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Chronique de concert Lidwine
Lundi 23 décembre 2024 : 6830 concerts, 27255 chroniques de concert, 5420 critiques d'album.
Chronique de Concert
Lidwine
Passer au Motel sous prétexte que des amies y chanteront avec Lidwine, en revenir enchantée. Lieu convivial, joli, mais bruyant, le Motel est un drôle d'écrin pour la perle qu'il accueille ce soir.
Lidwine ouvre le set avec "No Monkey", la mélodie jouée à la harpe est douce, le propos douloureux, évoquant la nécessaire protection d'un jardin secret. Le lieu est plus approprié aux concerts électriques, car la salle du bar, contiguë, est fort bruyante, il est difficile de s'y entendre jouer. Le public face à elle est au contraire très attentif, chaleureux et bienveillant. J'y reconnais plusieurs artistes de la scène indé. Des connaisseurs...
Elle enchaîne avec "Back And Forth" qui nous transporte vers un rivage oriental. Évoquant le chaos, ce titre fera étrangement écho avec celui qui nous accompagne ce soir. Ensuite, elle interprète "Holy Night" fort à propos encore: il neige sur Paris, l'atmosphère est magique. "Duet For Ghosts" et sa tendre déclaration d'amour nous extraient du Temps. La voix de Lidwine se fait plus forte, claire et radieuse.
Puis changement de set, elle troque sa harpe pour un harmonium et s'entoure d'Emma Broughton, Diane Sorel (Les Colettes), Clotilde Veillon et Nathalie Réaux (Pagan Poetry) pour "Half Light", plus enjouée et rythmée. Je découvre ensuite "The Pool" où elle joue de l'autoharpe. Les voix font merveille, le public est ravi. Elle choisira de venir se lover au cur du public, aussi rejointe par Barbara Silverstone et Ludivine Boizard, afin d'interpréter son dernier morceau "Blow The Horns", pour clore ce délicieux moment d'intimité.
Lidwine ouvre le set avec "No Monkey", la mélodie jouée à la harpe est douce, le propos douloureux, évoquant la nécessaire protection d'un jardin secret. Le lieu est plus approprié aux concerts électriques, car la salle du bar, contiguë, est fort bruyante, il est difficile de s'y entendre jouer. Le public face à elle est au contraire très attentif, chaleureux et bienveillant. J'y reconnais plusieurs artistes de la scène indé. Des connaisseurs...
Elle enchaîne avec "Back And Forth" qui nous transporte vers un rivage oriental. Évoquant le chaos, ce titre fera étrangement écho avec celui qui nous accompagne ce soir. Ensuite, elle interprète "Holy Night" fort à propos encore: il neige sur Paris, l'atmosphère est magique. "Duet For Ghosts" et sa tendre déclaration d'amour nous extraient du Temps. La voix de Lidwine se fait plus forte, claire et radieuse.
Puis changement de set, elle troque sa harpe pour un harmonium et s'entoure d'Emma Broughton, Diane Sorel (Les Colettes), Clotilde Veillon et Nathalie Réaux (Pagan Poetry) pour "Half Light", plus enjouée et rythmée. Je découvre ensuite "The Pool" où elle joue de l'autoharpe. Les voix font merveille, le public est ravi. Elle choisira de venir se lover au cur du public, aussi rejointe par Barbara Silverstone et Ludivine Boizard, afin d'interpréter son dernier morceau "Blow The Horns", pour clore ce délicieux moment d'intimité.
Critique écrite le 22 janvier 2013 par Lartsenic
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