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Chronique de concert Molly Hatchet/Natchez
Dimanche 22 décembre 2024 : 6834 concerts, 27253 chroniques de concert, 5420 critiques d'album.
Chronique de Concert
Molly Hatchet/Natchez
Chez Paulette - Pagney-derrière-Barine 19 décembre 2008
Critique écrite le 21 décembre 2008 par Gandalf
Enfin j'ai pu voir Molly Hatchet ! Un des trois derniers groupes qu'il me manquait vraiment à voir ! Merci Paulette d'avoir permis à cette date d'exister, c'était un bonheur !
Car comme pour la tournée précédente, les américains tournaient en plein hiver, et quasi exclusivement en Allemagne. Pas trop moyen de faire un road trip dans ces conditions... Je m'étais donc une nouvelle fois résigné, quand il y a un peu plus d'un mois, une date en France fut ajoutée ! Bon, j'avoue que quand j'ai vu le ,nom de la ville, je me suis d'abord marré comme un bossu... Pagney-derrière-Barine, je sais pas vous, mais moi ca m'a fait déliré un bon moment, désolé encore pour ses habitants ! De surcroit, quand j'ai lu le nom de la salle, "Chez Paulette", je me suis demandé dans quelle dimension j'étais tombé, si c'était un particulier qui organisait la chose ! Mais quand j'ai vu que c'était en Lorraine, je me suis dit que c'était jouable, alors banco !
C'est dans un froid piquant que nous débarquons avec DG dans Pagney, pour se rendre compte de ce qu'est le Paulette Pub Rock. M'étant renseigné avant de par leur site officiel, et les ayant eu en contact, je peux vous dire que c'est une institution dans la région... depuis les années 60 ! Pas de la gnognotte hein ! Et en plus l'équipe est d'une gentillesse à toute épreuve ;)
Quand on entre enfin, une fois Clo et Damna récupérés de leur long voyage depuis Clermont-Ferrand, j'apprécie fortement le Pub en lui même, sa disposition, son organisation. Le bar et sa salle sont devant, avec des photos d'artistes célèbres ayant déjà investis les lieux de par le passé, toilettes au fond à gauche, et très jolie piste de danse/espace concert qu'on atteint par deux entrées possibles, sur la droite. C'est en rectangle, la scène est large au fond, un ou deux piliers qui emmerdent un peu sur les cotés, mais on ressent une bonne atmosphère. Cependant, quand c'est plein comme ce soir là, je dirais dans les 400 pèlerins facile, on y voit pas très bien à partir du milieu de la salle, du fait d'une scène top basse ou d'un plancher trop bas uniformément plat.
Le public était surprenant, car brassant pas mal de genres. Il y avait une majorité de séniors, quelques jeunes, pas mal de trentenaires comme moi, des metalleux, des bikers, des bucherons, bref un mix qui rockait dans une très bonne ambiance ! Et qui picolait bien aussi ! Un léger bémol pour le prix de la binouse, avec 4 euros la petite de Déspérados, c'est cher.
Une première partie assez connue dans le milieu sudiste va débouler sur les planches vers 21h20, ce sont les Natchez, qui ont fêté récemment leurs 20 ans d'existence. J'avais écouté par hasard à la boutique GOM Records de Strasbourg il y a deux ans, et ça m'avait bien emballé. Autant dire que l'affiche était de qualité ! Leur Southern rock est bien balancé, ça sonne parfois totalement Molly Hatchet (le deuxième titre au refrain "are you ready ?" par exemple), mais rien de grave, ils ont leur propre personnalité. La plupart des morceaux sont chantés en français, ce qui est je l'avoue un peu étrange à mes oreilles, surtout pour ce style, et j'en ai souris sur certaines paroles. Ils vont jouer une bonne heure, avec des fans dans la salle, et une adhésion globale de l'auditoire. Les zicos sont bons, enthousiaste et super souriants. On aimerait avoir plus souvent des openers de qualité comme eux...
Encore quelques dizaines de minutes à attendre, et je vais enfin pouvoir me dandiner en rythme sur mon combo favori de Rock Sudiste ! J'adore Lynyrd aussi (qui repassent ce printemps/été en Europe m'a t on dit !), mais le coté hard de Molly me comble encore plus.
On s'est bien rapproché pour la peine, dans la chaleur de chez Paulette.
Quand les lumières s'éteignent, l'intro retentit... et c'est "Here I go again" de Whitesnake ! Yurk, tout le monde sait combien j'aime pas ce combo, et je me demande si c'est l'intro habituelle du groupe sur ce tour, car ça fait un peu décalé par rapport à leur musique ! Pas de chance pour moi, apparemment il y a un dernier petit souci de branchement sur un ampli, on se tape donc une deuxième fois ladite chanson ! Puis un Motley Crue s'enchaine, ouf sauvé, je l'aurai pas trois fois !
Mais "Wild side" est coupé, pour laisser place à ces fabuleux zicos, emmené par un Phil Mc Cormack déchainé, à la voix toujours aussi rocailleuse, et "pleine de glaviots" :) J'adorais le timbre de ce mec, maintenant j'adore aussi le personnage ! Un chapeau blanc vissé sur le crane, une bonne humeur terrible, il se marre de longue, et vocalement, un feeling énorme... Il n'y a qu'à voir quand il chante sans autres instruments derrière qu'une gratte acoustique ou un clavier, c'est magnifique... Le frisson pendant "Edge of sundown", en semi-acoustique pour cette fois, ou pendant les couplets de "Free bird".... Ce gars a une prestance folle et une voix superbe (sans parler de tous ses petits gimmicks vocaux), un must qui m'électrise.
A coté de lui, aucun membre n'est en reste niveau technique et charisme. A part Dave Hlubek, l'autre gratteux, un des fondateurs du groupe, ainsi que le clavier du Michigan, qui sont assez statiques/discrets sur le coté droit.
Que dire du bassiste à la superbe crinière blanche, banguant comme un taré, ne tenant pas en place, et assurant de belles lignes groovy ? Et du plus jeune batteur qui cogne comme il faut, nous délivrant un solo de fûts pas trop chiant pour une fois qui plus est ? Mais surtout, que dire du génial Bobby Ingram, lead guitariste de taré ?! Alors lui, on peut dire qu'il envoie sévère ! Aussi à l'aise dans de belles mélodies que dans des envolées solistes assez hallucinantes. Les soli pendant "Dreams I'll never see", et l'outro titanesque de "Free Bird", çà restera deux très très grands moments de guitare... J'en ai encore la chair de poule dites donc ! Il n'a plus 20 ans le Bobby, mais quelle énergie, et quelle classe ! Special message à Bib: j'ai pensé à toi à chaque solo, tu serais devenu fada ;)
Ce qu'il y a de bien avec cette tournée, c'est qu'elle est hors promo d'album studio, donc on a droit à une setlist best of béton ! Vous voyez le fantastique live "Locked and loaded" ? Ben vous en édulcorez un quart, et vous avez la playlist de ce soir, avec en plus un excellent "Son of the south", meilleur morceau du dernier opus en date. Ils étaient partis pour jouer des heures il me semblait, mais au final c'était bien trop court ! Une heure quarante en gros. C'est bien trop peu au vu de leur forme et de l'envie de jouer qu'ils avaient. Au vu de tous les titres manquants aussi ! Un vrai rappel non prévu aurait été bienvenue, en regard de tous les vivats et réclamations hurlées par le public présent. Y avait il un horaire de fin à respecter ? Très dommage en tous cas, parce que ne pas avoir entendu un seul titre de "Silent reign of heroes", dont les très attendus, pour ma part, "Mississipi Moondog" et "Saddle tramp", ben c! a me chagrine un poil. Pareil pour "Dead and gone" ou "The Journey"....
Mais mais mais... Ok on peut être déçu de ne pas avoir eu ces morceaux... Cependant cette "déception" est plus qu'atténuée avec l'hommage rendu par les musiciens aux membres décédés de Lynyrd Skynyrd il y a 31 ans lors du crash d'avion. Mc Cormack cite les noms de chaque artiste disparu, avant de nous servir une des plus belles versions du mythique "Free bird"... Putain les 10 minutes d'émotion intense... Une version qu'ils ont adapté, qu'ils ont transcendé, tout en gardant l'esprit de l'original... Le chant est bourré de feeling, la voix grave de Mc Cormack se posant avant de rugir, et plus que tout, ce solo final de près de cinq minutes, titanesque, crescendo pour atteindre l'orgasme sonique, de Ingram. Comme rappel, on peut pas faire mieux. Ils enchaineront avec le tellurique "Flirtin' with disaster" avant de tirer leur révérence.
Personnellement, j'aurai eu de nombreuses jouissances lors de ce show... L'enchainement de deux de mes titres favoris, "Edge of sundown" (même raccourci)/ "Fall of the peacemakers" m'a arraché une larme, "Tatanka" a tout explosé, déployant les gorges mâles des premiers rangs, "Down from the mountain" nous a fait swinguer, "Beatin' the odds" transpirait le sud, "Son of the south" a tout fracassé avec son coté heavy, et "Dreams I'll never see" nous a hypnotisé pendant près de dix minutes, ce riff qui me met en transe, ce chant très varié, ces soli magnifiques, ce clavier aérien... Un pur Bonheur... Mais ce "Free Bird", ca va rester quelque chose de merveilleux. Et pourtant je l'ai déjà eu live par Lynyrd et j'avais déjà eté comblé. Mais hier soir, c'était un palier au dessus. Parfait. Tout simplement parfait. Car le son, tout du long, a été d'une qualité rare. Ce qui n'a rien gâché bien s! ur.
Molly Hatchet m'ont fait don d'un cadeau de Noël précieux avec ces moments de Bonheur total.
A la fin du set, pas le temps malheureusement de se faire dédicacer le t-shirt spécial fait, et acheté pour l'occase, ni de dire au revoir à la fille de Paulette, fallait tracer la route plus d'une heure trente, et il était déjà bien tard.
En espérant retourner chez Paulette un jour prochain, pour un live de qualité égale :)
Setlist (à peu près dans l'ordre)
Whiskey Man
Bounty Hunter
Gator Country
Down from the Mountain
Edge of Sundown
Fall of the peacemakers
Devil's Canyon
Tatanka
Drum solo
Beatin the Odds
Keyboard solo
Son of the south
Dreams I'll Never See
Rappel :
Free Bird
Flirtin' With Disaster
Car comme pour la tournée précédente, les américains tournaient en plein hiver, et quasi exclusivement en Allemagne. Pas trop moyen de faire un road trip dans ces conditions... Je m'étais donc une nouvelle fois résigné, quand il y a un peu plus d'un mois, une date en France fut ajoutée ! Bon, j'avoue que quand j'ai vu le ,nom de la ville, je me suis d'abord marré comme un bossu... Pagney-derrière-Barine, je sais pas vous, mais moi ca m'a fait déliré un bon moment, désolé encore pour ses habitants ! De surcroit, quand j'ai lu le nom de la salle, "Chez Paulette", je me suis demandé dans quelle dimension j'étais tombé, si c'était un particulier qui organisait la chose ! Mais quand j'ai vu que c'était en Lorraine, je me suis dit que c'était jouable, alors banco !
C'est dans un froid piquant que nous débarquons avec DG dans Pagney, pour se rendre compte de ce qu'est le Paulette Pub Rock. M'étant renseigné avant de par leur site officiel, et les ayant eu en contact, je peux vous dire que c'est une institution dans la région... depuis les années 60 ! Pas de la gnognotte hein ! Et en plus l'équipe est d'une gentillesse à toute épreuve ;)
Quand on entre enfin, une fois Clo et Damna récupérés de leur long voyage depuis Clermont-Ferrand, j'apprécie fortement le Pub en lui même, sa disposition, son organisation. Le bar et sa salle sont devant, avec des photos d'artistes célèbres ayant déjà investis les lieux de par le passé, toilettes au fond à gauche, et très jolie piste de danse/espace concert qu'on atteint par deux entrées possibles, sur la droite. C'est en rectangle, la scène est large au fond, un ou deux piliers qui emmerdent un peu sur les cotés, mais on ressent une bonne atmosphère. Cependant, quand c'est plein comme ce soir là, je dirais dans les 400 pèlerins facile, on y voit pas très bien à partir du milieu de la salle, du fait d'une scène top basse ou d'un plancher trop bas uniformément plat.
Le public était surprenant, car brassant pas mal de genres. Il y avait une majorité de séniors, quelques jeunes, pas mal de trentenaires comme moi, des metalleux, des bikers, des bucherons, bref un mix qui rockait dans une très bonne ambiance ! Et qui picolait bien aussi ! Un léger bémol pour le prix de la binouse, avec 4 euros la petite de Déspérados, c'est cher.
Une première partie assez connue dans le milieu sudiste va débouler sur les planches vers 21h20, ce sont les Natchez, qui ont fêté récemment leurs 20 ans d'existence. J'avais écouté par hasard à la boutique GOM Records de Strasbourg il y a deux ans, et ça m'avait bien emballé. Autant dire que l'affiche était de qualité ! Leur Southern rock est bien balancé, ça sonne parfois totalement Molly Hatchet (le deuxième titre au refrain "are you ready ?" par exemple), mais rien de grave, ils ont leur propre personnalité. La plupart des morceaux sont chantés en français, ce qui est je l'avoue un peu étrange à mes oreilles, surtout pour ce style, et j'en ai souris sur certaines paroles. Ils vont jouer une bonne heure, avec des fans dans la salle, et une adhésion globale de l'auditoire. Les zicos sont bons, enthousiaste et super souriants. On aimerait avoir plus souvent des openers de qualité comme eux...
Encore quelques dizaines de minutes à attendre, et je vais enfin pouvoir me dandiner en rythme sur mon combo favori de Rock Sudiste ! J'adore Lynyrd aussi (qui repassent ce printemps/été en Europe m'a t on dit !), mais le coté hard de Molly me comble encore plus.
On s'est bien rapproché pour la peine, dans la chaleur de chez Paulette.
Quand les lumières s'éteignent, l'intro retentit... et c'est "Here I go again" de Whitesnake ! Yurk, tout le monde sait combien j'aime pas ce combo, et je me demande si c'est l'intro habituelle du groupe sur ce tour, car ça fait un peu décalé par rapport à leur musique ! Pas de chance pour moi, apparemment il y a un dernier petit souci de branchement sur un ampli, on se tape donc une deuxième fois ladite chanson ! Puis un Motley Crue s'enchaine, ouf sauvé, je l'aurai pas trois fois !
Mais "Wild side" est coupé, pour laisser place à ces fabuleux zicos, emmené par un Phil Mc Cormack déchainé, à la voix toujours aussi rocailleuse, et "pleine de glaviots" :) J'adorais le timbre de ce mec, maintenant j'adore aussi le personnage ! Un chapeau blanc vissé sur le crane, une bonne humeur terrible, il se marre de longue, et vocalement, un feeling énorme... Il n'y a qu'à voir quand il chante sans autres instruments derrière qu'une gratte acoustique ou un clavier, c'est magnifique... Le frisson pendant "Edge of sundown", en semi-acoustique pour cette fois, ou pendant les couplets de "Free bird".... Ce gars a une prestance folle et une voix superbe (sans parler de tous ses petits gimmicks vocaux), un must qui m'électrise.
A coté de lui, aucun membre n'est en reste niveau technique et charisme. A part Dave Hlubek, l'autre gratteux, un des fondateurs du groupe, ainsi que le clavier du Michigan, qui sont assez statiques/discrets sur le coté droit.
Que dire du bassiste à la superbe crinière blanche, banguant comme un taré, ne tenant pas en place, et assurant de belles lignes groovy ? Et du plus jeune batteur qui cogne comme il faut, nous délivrant un solo de fûts pas trop chiant pour une fois qui plus est ? Mais surtout, que dire du génial Bobby Ingram, lead guitariste de taré ?! Alors lui, on peut dire qu'il envoie sévère ! Aussi à l'aise dans de belles mélodies que dans des envolées solistes assez hallucinantes. Les soli pendant "Dreams I'll never see", et l'outro titanesque de "Free Bird", çà restera deux très très grands moments de guitare... J'en ai encore la chair de poule dites donc ! Il n'a plus 20 ans le Bobby, mais quelle énergie, et quelle classe ! Special message à Bib: j'ai pensé à toi à chaque solo, tu serais devenu fada ;)
Ce qu'il y a de bien avec cette tournée, c'est qu'elle est hors promo d'album studio, donc on a droit à une setlist best of béton ! Vous voyez le fantastique live "Locked and loaded" ? Ben vous en édulcorez un quart, et vous avez la playlist de ce soir, avec en plus un excellent "Son of the south", meilleur morceau du dernier opus en date. Ils étaient partis pour jouer des heures il me semblait, mais au final c'était bien trop court ! Une heure quarante en gros. C'est bien trop peu au vu de leur forme et de l'envie de jouer qu'ils avaient. Au vu de tous les titres manquants aussi ! Un vrai rappel non prévu aurait été bienvenue, en regard de tous les vivats et réclamations hurlées par le public présent. Y avait il un horaire de fin à respecter ? Très dommage en tous cas, parce que ne pas avoir entendu un seul titre de "Silent reign of heroes", dont les très attendus, pour ma part, "Mississipi Moondog" et "Saddle tramp", ben c! a me chagrine un poil. Pareil pour "Dead and gone" ou "The Journey"....
Mais mais mais... Ok on peut être déçu de ne pas avoir eu ces morceaux... Cependant cette "déception" est plus qu'atténuée avec l'hommage rendu par les musiciens aux membres décédés de Lynyrd Skynyrd il y a 31 ans lors du crash d'avion. Mc Cormack cite les noms de chaque artiste disparu, avant de nous servir une des plus belles versions du mythique "Free bird"... Putain les 10 minutes d'émotion intense... Une version qu'ils ont adapté, qu'ils ont transcendé, tout en gardant l'esprit de l'original... Le chant est bourré de feeling, la voix grave de Mc Cormack se posant avant de rugir, et plus que tout, ce solo final de près de cinq minutes, titanesque, crescendo pour atteindre l'orgasme sonique, de Ingram. Comme rappel, on peut pas faire mieux. Ils enchaineront avec le tellurique "Flirtin' with disaster" avant de tirer leur révérence.
Personnellement, j'aurai eu de nombreuses jouissances lors de ce show... L'enchainement de deux de mes titres favoris, "Edge of sundown" (même raccourci)/ "Fall of the peacemakers" m'a arraché une larme, "Tatanka" a tout explosé, déployant les gorges mâles des premiers rangs, "Down from the mountain" nous a fait swinguer, "Beatin' the odds" transpirait le sud, "Son of the south" a tout fracassé avec son coté heavy, et "Dreams I'll never see" nous a hypnotisé pendant près de dix minutes, ce riff qui me met en transe, ce chant très varié, ces soli magnifiques, ce clavier aérien... Un pur Bonheur... Mais ce "Free Bird", ca va rester quelque chose de merveilleux. Et pourtant je l'ai déjà eu live par Lynyrd et j'avais déjà eté comblé. Mais hier soir, c'était un palier au dessus. Parfait. Tout simplement parfait. Car le son, tout du long, a été d'une qualité rare. Ce qui n'a rien gâché bien s! ur.
Molly Hatchet m'ont fait don d'un cadeau de Noël précieux avec ces moments de Bonheur total.
A la fin du set, pas le temps malheureusement de se faire dédicacer le t-shirt spécial fait, et acheté pour l'occase, ni de dire au revoir à la fille de Paulette, fallait tracer la route plus d'une heure trente, et il était déjà bien tard.
En espérant retourner chez Paulette un jour prochain, pour un live de qualité égale :)
Setlist (à peu près dans l'ordre)
Whiskey Man
Bounty Hunter
Gator Country
Down from the Mountain
Edge of Sundown
Fall of the peacemakers
Devil's Canyon
Tatanka
Drum solo
Beatin the Odds
Keyboard solo
Son of the south
Dreams I'll Never See
Rappel :
Free Bird
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