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Chronique de concert Me as the Devil
Dimanche 24 novembre 2024 : 6409 concerts, 27231 chroniques de concert, 5420 critiques d'album.
Chronique de Concert
Me as the Devil
Après une année entière de travail acharné, MeAstheDevil dévoile au public son premier album sur la scène du Grillen à Colmar, avec Day Off Sin en première partie.
C'est avec impatience, que beaucoup de monde s'était donné rendez-vous pour fêter l'arrivée de ce premier album de MeAstheDevil ; dont la sortie officielle se célèbre sur scène comme une grand-messe en l'honneur de la naissance d'un nouvel antechrist.
Sur les premières notes de The Great escape Plan, les visuels apocalyptiques de l'album se dessinent sur le fond de scène, laissant pleuvoir les croix renversées et signe de la bête (666), comme une invitation à pénétrer dans l'imagerie de l'univers sombre et tortueux de M.A.D. (vidéo par ici)
Un à un, Nic-U - batterie, Rozie - claviers, Judd - basse et Thomas - guitare, prennent place sous les cris et applaudissements, avant l'arrivée de la silhouette barbue, coiffée d'un haut de forme et ornée d'une canne du maître de cérémonie, Marc.
Dégageant une émotion palpable et une joie affichée de présenter enfin son bébé, le groupe jouera les uns après les autres les titres de ce précieux album (cf. chronique enthousiaste par là) devant un public attentif et concentré sur des morceaux comme Mr Renfield et Deadly Hopes.
Ou encore, vivant et headbangant sur Spiderface et Bitch, et dans tous les cas visiblement charmé par l'énergie et la passion que les 5 compères auront su laisser transpirer de leur show, dirigé par Marc en figure de grand prêtre et prédicateur.
Comme clôture de cet intense vernissage musical, la communion se fait sur l'ambiante apologie de l'apocalypse Land Of Sorrow, hypnotisant une dernière fois les spectateurs conquis, tel de nombreux croyants venus partager "la bonne parole" de ce nouveau visage du diable qu'est MeAstheDevil.
(Photos d'après Myspace // Vignettes d'après www.nicolas-keshvary.com)
C'est avec impatience, que beaucoup de monde s'était donné rendez-vous pour fêter l'arrivée de ce premier album de MeAstheDevil ; dont la sortie officielle se célèbre sur scène comme une grand-messe en l'honneur de la naissance d'un nouvel antechrist.
Sur les premières notes de The Great escape Plan, les visuels apocalyptiques de l'album se dessinent sur le fond de scène, laissant pleuvoir les croix renversées et signe de la bête (666), comme une invitation à pénétrer dans l'imagerie de l'univers sombre et tortueux de M.A.D. (vidéo par ici)
Un à un, Nic-U - batterie, Rozie - claviers, Judd - basse et Thomas - guitare, prennent place sous les cris et applaudissements, avant l'arrivée de la silhouette barbue, coiffée d'un haut de forme et ornée d'une canne du maître de cérémonie, Marc.
Dégageant une émotion palpable et une joie affichée de présenter enfin son bébé, le groupe jouera les uns après les autres les titres de ce précieux album (cf. chronique enthousiaste par là) devant un public attentif et concentré sur des morceaux comme Mr Renfield et Deadly Hopes.
Ou encore, vivant et headbangant sur Spiderface et Bitch, et dans tous les cas visiblement charmé par l'énergie et la passion que les 5 compères auront su laisser transpirer de leur show, dirigé par Marc en figure de grand prêtre et prédicateur.
Comme clôture de cet intense vernissage musical, la communion se fait sur l'ambiante apologie de l'apocalypse Land Of Sorrow, hypnotisant une dernière fois les spectateurs conquis, tel de nombreux croyants venus partager "la bonne parole" de ce nouveau visage du diable qu'est MeAstheDevil.
(Photos d'après Myspace // Vignettes d'après www.nicolas-keshvary.com)
Critique écrite le 18 janvier 2010 par Lionel
Me as the Devil : les dernières chroniques concerts
Me As The Devil (+ Fragile Figures) par Philippe
La Maison Bleue, Strasbourg, le 07/05/2024
Ne nous mentons pas, sous nos vernis aimables et civilisés, nous avons toutes et tous un alter ego invisible, un Moi caché moins reluisant, un "dark passenger"... Celui qui remâche... La suite
Le Grillen, Colmar : les dernières chroniques concerts
Galisteo par Fred le sarthois
le Grillen, Colmar, le 08/03/2003
Le concert s'est déroulé dans une ambiance bonne enfant. Ils n'étaient que 2 sur scène (en accoustique en plus) et ont assuré comme des pros. A voir sans problème.
Petit message perso pour eux : Loulou le président de la Laponie vous salut bien. (Fred ne t'endors pas sur ta pédale wawa). La suite