Chronique de Concert
KMA + Ô + Virago
le bal. Le groupe se compose d'un guitariste/chanteur, d'un bassiste, d'un batteur et, mais
il m'a fallu du temps avant de m'apercevoir qu'il était là tant il était caché, d'un deuxième guitariste qui
s'occupait des samples. KMA repose beaucoup sur les samples et sur un rock très classique mais néanmoins efficace. Je me
suis franchement bien amusé même si le groupe n'a pas établi une communication trop folichonne avec le public (qui
était encore clairsemé à cette heure là). J'ai aussi apprécié le dernier morceau très rap/rock, mais le public qui n'était
peut-être pas habitué à ce genre de chansons a semblé beaucoup plus dubitatif, ce qui fait que le final du set n'a pas forcément
été apprécié par tous tandis que le reste du set a connu une réaction positive du public. Après une brève coupure, Ô a
commencé à jouer. Un guitariste (électroacoustique)/chanteur, un guitariste (électrique), un bassiste et un batteur forment
ce quator, un peu dans la même veine que le précédent. Néanmoins, le guitariste apportait des riffs assez puissant qui
boostait un peu l'ensemble qui, lui, baignait dans une ambiance un peu sombre compte tenu des paroles, pas toujours joyeuses.
Parlons-en justement des paroles. Elles étaient sombres, je l'ai déjà dit mais elle ne volaient pas toujours très haut et
voir le chanteur très "en-dedans" pendant tout le set fait un petit décalage assez amusant. Néanmoins, le set qui m'a
semblé un peu plus court que le premier était loin d'être déplaisant bien qu'un peu moins bon que le premier. Une nouvelle
pause et voilà enfin les têtes d'affiche, à savoir les grenoblois de Virago. Souvent considérés comme une bonne alternative
à Noir Désir, ils se distinguent de ceux-ci par une utilisation (toutefois assez discrète) de samples et par des guitares
plus fortes que chez les Bordelais. Le trio a réussi à bien chauffer un public cette fois assez nombreux (mais sans qu'on soit
quand même aux coudes à coudes) à travers ses compos régulièreent basées sur le même schéma, couplets "cool" et grosses guitares
pendant les refrains. Un bon concert mais on regrettera un peu le manque de communication (surtout le bassiste qui a pas décroché
un mot ou un sourire du concert) et un petite répétitivité (mais tout petite hein !).
Critique écrite le 08 octobre 2001 par metal@concertandco
Virago : les dernières chroniques concerts
28 Days + Virago par Pierre Andrieu
Clermont-Ferrand, Coopérative de mai , le 24/04/2001
Virago commence la soirée dans son style bien particulier : tension, dissonance, textes parlés. C'est un trio guitare-basse-batterie avec des samples de guitares, piano, bruitages, violons, et voix. La musique et les textes sont très sombres, ne cherchez pas les lueurs d'espoir, il n'y en a pas ! Le moins que l'on puisse dire c'est que Virago n'est... La suite
SLOY + Virago + Dècheman par Hum !
Poste à Galène (Marseille), le 18/11/1998
Malgré la concurence déloyale (au niveau promo notamment) des autres concerts de la semaine (Placebo et John Spencer) il y avait tout de même près de 150 personnes au Poste à Galène ! 1ère partie : ViragoAuteur de 2 disques Virago (6 titres) et Introvertu (album qui vient de sortir), c'était leur premier passage à Marseille. Le public très attentif... La suite
28 Days + Virago par sam
Cooperative de Mai, Clermont Ferrand, le 26/04/2001
Virago : plat, sans grand intérêt mais pas "à eviter".
La musique en elle-même de 28 days est pas mal pour les amateurs de Limp Bizkit. Par contre y'a pas grand monde et l'ambiance est complètement nullle, tout le monde dors.. C'est presque chiant. Point positif : les gars de 28 days sont bien sympas. La suite
VIRAGO + KMA + MY HEAD IS A NIGHT CLUB par Iguana
Le Brise Glace - Annecy, le 14/10/2000
Soirée avant première puisque l'excellent groupe grenoblois Virago nous offrait la primeur de son show après un séjour préparatif en résidence au brise Glace. Un peu moins de 200 personnes ont ainsi pu partager l'intimité de leurs nouvelles compositions. My head is a night-club(photo Marc Porral) La soirée a débuté par une surprise avec la... La suite