Chronique de Concert
Mardi Gras BB
(Prescription Blues !)
Rapide Préquelle jetée ici sous forme de rappel, sur un coin d'ordi tombant de sommeil (le Mardi Gras BB pour les "Nuls", quoi, en somme) : "Neuf albums sous le coude (rien moins) et une existence en "fanfare" qui court le globe sur de près de DOUZE années - en dépit des incessants changements de personnel et fréquentes réorientations musicales qui élargissent leur horizon un peu plus, à chaque sortie d'album ! - et il reste encore malgré tout des gens, céans, en ce bas monde, pour ignorer que les Mardi Gras BB sont ALLEMANDS !!! C'est à ne rien y comprendre... Surtout, que, sur scène, ces gens sont FURIEUX ! INCLASSABLES ! Hors DU TEMPS ! TIGRESQUES...".
Cargo en Arles, début de nuit (20 h 50) : les musiciens du Mardi Gras BB croisent nerveusement, tournent et retournent en rond, semblent apparemment se poser des questions quant à la future fréquentation en "masse" du lieu, ce soir : pour l'instant, nous ne sommes guère qu'une quinzaine de pékins présents à stationner à proximité du bar, quant à la salle elle-même, elle reste désespérément vide de présence spectatrice... Inquiétant ! Hélé, puis happé par mes soins,Javier de la Poza (Grosse caisse tambour, cymbale + melon vissé sur crâne) se fend de quelques indiscrétions baragouinées en "Hispano-Anglo-Français" et parsemées de rares interjections Allemandes (juste pour faire bonne mesure, juste, vu qu'il est domicilié en Allemagne, comme le reste du groupe !) :
"Pour nous, ici, au Cargo, c'est comme à la maison ! On se sent bien, on est bien reçus, on mange bien, on est à l'aise. Et puis, je crois que le sud me manque, en fait ! À chaque fois que je redescend vers le sud, je me sens un peu comme chez-moi (après une demi seconde de "blanc", il enchaîne sévère, tout teinté d'un épais voile de nostalgie géographique). De toutes façons, pas de problèmes pour ce soir : le Mardi Gras BB joue TOUJOURS de la même façon, à fond ! Qu'il y ait 10 personnes, ou des centaines, pour nous, c'est pareil, on joue sans se poser de questions, avec le même plaisir. On a eu des moments fantastiques, d'ailleurs, certains soirs, avec personne dans la salle, ou presque !". Quand il me demande ce que je pense du groupe sur scène : je lui rétorque que j'ai particulièrement adoré leur concert donné en Ex-RDA et présenté en version "bonus" au sein de l'album My Private Hadron ; tout de suite, il fait la moue : "Tu as aimé ? Sérieusement... Le lieu était génial et le public très bon, mais... Le réalisateur a fait n'importe quoi ! C'est coupé n'importe comment, haché, monté, euh... j'ai mal au cur, moi, quand j'essaie de le regarder plus de cinq minutes ! Pas toi ? (Je l'assure du contraire : ce concert est fantastique, malgré quelques errances, niveau montage, il est vrai...) notre producteur a voulu tout faire lui-même : il a placé les caméras, à placé tout le monde et donné les ordres, puis au retour, il s'est enfermé dans une pièce, avec beaucoup d'alcool, d'où le résultat (moue dubitative, suivie d'un rire sec, tendu de nerveux) moi, je ne tiens pas dix minutes, maxi ! (Rire, derechef...) c'est dommage, le concert était génial, on était tous déguisé, barbus, et... Bon, c'est comme ça !" (Un voile passe, chargé de lourds regrets qui le font désormais voler sur le dos, ou presque). Les gens commencent à entrer par grappes et il se détend d'autant: "Il faut que je fasse bien attention à la musique : lorsque Mahmout (DJ du groupe) passera sa musique de "Jungle" (l'étendue verdoyante et touffue naturelle, pas la musique !) Il faudra que j'y aille vite ! C'est le signe du début du concert ! Une ou deux fois, j'ai pas réagi assez vite, et même, une fois, ils étaient déjà tous sur scène à m'attendre en me regardant froidement... Je te dis pas comme j'étais mal... (Rire nerveux qui s'éternise tellement qu'il en manque de renverser le contenu de son verre sur mes genoux qui reculent instinctivement, inquiets !). Sur ce, il se lève, se rend brièvement dans la salle, puis revient vers-nous en fronçant le sourcil : "le concert est décalé de 20Mn ! Mahmout fait un peu la gueule car il doit passer des disques en attendant et il n'a que des disques sélectionnés pour scratcher...".
Un bon quart d'heure, plus loin, le disque "Jungle" tant attendu fait son apparition dans les hauts parleurs, suivi du groupe au grand complet qui se lance illico dans une symphonie de cuivres et mimiques à même de faire fondre sur l'heure les plexus les plus endurcis... Tout de suite, on remarque cette enviable joie de jouer, décuplée par leur trop court passage effectué la veille à Marseille à l'occasion d'un rassemblement très "people" organisé par une Radio Parisienne autrefois vivante (il y a pleins des années de cela, au moins, à défaut d'inventive !) ; et les (vrais) gens ici de se presser illico aux abords de la scène pour tenter d'y exorciser en dansant les diverses peurs récentes liées au nucléaire, à la désolation, à la guerre actuelle d'avec la Lybie, aux résultats du premier tour des Cantonales. Après une courte algarade d'avec un photographe "local" qui tient absolument à ce que nous lui laissions un "max de place pour shooter pendant UNE minute ! Afin d'être tranquille après..." (Sic !) La puissance de la "fanfare" reprend ses droits, portée par un duo de percussions (Florian von Schlechtriemen + De la Poza) qui pousse les genoux et bassins à swinguer malgré eux en cadence : et les gouttes de sueur de se mettre lentement à couler, depuis la base des sourcils, jusqu'aux fameux sillon interfessier de légende. Lorsque la clarinette de Victor Clarishenko se fait à la semblance des Ondes Martenot, histoire de vampiriser un peu plus, encore, l'ensemble de nos synapses séduites par tant de joie et d'envie, la CRISE elle-même - tant de fois vantée en mode "grave" par les médias de toutes obédiences et "couleurs" - semble reculer prestement de deux ou trois cases, sans moufter... Enfin ! Alors, adieu ""nuage, fumée, vague Tsunamiesque, loyalistes insurgés et répression sauvage", l'ailleurs, le pays de Cocagne, existe bel et bien et il baigne dans la félicité la plus complète, qu'on se le dise !
Savamment positionné entre les divers extraits de l'imaginaire et tragicomique "Journal de Bord de l'Éxpédition Von Humboldt", les monologues, lus en FRANÇAIS par l'énigmatique Doc Wenz, ne brisent en rien l'élan de l'ensemble, bien au contraire, ils permettent juste aux présents de souffler un tantinet en riant avant de remettre "ça" au plus vite, dès que le sémillant équipage du Mardi Gras BB relance la machine : 5 cuivres qui rivalisent de sons, déhanchements et hanches/anches soufflées, tenues ou poussées ardemment du poumon, qui font "pousser" çà et là des dizaines de gencives et dents - impeccablement rangées, blanches jaunies ou éparses ! - trop souvent cachées ou serrées de stress au quotidien, récemment. Un "swing" effréné, plus loin, le très "British" Bowler Hat dégonfle le "melon" du sieur Tony Blair (de funeste mémoire) sans jamais cesser de jouer d'avec les rimes riches en provenance d'outre Manche : "Happy Pills ! Emma Peels ! Daffodils...", tandis que je tombe définitivement "en amour" d'avec la guitare du gars Doc - un bout de bois, quasi antique, fait entièrement d'ivoire et bois foncé au plus proche du palissandre - et que je m'y perds même en pensées durant quelques courtes minutes, absent, "ailleurs" : phagocyté par la beauté de l'objet et sa relative incongruité plastique. Elle a beau "pousser" du groin et des hanches, cette formation baroque et bigarrée - trombone, trompette, clarinette/sax, baryton sax, grosse caisse et cymbales, caisse claire et cymbales, DJ, Guitare, Soubassophone !?? - elle n'en arrive pas moins à se faire plus "douce", plus "pop", lorsque l'occasion se présente, à l'aide de l'un des sommets de l'album 29 Moonglow(2005) : Dark Days ; et la température de monter encore d'un cran pour accrocher nos âmes réjouies d'autant aux cimes rêvées d'antan jugées par trop souvent inabordables et contournées de pale, de renoncement, par la morne vague "Back to the 80's" actuelle, et sans suite...
Extraite du jouissif et récent Von Humboldt Picnic / A Journey With Mardi Gras BB, Blvd de Clichy symbolise l'étape Française de l'expédition et nous ramène tout de go aux abords de la lointaine Exposition Universelle de Paris de 1900 ! Une "Belle Époque" bénie d'insouciance - pour qui en avait les moyens, alors, bien sûr... - brusquement et définitivement "plombée" par la Guerre de 14-18 et le glauque charnier humain qui s'en suivi, inhérent à toute guerre, de proximité... Ou pas !
Si ce n'était l'omniprésence du "préposé" aux platines - le gars Mahmout : tacite, concentré, en contrepoint permanent, qui patine et habille d'un jeux de mains pervers la bonne mine des présents, mais jamais ne prends le pas, ni ne culmine vainement au-dessus de l'ensemble - la nostalgie serait de mise et nous pousserait sans doute à lancer, le sonore, le très de saison : "avant, c'était mieux, beaucoup... Mieux !". Lors, ces platines rassurent pleinement sur la capacité de l'ensemble à pouvoir sonner "moderne" sans pour autant avoir à renier son héritage musical, bien au contraire, ils peuvent le revendiquer sans ciller transiger ou se renier, c'est avéré, signé "B.B" !
Lorsque l'il se laisse un court instant aller à détailler de précis cet ensemble dépareillé de fait - fringues "vintage", pompes pointues ou bicolores, costumes coloniaux, bijoux tape à l'il, tambours qui serpentent ou frappent et melons qui flottent sous sèches fessées de caisse claire ! - le tableau saisi immédiatement le "dedans" esthétique afin que de l'interpeller sur le bien fondé de cette réalité.
C'est baroque, ce barouf, barré et brinqueballant, porté beau à s'en dessiner du sourire lippu en permanent sous barre d'exigence placée au plus haut ! Une sorte de "United Colours of Maxiton" qui rassure on ne peut mieux sur le devenir de notre humanité de proximité souvent uniquement centrée sur "petit SOI" et versée avant tout en mode "perso", option "Moi, Moi". À l'opposé - chemise chinoise sous crâne rasé - Yannis Huck habille élégamment le "décalé" Monk Punk : un monastère juché tout en bas, pour une fois, en les profondeurs duquel un groupe de "Moines Punks" subversif s'échine à révolutionner le quotidien d'un peuple asservi, le tout en cachette du gouvernement Chinois qui (sur)veille au grain et d'un Dalaï Lama hermétique, voire... "Absent" ; de quoi philosopher en rythme, des heures durant, sous fessier, sans jamais cesser de "phosphorer" du "cerceau" en se plongeant au plus profond du propos, il va sans dire...
Après une courte escapade "Latino" (Americanos Need The Coke) qui voit les filles accros aux trop nombreux studios de danse (fleurissant un peu partout actuellement) coloniser désormais le devant de la scène en déhanchant à donf : les "survivants" de cette branlante expédition posent momentanément leurs regrets et plaies en Amérique du Nord, berceau du Rock'n'Roll ! Un très tonique Still In Love With Montréal et une harangue à l'ex gouverneur du Texas (le "W" Georges, de sinistre mémoire) ou à l'ensemble de la politique Américaine depuis toujours indexée sur mode de vie expansionniste, qui rafraîchit franchement le dedans de l'être ( Country Music Lover). Pas de chance pour les derniers "moussaillons" encore de ce monde, le Von Humboldt coule finalement à pic dans l'Elbe natale et les rares survivants évacués d'urgence en un hôpital de Hamburg... End of the story ! Introduit d'un court hommage au génialissime In A Gadda Da Vida de Iron Butterfly, Psychoflute achève les derniers restes de vitalité présents en la foule, avant que tous ne descendent se mêler à elle pour y interpréter (en cercle !) en mode "parade", une suite de marches et thèmes entrecoupés de soli remarqués : ceux de Robert Solomon(trombone) et du placide Reverend Krug(soubassophone) en tête... Tandis que le pince sans rire Doc Wenz, lui, s'occupe à ranger paisiblement la scène, sans jamais cesser un instant de taper du pied et sourire en cadence ! (À moins que ce ne fut l'inverse ?).
Les adulés Américains du The Dirty Dozen Brass Band (from the late City of New Orleans) ont désormais du souci à se faire, ils feraient bien de se méfier, et même, prendre au sérieux, cette fanfare Allemande en plein devenir qui n'en finit pas de révolutionner le genre et distiller de l'or "plaisir" en liasses, pour ne laisser derrière elle, que, pupilles humides, larmes de joie et populaire liesse. Le Bonheur est Dans l'Après...
P "1" S : Après rapide discussion d'avec les membres du groupe, après concert, un rapide tour d'horizon des impressions et émotions...
"Par rapport à hier soir (à Marseille) c'était fantastique ! Ici au Cargo, les gens ont dansé, mais ils ont également écouté les extraits du Journal de Bord et ils riaient ou participaient, lançaient des trucs que je n'ai pas compris ! À Marseille, par contre, les gens dansaient, ok, mais ils s'arrêtaient pendant que Doc Wenz parlait, sans aucune réaction, à aucun moment, étonnés, en attendant la suite..." (Javier de la Poza /grosse caisse + cymbales).
"Et puis, c'était très court, notre passage, à cause de la soirée elle-même (Mini festival organisé à L'Espace Julien, ce vendredi 25 mars, avec 5 groupes) très court ! On a attendu longtemps pour jouer très peu, et le son n'était pas bon ! On avait du mal à entendre ce que l'on jouait... La galère, quoi !" (Yannis Huck/ Trompette + gilet Asiatique scintillant de dorures).
"C'est la grande différence entre une soirée "VIP" et un vrai concert comme ce soir ! En plus, tu sais comme j'ai eu peur qu'il n'y ait personne, avant le concert, hein ? Mais quand j'ai vu que c'était rempli, finalement, ça m'a donné encore plus envie de jouer ! En plus, ici, le son était génial !" (Javier de la Poza /grosse caisse + cymbales).
"Pour terminer la tournée, chez-vous, c'était vraiment super de jouer ici, avec un public aussi "chaud" que ce soir, qui dansait tout le long, fantastique, surtout après les mauvaise conditions d'hier soir... Parce que, demain, on rentre en Allemagne !" (Yannis Huck/ Trompette + gilet Asiatique scintillant de dorures).
"Moi, j'ai trouvé que c'était encore mieux, ce soir, que quand nous sommes passés ici la dernière fois. Mais, hier soir, le public a bien dansé également à Marseille, c'était juste, "différent"... Je suis content que tu achètes des vinyles, parce que c'est un support que nous soutenons à fond et nous voulions vraiment le sortir en 33t, ce dernier disque. Le seul problème étant que nous n'avons pu y ajouter les morceaux supplémentaires présents sur l'édition limitée en CD, pour cause de durée maximale sur un SEUL disque !". Un spectateur lui demande alors pourquoi il n'ont pas joué leur reprise "fandarde" de Kung Fu Fighting (réponse du "Doc") : On ne peut pas toujours rejouer les mêmes morceaux, à chaque fois, tu sais ! On a 9 albums derrière, maintenant, et puis, le dernier album est très bon et on a envie de le jouer beaucoup... Et puis, c'est toute une histoire, ce disque, alors on essaie de la raconter au mieux... (Doc Wenz /chant + guitare + Journal de Bord du Von Humboldt / rencontré autour du stand "merch", pendant que j'achetais des vinyles du fantastique dernier album : Von Humboldt Picnic / A Journey With Mardi Gras BB).
P "2" S : ("Du plaisir distillé en millibarres et instruments sous le vent qui révolutionne sur le champ notre petit Monde à chaque micro rotation de bassin !") (J2C : Journaliste-Météorologue de proximité zéro ! À propos du Mardi Gras BB / Extrait de son incontournable, mais néanmoins aujourd'hui épuisé : "Guide Ultra Complet de la Fanfare Teutonne Dodécaphonique Piétonne en Campagne, au Lit, en Soirée, et à La Ville, Aussi... Aussi !" ).
Set List :
Dj Intro
Jungle Instrumental
Free and Easy
Container N° 905
Child of Pop
Bowler Hat
Dark Days
Blvd de Clichy
Hawaiian Star
Mahmut Interlude
Benim Ismim Mahmut Altunay
Prescription Blues
Down, Down, Down
Big River Tribute
Still In Love With Montréal
Americanos (Need The Coke)
I Was Blind
MonkPunk
Moto Boat
Country Music Lover
Let It Shine
Psychoflute
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