Chronique de Concert
Joseph Arthur (+ Lail Arad)
("Si tu n'étais pas réel, je t'inventerais, dès maintenant !"/Honey and The Moon/J. Arthur).
"J'ai parfois été d'humeur très maussade, par le passé. Oui, j'ai toujours été un peu comme cela, en profondeur ! Je le suis toujours un peu, d'ailleurs, et j'ai du "caractère", aussi, selon les moments. / Même si c'est malheureux : quand tu es sur la route, le fait est que les conditions sont étranges, irréelles : tu n'arrives jamais à dormir vraiment, tu subis le Jet-Lag... / Je comprends que ça puisse paraître mineur, que d'autres personnes ont de réels problèmes, eux, ce n'est d'ailleurs pas une excuse, mais... Nous ne sommes pas à notre sommet, sur la route : nous ne dormons pas et sommes parfois fatigués, énervés !" (Joseph Arthur / Grenoble : 24 juillet 2009). Surtout lorsque les tournées sont irréelles, que les dates s'enchaînent violemment, sans temps mort ou (presque) sans jour de repos véritable, comme ce fut le cas au niveau du début de cette tournée qui a visiblement été "montée" dans l'urgence, et souvent en dépit du bon sens (parfois jusqu'à 6 soirs d'affilée !) que ce soit en termes d'itinéraire, de lieux, d'opportunité - pas d'album ou de single à écouter véritablement - ou de (NON) battage médiatique à classer auprès des pires tournées du genre, en la matière. Lors, cela n'empêche pas le gars originaire d'Akron/Ohio/USA d'assurer ses shows de la plus belle des façons, même lorsque cela se "craquèle" visiblement, par moments, comme hier soir sur la scène du Poste À Galène/Marseille ! (Pour un beau concert au final, tout de même, dans sa globalité).
Dès le début du show, ce soir - après le classique "passage sur toile", pour y jeter les bases d'une uvre sur laquelle il ne reviendra finalement plus...- tout nous/lui semble différent, plus "ouvert", plus à même d'ouvrir nos/ses sens à une performance de tout premier ordre. Le son est meilleur, le lieu est éclairé comme il se doit, et Joseph semble détendu, décidé, concentré sur SON sujet, doté d'une certaine lueur mutine nichée en ses prunelles qui n'augure que du BON en la matière ! De bonnes dispositions (esprit et corps) immédiatement confirmées par le désormais classique d'"intro" Almost Blue. Ce soir, la donne de la veille semble avoir changée : s'être déplacée de quelques centimètres plus profond, niveau existence perturbée du "dedans". Un retour au triple galop vers "Dame Inspiration" qui revigore d'autant, qui nous rajeunit de foulée, comme un changement de sang effectué sous haute surveillance auprès d'un Praticien Nommé Désir...
Une version de plus de DIX minutes qui s'étend jusqu'au manifeste humaniste : Your Only Job ; scandé en mode back to the Greenwich Village, bourré de bonnes vibrations, de respect, et du très "Hippi-ien" : "Je suis TOI et tu es MOI/ Oui/ nous ne faisons qu'un et nous sommes libres !". Une attaque surprise de nuit qui investi le donjon réputé imprenable à la volée, trouve sa victime, l'isole, s'en empare, puis s'envole rapidement vers les nuées tutoyées de passé sans oublier de jeter au passage le corps (du PAG) de la veille au soir en une mer lointaine, profonde, et dont on ne verra jamais les photos, ni aucune trace, sur nos visages recouverts de sourire niais, excepté.
Comme au bon vieux temps de la tournée Européenne de 2002, c'est le très "boisé" Vacancy qui s'en vient coller aux basques de ces "débordements" guitaristiques initiaux : extrait d'un album (Vacancy/1999) que les fans originaux semblent aimer plus que de raison, à bon escient, c'est ma foi vrai, mais qui aura conduit une bonne partie d'entre eux à snober bêtement tout ce qui a suivi, ou presque, ce qui commence à toucher en profondeur et peiner réellement son auteur : "Je ne comprends pas pourquoi ils n'aiment pas l'album ! Les chansons de The Graduation Ceremony, sont bonnes, mes textes me semblent beaux, remplis d'émotion, et la production assez simple, rapide : en tout cas beaucoup moins "chargée" d'instruments que des albums passé comme Come To Where I'm From (2000) ou Redemption's Son (2002) que les fans aiment. De plus, les véritables fans devraient plutôt être derrière-moi pour me soutenir face à ce type d'attaque, d'adversité, plutôt que l'inverse, non ? Je pensais pourtant avoir enregistré un bel album..." (JA/Toulon : en coulisses, avant le show du soir !).
Une interrogation légitime, que l'on ne peut que soutenir à l'écoute du sublime This Is Still My World: seul morceau pour l'instant "audible" par le biais de sa vidéo postée sur le site josepharthur.com au soir du concert de Toulon et extrait d'un album fantôme, PAS soutenu d'une promo transparente, qui, encore une fois, ce soir, abouti logiquement sur une salle aux deux tiers pleine... À peine ! Second extrait de ce beau The Graduation Ceremony qui s'impose un peu plus à nos sens après chaque écoute, comme c'est semble-t-il devenu la norme avec les productions souvent décriées par les (susdits) fans "hard core" du sieur Arthur - toujours et encore en quête du Graal discographique de légende soi-disant perdu peu après le sommet Come To Where I'm From (2000) - c'est une version "habitée", habillée de sons qui tombent sous le sens ou d'interventions qui nous prennent subitement à rebrousse-poil, qui saisit la salle : tellement les pédales me semblent bien décidées à ne pas jouer à "cache cache" d'avec ses pieds, ce soir ; comme c'est parfois le cas, et comme ce fut le cas, justement, la veille au soir, durant certains nouveaux morceaux offerts au Poste À Galène de Marseille. Une version qui enterre illico presto sa devancière de sa sècheresse échardée d'aspérités et distorsions à "rebonds" qui font vriller les pavillons ; une mise en abime, une première montée sous apnée qui ravigote et rabiboche d'avec le gars en face, qui bosse, lui, visiblement affairé à se bâtir un épais Mur du Son de protection.
Les premiers rangs serrés de fans "marquent" l'arrêt, eux - certains sont (encore et toujours) là depuis le séminal Big City Secrets (97) - ils savent forcément reconnaître ou (pres)sentir les prémices d'une grande soirée ; le Joe semble en effet bien décidé à le prouver, en dévers de toute logique apparente : d'où cette succession de couches, puis de couches successives, et autres couches, le tout augmenté d'une succession de couches et couches successives de sons finement empilés - sur pédales, sur six cordes vrillée de pulpe agressive ! - jusqu'à croiser au plus près de l'extase attendue, souhaitée, ô combien méritée. Lorsque Gypsy Faded on Us se pointe au parloir, bien décidée à surclasser la version de la veille, tout semble, on ne peut plus clair : ce soir, c'est Marseille versus Toulon (con !) et voici, voilà, que les vieux antagonismes d'antan se mettent de nouveau à affleurer à la surface huileuse d'une Mer(e) Méditerranée bien plus agitée et tapageuse qu'il n'y paraît, en profondeurs (OM Versus SC Toulon, RC Toulon VS le "XIII", Préfecture du Var VS Préfecture des Bouches du Rhône, Maurice Arreckx VS Gaston Defferre, Mafia Versus... Mafia !). Une chanson indexée sur sa (pas propre, et récente) rupture sentimentale, qu'il semble manifestement revivre d'affect en l'instant, en mode catharsis majeur.
Lors, les "Pirates de la Rade" semblent désormais survoler les débats, nantis d'un bel enchaînement (Watch Our Shadows Run/Out on The Limb) à même de réveiller, douloureusement/malencontreusement les fantômes enfouis de l'ensemble de NOS déceptions sentimentales présentes, passées, et même futures, tant qu'on y est : tant il est prouvé que l'ensemble de nos relations amoureuses finit toujours par se conformer peu ou prou aux mêmes modèles déposés, moches processus, laids déchirements, et logiques conclusions qui s'imposent en suivant.
Nantie d'une "montée" vocale accrochée aux pentes du Galibier ou de l'Alpe d'Huez - en termes de difficultés et lointains sommets à gravir, mais néanmoins passée haut les mains (au-dessus du guidon !) et sans souffler ou suer - Too Much To Hide ravive les ectoplasmes lestés de distorsion de feu Neil "My My Hey, Hey ! Into The Black" Young ; néanmoins encore assez Jeune pour nous gratifier d'un récent et étonnant Le Noise ! Une naissance éclairée, une saine progression, une fin quasi extatique : dotée d'une demande d'écorché vif, restée "lettre morte", visiblement : "Le rêve s'est enfui, au loin /Dans le lointain/Je suis toujours ici-bas, marchant à tes côtés/Une partie de moi le fera à jamais, je pense/Beaucoup trop de choses à cacher/Derrière ces yeux qui sont les tiens/Beaucoup trop de choses à cacher/ En ce monde qui est le tien/ (J'aimerais que) Tu soies là, maintenant !" (Too Much To Hide). Un "Be Here and Now !" prononcé, puis, "bouclé", de façon quasi extatique, en demande visible de réparation rétroactive.
Et, puis, voici que tout bascule : L'Enfant de la Rédemption s'en vient pointer du bec (puant) céans, lesté d'une charge incompressible de noire paternité mal assumée : une vie entière subie sous lourd diktat de l'"autre", une vie bloquée en mode héritier, une hérédité mal (sup)portée, vécue uniquement comme un fardeau pesant, envahissant, au plus proche de la pathologie de légende, qui semble fouiller au plus profond de nos entrailles à chaque écoute, à chaque fois un peu plus, pour s'y noircir de tripe et s'y complaire, au fond : "Je ne sais pas vraiment où nous sommes/les yeux apeurés ont la vue basse /je conduis la voiture de mon père/le cendrier déborde de ses cigares/ce que je vois est-il réel ?/son fantôme conduisant juste à mes côtés/tant qu'il ne sera pas parti, je ne serais pas vraiment libre/car je porte en moi tout le poids de sa misère/Dans le voisinage, personne ne le comprenait vraiment/En son cur, le mauvais l'emportait sur le bon/Il fût un temps où je l'aurais tué, si j'avais pu..." (Redemption's Son).
Une suite d'arpèges de rêve, qui rebondit de l'un à l'autre d'évidence, mais néanmoins (volontairement) plombée d'une mise en abime finale frisant l'Insoutenable Lourdeur de Naître : foulée du talon jusqu'à se briser, parsemée de secs lambeaux de voix, dotée d'un entrelacs de cris poussés, "façon" plainte, qui font frémir de la moelle (épinière) à foison, alentour.
"Au revoir, la Nouvelle Orléans..." : à côté de ce précédent monument hors normes, Speed of Life sonne presque apaisée, c'est dire. Je vois alors les laids fantômes de Katrina se radiner aussi sec pour s'attaquer de front à mes digues intimes, les déborder de lacrymal puis tout inonder/saloper dans la foulée... Holy Shit ! "My Life In The Ghosts Of Bush, as i may say ! You know... Eno !" (Petite fantaisie Anglo-Saxonne à déguster en mode VO, ou... pas !). Comme à chaque fois, c'est le fameux "En mon cur, il est une faim insatiable/ jamais je ne baisserais les bras !" (très chère au fondateur du site Français n°1 des fans du gars Joseph : lonelyastronauts.com) qui colonise mes synapses en attente d'"après" : une version belle à en "tomber en amour" d'avec cette fameuse Big Easy tant de fois vantée par ses habitants, musiciens, fans de jazz, ou visiteurs ; même ravagée, même en reconstruction carton-pâte, même récemment noyée d'oubli sous décombres. Toujours accroché à son harmonica fiché en mode Zimmerman, c'est au tour de Temporary people de faire frémir de la couenne à foison : "il doit y avoir au moins 25 personnes, qui vivent à l'intérieur de moi, tout le temps !/certaines d'entre elles sont toujours en quête d'une seringue/juste pour tenter de calmer et satisfaire mon esprit vicié". Une nouvelle descente menée à train d'enfer vers cette destination Dantesque qui fait frémir de rétroactivité, quant au passé tumultueux du gars Joe en question : jadis ado paumé sous "fixes", en la périphérie d'Akron, Caoutchouc, Ohio, USA ! (Bastion des pneumatiques Goodyear !). Une version surmontée d'un "spoken words" enflammé, nommé Travel as Equals, qu'on se le dise. Second monument extrait de Redemption's Son (2002) Honey and The Moon ravive momentanément les petits bonheurs liés aux "débuts" et les inévitables grains de sable qui affluent par la suite afin de faire grincer l'ensemble : un sommet mélodique dont on ne saurait décemment se lasser, si de sentiments, l'on est doté.
Après avoir avoué "rêvé d'ôter sa veste, tant il fait chaud !", il se lance dans une tentative, vite avortée, de communication d'avec le public : "c'est samedi soir ! Quelqu'un devrait vite me jeter une serviette, ou un os !". Une phrase suivie d'un SILENCE assourdissant, qui le conduit aussitôt à avouer son "échec !" pour se concentrer uniquement sur la musique, et quelle musique : le trop rare Enough to Get Away (Nuclear Daydream/06) qui eut dû lui permettre de décrocher un "hit", à l'époque, si le programmateur/chroniqueur hexagonal lambda était équipé d'esgourdes de concours pleines, affutées, en lieu et place de consignes commerciales et directives à suivre en toute occasion. Après un très délicat Could We Survive ? (2008) qui électrise le dedans mélancolique de l'être (versus néant !) voici que le très, très beau, rare et douloureux, Tiny Echoes surgit des limbes du passé et ravive d'autant le souvenir des magnifiques Junkyard Hearts (2002) "Parfois je pense que cet amour pour toi est la seule chose qui me maintienne encore debout !" ; une pure merveille à déguster de sucre "amer", en guise d'offrande, de récompense, de présent offert au passé doré sur tranche ; une prouesse bouclée de l'incontournable Toxic Angel, bien moins convaincante que la veille et faisant suite à une courte altercation du Joe d'avec une paire d'humains envahissants de la voix, coupable de couvrir ses moments calmes de commentaires dispensables et qui brisent net un moment rare, abouti et précieux (inachevé, quand tu nous tiens !).
Comme c'est devenu d'usage, le voici de retour en mode "assis de décontracté sur le bord de la scène, pour regarder les feux de camps luire dans le lointain...". Un set acoustique, joué au plus proche du public, qui voit le rare Drive (Temporary People/08) charmer et séduire de douceur, avant que le sommet Chicago (Let's Just Be/07) ne le voit chanter de beauté sans jamais cesser de s'accompagner en tapant du pied, comme feu Rémy Bricka - ses tambourins, ses pigeons, son kazoo, sa grosse caisse enchantée. Une chaise tendue par un spectateur, sur laquelle il s'assied, plus loin "j'ai enfin trouvé LA place, dommage que ce soit presque fini !", Exhausted prend le relais et convainc de tension, malgré DEUX pertes de médiator assez improbables : un relâchement dû au passage "unplugged", qui rassure on ne peut mieux sur sa réelle qualité d'humain, de fait.
La fin sera des plus belle : une suite de chansons à tomber - Horses, Someone to Love, In The Sun ("mon ultime tentative pour embrasser le cul de Dieu !" /JA/Poste à Galène/la veille au soir !) - indexées, comme l'ensemble de celles qui composent The Graduation Ceremony, d'ailleurs, sur la perte, le désamour, la douleur, les relations "dites" humaines, les conflits amoureux aboutissant inévitablement à l'effondrement de tout ce qui aura été bâti au préalable ! La toute fin se déroulera (elle) comme en dehors du temps : une ultime plainte qui conclut également ce beau dernier album "Un album entièrement bâti autour d'une rupture, l'ensemble des chansons qui le composent y sont attachées !" (JA/Toulon/en coulisse avant le show du soir). Oubliées, donc, les volutes bleutées des débuts et autres bains de jouvence nés de LA rencontre, à l'image de son filet de voix qui se casse peu à peu pour n'être plus qu'un souffle en sursis, une douce plainte qui tendrait aisément à prouver qu'il a (depuis) pardonné : tel un fantôme revenu momentanément hanter le champ d'une bataille autrefois irrémédiablement perdue, quoique livrée sans trembler, l'homme Arthur se lève, salue, puis disparaît peu à peu hors du champ de notre vision en entrant paisiblement en un étrange halo de fumée bleutée qui semblait le guetter, l'y attendre depuis fort longtemps, pour l'avaler et l'emmener au loin, "ailleurs", là où les rêves d'absolu initiaux perdurent et font écho aux désirs de chacun d'être deux, avant toute chose :
"J'ai entendu dire que tu avais pleuré/L'Amour ne t'a jamais demandé de mentir/ôte donc ce déguisement diabolique/je peux voir très clairement au travers de tes yeux..."
Set List :
Almost Blue / Your Only Job
Vacancy
This is Still My World
Gypsy Faded
Watch Our Shadows Run
Out on The Limb
Too Much to Hide
Redemption's son
Speed of Lght
Temporary People / Tavel as Equals
Honey and The Moon
Enough to Get Away
Could We Survive
Tiny Echoes
Toxic Angel
Drive *
Chicago *
Exhausted
Horses *
In the Sun *
Someone to Love *
Love Never Asks You to Lie *
(* Versions Acoustiques : Hors Sono et Micro !).
"Before The Show" (observé depuis les "noires" coulisses de l'Omega, en compagnie du gars Joseph, manifestement attentif à ce qui est communément nommée : une "Première Partie de (son) Spectacle !").
Lail Arad
Dans la foulée d'un album accrocheur et malin ()Someone New) cette jeune Anglaise a manifestement biberonnée aux pis des très grands de la pop en provenance de la "Perfide Albion", d'où cette logique et accomplie, en tout point, reprise du grand classique des Kinks : Dedicated Follower of Fashion qu'elle illumine pleinement d'envie et de savoir faire. Pour ce qui est du show en lui-même : une présence scénique forte, s'appuyant sur un réel bonheur de vivre, une envie et une énergie ô combien transmissible, et des chansons extraites de son bel album qui semblent véritablement bâties pour enjamber haut la main le délicat passage "dit" de la rampe ! De la bonne humeur en branches qui revigore, et une artiste qui demande à être suivi au cours des années à venir, et de près !
Critique écrite le 26 mai 2011 par Jacques 2 Chabannes
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