En somme si l'on vous lit bien cher Pirlouiiiit, c'est le concept de ce-qui-craint-à-Marsatac poussé à son paroxysme : plus de musique live, plus de rock du tout, plus de fans de musique live non plus. Uniquement des branleurs de mulots et des poseurs. Et du coup, même plus besoin de voir la scène : comme dit Sami (le lendemain), c'est finalement plutôt un club à ciel ouvert... Ma foi, il faut de tout pour faire un monde même si le nom du festival semble effectivement une grossière tromperie sur la marchandise !
Pendant ce temps-là, moi en tout cas j'étais bien sur une (presqu')île à écouter du rock (à Evette-Salbert, Territoire de Belfort, 90). Et à moins de considérer que des pompes couvertes de boues, un froc maculé, la bière cheap en verre Ecocup et un kway détrempé ne soient des accessoires de mode, je n'y ai vu personne en "mode poseur". Alors, quand est-ce qu'on vous y voit ?
;-)
Enfin, ce "Rock Island" c'est sans doute représentatif de ce qui nous attend en "in" de Marseille 2013...
Et effectivement la standardiste de mon taf a l'air plus enthousiaste à son poste de travail un lundi matin, que le DJ tout mou que vous avez filmé... Beuark.