@Julien : on ne dit pas "Niquel", on dit "Ooooh, sacrebleu, mais quelle jolie jouvencelle, je lui ferais volontiers subir les derniers outrages !..." ;-)
...ou alors, on dit "Nickel" qui vient de l'élément métallique du même nom. Just kidding.

@xavier : par souci de vérité et sans désir de défendre particulièrement Marsatac, je vous reprends sur plusieurs points :
- il y avait bien 1 ou 2 stands de restauration bio, vous avez mal regardé (on peut trouver que c'est pas assez) ;
- la bière 33 cl et le coca/soda 50 cl ("boissons de base") étaient à 3 euros, tarif couramment observé en 2011 en festival (cette année j'ai été à Art rock, Eurocks & Rock en seine) : mais si vous buvez des choses meilleures, c'est forcément plus cher...
- il y avait bien de l'eau dispo, au moins dans les toilettes Cabaret et Seita, ainsi qu'au stand prévention, et n'importe qui d'un peu avisé apporte un bouchon de rechange pour remplacer ceux qu'on lui pique au bar, et peut donc circuler avec sa bouteille toute la soirée (notez le pour plus tard) ;
- il n'y avait pas selon moi "des centaines" de gobelets par terre (ce serait faire insulte aux nombreux bénévoles qui se sont activés les 3 jours pour garder le site propre), bon il y en avait c'est sûr, et plus que s'ils avaient été consignés c'est certain ! (moi aussi je me demande pourquoi ils n'en ont toujours pas) ;
- Vos commentaires à l'"Ami journaliste" me paraissent vraiment malhonnêtes : je ne suis pas intime de Julien 13RU, mais je le sais fan de musiques urbaines : je l'imagine vraiment très mal passer toute la soirée à l'espace VIP (d'où, à Marsatac, contrairement à d'autres sites, on ne peut d'ailleurs pas regarder les concerts !) alors que la prog lui fait tellement envie ;
- sur le son je ne l'ai pas trouvé si minable que ça - mais là on entre dans le domaine du ressenti, voire du goût personnel, et chacun a le sien.
- sur l'abus de bénévolat, je suis d'accord mais j'ajoute que c'est un mal généralisé dans la plupart des grands festivals français :
- et sur les subventions il est vrai que le festival devrait travailler à augmenter son taux d'auto-financement pour assurer sa survie à long terme, je vous rejoins là dessus sans problème !

Bref, si vous voulez critiquer efficacement un festival et taper là où ça fait mal (je le fais souvent), évitez la mitraillette qui touche une cible sur 3 et faites plutôt le sniper, vous verrez, c'est franchement plus efficace. Surtout qu'à Marsatac, ils ont plein de défauts peut-être, mais ils lisent ce site et tiennent même, parfois, compte de nos commentaires !
Sans rancune j'espère.