Chronique de Concert
(mes) Eurockéennes 2019, 1/2 : Mass Hysteria, Hubert Lenoir, Kate Tempest, Weezer, The Psychotic Monks, Frank Carter & The Rattlesnakes, Mantar
Presqu'île du Malsaucy, Evette Salbert 6 juillet 2019
Critique écrite le 09 juillet 2019 par Philippe
On aurait bien aimé commencer comme toujours ces chroniques par le petit couplet sur notre 26 ième participation d'affilée, sur les 31 éditions de nos chères Eurockéennes, par la petite blague habituelle sur notre âge avancé, comparé à celui de la moyenne des festivaliers. Oui mais voilà, le dimanche à l'entrée, on a croisé un tonique spectateur de 62 ans et a priori presque toutes ses dents, qui y venait pour la 30 ième fois (à se demander quelle fut son excuse pour l'année manquée ?), et qui enquillait là son, euh, quatrième jour d'affilée, ce qu'il nous a prouvé vidéo à l'appui ! Ca nous a directement claqué le beignet pour cette année... On se contentera donc de signaler que les Eurocks se mettent enfin au Cashless (le bonheur, des deux côtés des comptoirs !), et que la prévision météo sous le Mont Salbert n'est toujours pas une science exacte...
Car si pour le week-end (le seul créneau compatible avec notre vie de grande personne habitant à 850 kilomètres), on nous avait unanimement condamné par avance à des éclairs zébrant un ciel gris, et à des pieds tanqués dans la boue, on a eu à la place les zolis navions et fumées de la Patrouille de France, tri-coloriant un ciel presque tout le temps clair par ailleurs, et juste le nez dans la poussière de samedi à dimanche... Mais personne ne s'en est plaint, hein ! On aura eu d'autant plus de plaisir à faire visiter le site à une invitée, jamais venue à ce jour, qu'il est décidément bien joli et accueillant au soleil ! Ah, et puis les organisateurs eux, ont invité le Comte de Bouderbala (dont on ne verra que quelques instants), charismatique et rigolo, mais quand même incongru dans un festival qui fut un jour spécialisé, nous semble-t-il, dans le rock...
Au commencement du rock samedi, était donc Mass Hysteria, emmené par son historique chanteur Mouss. Comme il fallait s'y attendre, on a refait les constats habituels sur eux : beaucoup d'énergie, rapidement un gros moshpit qui enverra en l'air la moitié de la poussière de devant la grande scène, mais toujours pas de chansons marquantes, un raffut souvent un peu confus et pas très agréable à l'oreille (au fait, l'auteur de ces lignes est amateur de metal, hein...). Et surtout, surtout, un frontman absolument épuisant de par son discours jeuniste et démago à crever, en plus d'être con comme la lune - c'en est littéralement embarrassant pour lui ! C'est peut-être là le secret de leur longévité, au final : à défaut de pouvoir lui taper dessus, comme on en a tous eu envie au bout d'une demi-heure, les gens du public (ceux qu'il appelle les "furieux" et autres "complotistes"...) profitent de toutes les occasions de se ruer les uns sur les autres, pour se défouler. Et donc, le groupe reste convaincu d'être bon pour soulever les foules... Cela dit à ce train-là, le malentendu peut encore durer des années !
On passera donc plutôt l'autre moitié du créneau avec le québécois Hubert Lenoir, un vrai showman glam de petite taille aux faux airs de Xavier Dolan, qui trempe son costard sous le soleil à force de s'agiter dans tous les sens. Où l'on profite d'une plage moins peuplée pour écouter ses jolies chansons pop pêchues et un peu foutraques, manifestement un peu éméchées aussi - il tente même une brève ascension de la structure en métal... Rien de totalement bouleversant dans ses Fille de personne (la deuxième rendant toutefois hommage à David Bowie), mais une assez belle voix et un look émancipé, et une ambiance agréable pour papoter, notamment avec mon cousin qu'on arrive toujours à croiser au Malsaucy (après tout, il n'y a que 30 000 personnes sur le site...). Par contre, impossible ensuite de s'approcher de la sympathique et bien jolie Angèle, qui a sursaturé le chapiteau - même pas pour l'apercevoir sur un écran géant - il y a manifestement eu une grosse erreur de choix de scène à son sujet !
Retour à la plage donc, pour quasiment découvrir en live Kate Tempest, hip-hop en talk-over et sans fioritures, raclé à l'os, mais jamais ennuyeux ! A la façon des Sleaford Mods mais dans un style plus tranquille, la londonienne, poétesse de son état, déroule des textes à l'accent marqué, sur la difficulté de la vie, du monde (Europe is lost) et sur son Angleterre qui part sérieusement en couilles, textes étrangement touchants alors qu'on y comprend pas grand-chose - ça va bien trop vite pour nous mais son émotion et sa colère (Ketamine for Breakbast) sont perceptibles dans le timbre de sa voix ! Certains sons sont tout de même joués live, et les infra-basses nous soulèvent à intervalles réguliers, avant que le piano ne nous touche au coeur (People's face). Certains passages un peu lents à notre goût, ne gâcheront pas le plaisir d'un très beau concert, souvent émouvant. Et d'une artiste au fort potentiel, dont on ignorait pourtant l'existence il y a encore 48 heures...
C'est l'heure de gagner la grande scène pour l'archétype du groupe de rock US, un peu trop standard à notre goût mais jamais vu à ce jour : Weezer ! Bien sûr Rivers Cuomo et ses collègues ont un peu changé depuis la mythique vidéo de Buddy Holly (1994, quand même !) : de premiers de la classe, ils sont naturellement devenus ... profs de math ! Mais une fois qu'on s'est faits à l'atroce tenue de golf du chanteur et à sa voix un peu limitée, le plaisir de titres souvent efficaces reste communicatif.
Avouons que même si ça pique un peu les oreilles, leur challenge (peut-être lancé pour des raisons fiscales ?) de reprendre les deux scies les plus atroces des années '80 est aussi plaisant que régressif sur scène : Take on me ou Africa (des consternants A-Ha et des infects Toto...) déchaînent évidemment les foules, mais finiront par faire pleuvoir un peu - il fallait quand même s'y attendre, non ? Avant que la bien plus digne Undone ne rattrape le coup... Bien entendu au rappel (commencé par un petit choeur charmant sur un Buddy Holly bis), le public vibre à nouveau pendant "leur musique de pub", Island in the Sun. Good job guys, on attendait pas grand-chose de ce concert, certes un peu pépère mais qui au final, s'est avéré bien agréable quand on y lâchait un peu les chevaux, comme sur Pork & Beans ou sur la Say it ain't so finale...
Le concert suivant par contre, était notre climax prévisionnel de la journée, tant l'album de The Psychotic Monks squatte nos oreilles depuis sa sortie ! Bien content d'être arrivé dès la fin des balances, tant leur rock torturé, austère et (donc totalement) sexy me secoue les boyaux, à l'image de leur Isolation - rien à voir avec celui de Joy Division, mais aussi toxique et fascinant que son glorieux ancêtre... A Coherent Appearance me donnera l'occasion de me jeter dans la mêlée, pour aller botter quelque culs et me faire bousculer joyeusement sous le nez du guitariste, qui a passé une robe noire...
Bien sûr, tout comme sur album, les ruptures de rythme sont fréquentes d'un titre à l'autre, faisant retomber le public du pogo sombre et joyeux (fantastique Closure) à la torpeur hypnotique (totalement détraquée Every Sight, très sinistre et élégante Emotional Disease). Même s'ils chantent tour à tour (batteur y compris), ce n'est pas réellement un groupe de live (où l'on ne les voit d'ailleurs que rétro-éclairés), pas d'immenses techniciens non plus, mais la valeur scénique d'un combo ne se mesure pas à la complexité de ce qu'il joue, et encore moins au fait qu'il tente de se faire aimer ! Après un finale explosif sur Sink, enfin trois mots au public et du coup, une révélation - ça ne m'avait jamais traversé l'esprit : les 4 jeunes gens qui composent ce groupe sont... fran-putain-de-çais ! Chapeau bas - à revoir en salle ASAP, sans fautes !
Il va bien falloir une petite collation pour s'en remettre : une poutine façon comtoise (frites, Montbéliard, fromage, sauce brune...), calorique et bien épaisse, sera parfaite pour se préparer à un prochain AVC... Et au concert de la pile électrique rouquine Frank Carter, déjà venu retourner le chapiteau il y des années avec les terrifiants Gallows, qui avaient tous la même tête d'égorgeur que lui. Ses Rattlesnakes actuels et sa chemise bariolée sont plus présentables, et lui permettent d'alterner entre rock punk abrasif avec mosh pit et pour lui, crowd-surfing jusqu'à la tour-son (Wild Flowers), et des séquences crooner - il a aussi une très bonne voix pour ça (Angel Wings) !
Le fait de n'avoir pas vraiment choisi entre ces différents styles, plus le fait qu'il a une patate d'enfer dans tous les cas, entraîne qu'il est vraiment plaisant à voir sur scène - mention spéciale à Kitty Sucker, à son tube Crowbar ou encore, à l'efficace I Hate You... Bien mal nommée, tant il est sympa avec son public et remercie comme toujours le monde entier à la fin du set. Même s'il faut bien reconnaître que ça part un peu dans tous les sens par moments, entre désir de garder sa fanbase punk et de plaire à un plus large public. Le mélange obtenu est original, mais pas indigeste, puisque le concert s'avère assez roboratif et jubilatoire dans l'ensemble..
Dernière sensation importante de ce samedi soir pour nous, on verra une bonne partie du concert des très méchants, très Teutons (et très ...seulement deux) Mantar, qui semblent tout droit échappés de la tente "Valley" du Hellfest... Rapide et hargneux, aussi mélodieux que technique, parfaitement exécuté par les musiciens qui se font face (c'est le guitariste qui assure la voix d'outre-tombe, pendant que l'autre s'applique à démolir son set de batterie avec gourmandise), leur metal façon sludge/death nous recouvre de l'équivalent musical de la boue et des nuages très noirs dont la météo nous a privés... Qui a dit qu'il fallait être nombreux pour faire un boucan splendide et presque fascinant ? Très belle référence dans le style, qu'on réécoutera à n'en pas douter !
Fin idéalement hygiénique donc, par un décrassage en bonne et dûe forme de nos cages à miel légèrement empoussiérées, après une première journée bien plus dense qu'il n'y paraissait sur le papier... Vivement la suite !
Photos par : René GARCIA (aérienne, Patrouille de France) ; Brice ROBERT (Mass Hysteria) ; Jeremy CARDOT (Hubert Lenoir) ; Nicolas KESHVARY (Kate Tempest, Rivers Cuomo, Frank Carter duo) ; Christian BALLARD (Weezer) ; Eric MUNCK (Psychotic Monks) ; Mathieu VITRE (Frank Carter solo) ; Lucile VOLPEI (Mantar) ; Bastien SUNGAUER (foule). Un grand merci à tou.te.s !
Le dimanche, c'est par là !
Critique écrite le 09 juillet 2019 par Philippe
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