> Réponse le 06 avril 2011, par Tarmokeuf

[Zenith - Toulouse - 5 avril 2011] La grande dame garde sa magie. Un beau concert (près de 25 chansons en 1h35), des standards tels que House of the rising sun, farewell Angelina, sacko et vanzetti, le deserteur, Imagine de Lennon, le temps des cerises, Donna donna, le dylanesque Blowin in the wind, Suzanne de Leonard Cohen, etc.., d'autres moins connues mais tout aussi pleines d'émotion. La voix n'est sans doute plus aussi claire et la guitare accroche parfois mais à 70 ans, cela se pardonne. En tout état de cause cela ne chevrotte pas et c'est ce que je craignais le plus. Un public sentant quelque peu la naphtaline mais sincèrement ému de retrouver cette légende vivante qui fait l'effort de parler en français tout du long de son concert. Quelques bouquets offerts de la main à la main, sans gorilles ni barrières pour...  La suite | Réagir

> Réponse le 06 avril 2011, par peanuts

[Zénith - Toulouse - 5 avril 2011] Un concert de très grande qualité! Sa voix est toujours aussi belle malgré une petit perte de puissance dans les aigus. Un répertoire varié avec en prime deux chansons en français rendues avec beaucoup d'émotion. Joan s'est donné la peine de s'adresser à son public en français, contrairement à Dylan (il y a 2-3 ans) qui n'avait même pas daigner saluer son public ni nous regarder! Ma fille de 27 ans qui ne la connaissait pas a également adoré ce concert. C'est une très grande dame.... vivement qu'elle revienne! D'ailleurs, elle est restée sur scène pendant près de 2 heures et a été rappelée 3 (ou 4 ?) fois. Il ne doit pas y a voir beaucoup de gens de son âge qui pourraient en faire autant!!  Réagir

> Réponse le 07 avril 2011, par Xav007

[Grand Rex, Paris - 29 mars 2011] Certes les places pour Joan Baez au Grand Rex à Paris sont chères et le balcon haut du Grand Rex ne facilitait pas l'intimité tant attendue... La voix n'est plus aussi cristaline... et l'on se demande ce que le Déserteur de Vian et Manathan Kaboul de Renaud viennent apporter au tour de chant, quand on appelle plutôt un We shall overcome intemporel qui ne viendra pas... Mais voilà. Joan Baez est Joan Baez. Un timbre de voix empreint de 50 années de lutte, des arpèges au milimètre, une ambiance acoustique sans fioriture... et la magie opère. Diamonds and Rust, Gracias a la vida, Imagine, Blowin In the wind, God is God... En plus d'une heure trente de concert no stop, Joan ne nous a pas ouvert tout son écrin, mais elle en a ressorti quelques bijoux et nous étions heureux !   La suite | Réagir