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Chronique de concert Lauryn Hill
Samedi 21 décembre 2024 : 6880 concerts, 27253 chroniques de concert, 5420 critiques d'album.
Chronique de Concert
Lauryn Hill
LA tête d'affiche de ce Nice Jazz Festival...
Et ben quelle merde, j'étais venu en fan du peu qu'elle a fait dans sa carrière, je ne crache pas dabns la soupe mais les Fugees sont maintenant bien loin et "the Miseducation" date de 1998...
Arrivée avec 1 heure de retard, en diva forcément, on préssent la foule venue en masse (je n'avais jamais vu autant de monde au NJF !)qu'il est "possible" que le concert soit écourté à cause de l'état de la voix de lauryn Hill....bronca !
Les musicos arrivent et commencent un morceau long... mais long, et on comprend trés vite même si 'l'artiste" n'est pas encore la que ce soir on entendra un son trop fort, brouillon selon les moments et surtout en total décalage avec l'idée que l'on se se fait de Lauryn hill, remarquez, on ne la voyait plus depuis tant d'années, elle a bien le droit de changer de style !
Et elle a changé de style ! Fini la bombe au regard enivrant, bienvenue à une gueule ravagée par l'alcool, qui abuse de faux cils immenses pour nous signaler où sont ses yeux, une attitude sur scène qui n'est pas sans rappeler James Brown bien camé et surtout une absence totale de voix ce qui vous me l'accorderez sans doute : en plus d'être bien plus important que tous les "détails" cités précédement est plutôt ennuyeux pour une chanteuse...
Bon voila, vous n'aurez pas de set list puisque je n'ai pas reconnu le tiers des chansons jouées et surjouées, la seule chose que je peux objectivement dire de positif c'est qu'elle a essayé d'aller au bout, 1h40 environ même si vraiment sur la fin c'était fatiguant, elle finit sur les 4 fantastiques des Fugees et massacre "Killing me softly" avec son groupe.
Killing me softly...ça résume assez bien ce concert finalement !
Et ben quelle merde, j'étais venu en fan du peu qu'elle a fait dans sa carrière, je ne crache pas dabns la soupe mais les Fugees sont maintenant bien loin et "the Miseducation" date de 1998...
Arrivée avec 1 heure de retard, en diva forcément, on préssent la foule venue en masse (je n'avais jamais vu autant de monde au NJF !)qu'il est "possible" que le concert soit écourté à cause de l'état de la voix de lauryn Hill....bronca !
Les musicos arrivent et commencent un morceau long... mais long, et on comprend trés vite même si 'l'artiste" n'est pas encore la que ce soir on entendra un son trop fort, brouillon selon les moments et surtout en total décalage avec l'idée que l'on se se fait de Lauryn hill, remarquez, on ne la voyait plus depuis tant d'années, elle a bien le droit de changer de style !
Et elle a changé de style ! Fini la bombe au regard enivrant, bienvenue à une gueule ravagée par l'alcool, qui abuse de faux cils immenses pour nous signaler où sont ses yeux, une attitude sur scène qui n'est pas sans rappeler James Brown bien camé et surtout une absence totale de voix ce qui vous me l'accorderez sans doute : en plus d'être bien plus important que tous les "détails" cités précédement est plutôt ennuyeux pour une chanteuse...
Bon voila, vous n'aurez pas de set list puisque je n'ai pas reconnu le tiers des chansons jouées et surjouées, la seule chose que je peux objectivement dire de positif c'est qu'elle a essayé d'aller au bout, 1h40 environ même si vraiment sur la fin c'était fatiguant, elle finit sur les 4 fantastiques des Fugees et massacre "Killing me softly" avec son groupe.
Killing me softly...ça résume assez bien ce concert finalement !
Critique écrite le 07 août 2007 par mozamen
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