sa gratte, qui me rappelle son instrument clébardesque, et sa voix caverneuse donne du charisme à ses interprétations.
Toto, guitariste clebard viendra lui preter main forte et tester des nouvelles compos.
De nombreuses reprises ponctue son répertoire. Les artistes choisis expriment bien ses goûts pour les mots : Yves Jamait, Brassens, Brel, Renaud entre autre, et Mano Solo à la demande d'Elo, elle pouvait c'est la patronne!
Un titre personnel fait un cliché clin d'il au reggae bien rigolo...
En faisant un tour d'horizon sur le bar, je me rend compte que JC fait une bande son parfaite, pleine de détails pertinents sur nos petites vies, et je suis heureux de voir les ados entendre en fond sonore de la musique et des paroles de qualité, de quoi se forger une oreille avertie.
A la prochaine, pour les Clébards, cette fois ci il me semble.
Quelques mois après un passage remarqué à Challans, le contrebassiste du groupe nous présente son projet solo.
En effet, JC a bien bourlingué entre une expérience de chanteur / guitariste des Vieilles Margates, un apprentissage de la contrebasse pour les Clebards, il aime les challenges...
Et jouer en solo pour un artiste habitué à partagé la scène avec ses compères, la barre est relevée d'un cran.
Le beau temps était de la partie aujourd'hui, et l'affluence est quelque peu menacée par l'envie de profiter de la côte ensoleillée...
L'équipe du Cocoon à dû avoir le nez creux, car le concert est annoncé à 22h, afin de permettre aux challandais d'avoir le temps de se pomponner avant de faire la sortie du Samedi soir.
La jeunesse est au rendez vous, et prend les jeux d'assaut ! Le zinc aussi, mais la moyenne d'age y est un peu plus élevée.
JC introduit son entrée par un discours improvisé, plantant immédiatement le décor, en totale adéquation avec celui du Cocoon. Son univers transpire du coude appuyé au comptoir, mêlant les réflexions sur l'homme, et un panorama sur le flot social dans lequel nous baignons.
L'amour, le déceptions, les paraboles sont présentes pour apporter un aspect poétique, et des blagues graveleuses viennent mettre un peu de légèreté !
JC a un jeu très tapé, limite slappé sur sa gratte, qui me rappelle son instrument clébardesque, et sa voix caverneuse donne du charisme à ses interprétations.
Toto, guitariste clebard viendra lui preter main forte et tester des nouvelles compos.
De nombreuses reprises ponctue son répertoire. Les artistes choisis expriment bien ses goûts pour les mots : Yves Jamait, Brassens, Brel, Renaud entre autre, et Mano Solo à la demande d'Elo, elle pouvait c'est la patronne!
Un titre personnel fait un cliché clin d'il au reggae bien rigolo...
En faisant un tour d'horizon sur le bar, je me rend compte que JC fait une bande son parfaite, pleine de détails pertinents sur nos petites vies, et je suis heureux de voir les ados entendre en fond sonore de la musique et des paroles de qualité, de quoi se forger une oreille avertie.
A la prochaine, pour les Clébards, cette fois ci il me semble.
Critique écrite le 24 octobre 2017 par Berclic
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