Accueil Chronique de concert (mon) Hellfest 2024, 2-3 : Fallen Lillies, Konvent, Dead Krazukies, Kronos, Hrafngrimr, 8°6 Crew, Kvelertak, Didier Wampas Psycho Attacks, Metallica, Suicidal Tendencies (+ Anvil, Skyclad, Nekromantix, Bruce Dickinson)
Samedi 7 septembre 2024 : 7030 concerts, 27170 chroniques de concert, 5416 critiques d'album.

Chronique de Concert

(mon) Hellfest 2024, 2-3 : Fallen Lillies, Konvent, Dead Krazukies, Kronos, Hrafngrimr, 8°6 Crew, Kvelertak, Didier Wampas Psycho Attacks, Metallica, Suicidal Tendencies (+ Anvil, Skyclad, Nekromantix, Bruce Dickinson)

(mon) Hellfest 2024, 2-3 : Fallen Lillies, Konvent, Dead Krazukies, Kronos, Hrafngrimr, 8°6 Crew, Kvelertak, Didier Wampas Psycho Attacks, Metallica, Suicidal Tendencies (+ Anvil, Skyclad, Nekromantix, Bruce Dickinson) en concert

Site du Hellfest, Clisson 29 juin 2024

Critique écrite le par


Samedi 29 juin 2024, notre day 2 in Hellfest, Purple Camp, 9 A.M... Rha zut, il fait pas beau et la météo annoncée est assez démoralisante (même si l'eau, c'est la vie, bien sûr...). On aura juste le temps de régler nos petites affaires du matin (à savoir, les entrées et les sorties corporelles), puis de consolider un peu la tente, avant les premières gouttes... C'est donc parti pour notre première expérience de journée pluvieuse au Hellfest - hé, avec le climat océanique du coin et au bout de 4 venues, ça devait bien nous arriver un jour ! Par contre, le site n'a plus du tout la même gueule et on se demande bien où tout le monde est passé dans la zone VIP !


Allez, quitte à être sous l'eau, allons plutôt soutenir les Fallen Lillies, peuchère, il n'y a pas foule au début ! Quand même ravies d'être là, elles font pourtant un punk rock un peu metalleux sur les bords, bien enjoué et bien torché, et avec une banane qui nous remonte presque instantanément le moral, tout comme aux autres gens manifestement. Elles obtiendront même un petit wall of death, et auront quand même un peu de monde au finish. Sympa, et elles en garderont surement un très bon souvenir quand même !


Les nordiques filles tout en noir de Konvent, elles, ne rigolent sans doute que quand elles se brûlent (comme on dit à Marseille) ! Leur doom / death assez lugubre (comme bien décrit au programme) exige idéalement, il est vrai, un tirage de gueule intégral. Sans agressivité excessive, leur son est plutôt sympa, quelques mélodies retiennent vaguement l'attention, mais le chant growlé manque de puissance et de variété et ne sonne finalement que comme un borborygme monotone et peu audible - pratiquement comme un bruit blanc ! Qu'à cela ne tienne, le soleil est reparu et on en profite pour manger une fort belle pizza, les fesses dans l'herbe... Le groupe s'anime un peu plus sur la suite, sans pour autant nous convaincre. Soit elles sont trop méchantes, soit pas assez...


Toujours dans la zone Lemmy, c'est l'heure des frenchies The Dead Krazukies, et il a fallu qu'on les voie pour comprendre le clin d'oeil dans leur nom. Punk contondant, mi à-roulettes, mi hardcore, ça serait en soi déjà bien plaisant... Mais emmenés par une fille à forte personnalité, les "DK" de Hossegor sont surmotivés et elle fait le show - ça peut rappeler No FX par moments, c'est vraiment cool ! Par contre leur reprise de Maniac est un vrai massacre - rendez-nous Carpenter Brut ! A ce moment je croise pour la première fois du week-end mon cousin, et on passe donc la fin du concert à blaguer, et débriefer avec lui ses premières journées...


On a un peu trainé la patte, en séchant à peu près ce style hier, mais on sait bien que le Hellfest est notre seule occasion annuelle de voir du death metal bien badass. On s'y colle donc avec Kronos, qualité France, monsieur... De la double pédale au tricotage de gratte constant, en passant par les breaks violents et un chant puissamment hurlé, on est dans les canons du style - et dans le style, c'est plutôt canon ! Un groupe de référence d'ailleurs, à en croire l'affluence sous l'Altar, qui mosh- et circle-pite allègrement - toutes façons, pour se mettre en forme le matin au Hellfest, c'est ça ou la gym matinale au Metal Workout... même si on ne tiendra personnellement pas jusqu'au bout, même sans courir en cercle...


Hrafngrimr ! "A tes souhaits", en finlandais ? Voici un groupe de folklore nordique comme (seul) le Hellfest aime à en proposer - on a souvent eu des expériences très étranges en la matière, le sommet ayant été les incroyables Heilung en 2018... Ici on est dans un registre certes celtique mais encore 'rock' dans son ADN, avec percussions puissantes et cordes exotiques, avec de majestueux chants mâle et femelle mélangés, et de très beaux costumes. Ca sonne ! On se demande quand même si, comme pour le black metal et son imagerie souvent satanique, on est ici dans du folklore déguisé, ou réellement dans des croyances pagan - ils font quand même pas mal d'allusions à la mythologie ! Et comme toujours avec cette musique, une partie du public semble entrer en transe... Non, on s'est pas convertis au culte de Wotan, mais ce fut plaisant !


On a du les quitter un peu avant la fin à contre-coeur, histoire de voir 2 ou 3 chansons des mythiques Anvil ! Ceci surtout sur la foi du magnifique documentaire qui leur avait été consacré, bien sûr. Considéré comme le seul "grand" groupe de thrash metal resté à quai dans les années 80 (contemporains des fameux "Big Four"), on comprend quand même assez vite pourquoi... En effet ces trois braves pépères, avec leurs bonnes bouilles de muppets à la fois chauves et chevelus (tudieu, le pif du chanteur - c'est une péninsule !), ne sont pas réellement capables de jouer de la guitare ou de la batterie, de chanter juste et puissant : ce sont donc bien des "enclumes", CQFD... Et pourtant on a bien entendu Metal on Metal, leur "tube" historique. Bah, ils ne font de mal à personne et semblent vivre leur meilleure vie au Hellfest, alors...


... On les quitte pour une séquence prévue depuis notre arrivée et qu'on a pas plu placer sur notre premier jour : le petit ravitaillement traditionnel au E.Leclerc et surtout... une putain de sieste ! Fun fact, je croise à ce moment le Youtubeur Seb Grenier, le sbire barbu du Joueur, à qui je pourrai serrer la main - ce dont mon fils sera le plus jaloux à mon retour du festival ! Je le remercie en passant pour son travail qui nous a donné de grandes joies, et de longue date... L'hypermarché à cette heure-là en tout cas, c'est la bonne pioche pour un bradyphobe, y'a plus personne - mais pas non plus de bière au frais, à part d'horribles 8°6 ! On se contentera donc d'acheter des trucs healthy un peu ouf qu'on ne trouve pas sur un festival : des pommes, par exemple...


En parlant de 8°6, c'est précisément sur le concert du 8°6 Crew qu'on reviendra sur site, après un pénéquet réparateur. Le genre de programmation qui fait hurler les puristes d'une programmation 'maitholle' : avec leur belle section cuivre, c'est largement plus un groupe de ska, voire même de reggae, que de punk ou de oï ! Le genre est manifestement plébiscité en tout cas, car ils ont blindé la Warzone jusqu'aux pieds de Lemmy... Ca sonne super sautillant et nickel et c'est une grande fête - It's a punky reggae party ! comme dirait l'autre - et on réalise qu'il y a des années, et sans doute depuis les Specials, qu'on avait pas vu un concert de ska aussi bien ! Et pour faire couleur locale, leur morceau final Emeute, est bien de la pure oï pétaradante. Très sympa !


Pour les suivants, Kvelertak from Norway, on a droit à un joker SVP ? Au nombre de t-shirts et à la foule rassemblée, on voit bien qu'il y a beaucoup de fans, mais on a juste pas compris le style qui part dans tous les sens, allant littéralement du pop-rock au black metal, en passant par du punk assez basique. Mis à part des "O" barrés dans tous les titres, on comprend mal ce qui fait le lien, ça manque de puissance et c'est assez mainstream au final. Dommage, la voix du chanteur est pas mal par moments, mais on est vraiment restés à quai - mauvais choix, le virtuose Yngwie Mamsteen aurait peut-être été plus distrayant ? Du coup, pour s'occuper, on a passé la fin de leur concert à s'envoyer des SMS avec une connaissance et à se chercher, sans jamais réussir à se trouver... quand ça veut pas !


Sur la séquence suivante, on est en terrain plus connu avec les Didier Wampas Psycho Attacks, soit deux Wampas (lui et le jeune Effelo, super gratteux !), et deux musiciens psychobillies qui vont revisiter, dans ce style exclusivement, les chansons les plus anciennes du groupe - celles des années 80 qu'on connaît pas, quoi ! Qu'à cela ne tienne, musicalement ca dépote (comme toujours avec une contrebasse et une Gretsch !) et au moins avec Didier, il se passe toujours quelque chose : il est rarement sur scène, le plus souvent en train de faire le pitre, et de crowdsurfer à la poursuite d'un Casimir qui le fuit (...il n'aurait sans doute pas du annoncer qu'il allait se le faire !).


Bon, la musique rock'n'roll endiablée et plus chiadée qu'habituellement fait ressortir son chant approximatif, mais il y a de vrais manifestes punk d'actualité : Rien à foutre de ce monde pourri , ça fait du bien ! On découvre des titres très anciens qui marchent très bien (dont un exclusivement composé de "Aaaah !"), et même le tout premier titre composé (42 ans d'âge !). On a quand même droit à un anachronique petit Rimini chanté a capella à la fin (ouf, merci, c'est juste notre chanson préférée !), et pour finir le Didier s'offre une grande traversée à la nage de la Warzone, du micro jusqu'au conteneur - mais quelle patate il a, l'enfoiré, il est toujours aussi dingue... Respect : c'est un fait, Didier Wampas est le roi.


Arrive sans doute notre révélation du week-end : on tombera directement sous le charme mystérieux de la belle Chelsea Wolfe, dont l'aura sombre irradie via un chant clair et mélancolique, façon Beth Gibbons, posé sur de grosses nappes industrielles de basses saturées et de beats compressés. Cet espèce de trip hop metal est original, intrigant et vibratoire - on est clairement hypnotisé, comme tout le public de la Valley, d'autant que les écrans éteints forcent à ne pas la quitter des yeux... Il y a des passages vraiment trippants (House of Self Undoing ou Dusk, par exemple) et en restant sur une fin a capella touchante, on se promet de réécouter ça dès que possible (...on est précisément en train de le faire en rédigeant ces chroniques !). Splendide !


Bien plus en tout cas que le balourd Balls to the Wall d'Accept, entendu de loin - on s'en passera pour cette fois, ils reviendront ! Dans le genre balourd, on a rien de personnel contre Mass Hysteria, super efficaces pour retourner une scène, sauf que leur chanteur Mouss nous a toujours épuisé très rapidement... On reste donc encore dans le secteur avec Nekromantix, trio psychobilly cette fois chimiquement pur, tout y est, à commencer par une bien jolie contrebasse en forme de cercueil. Tout est joué à fond, les cheveux dressés par un pot entier de gomina sur la tête, les trois zigues font joyeusement le job. Evidemment, ce n'est pas très varié et ça manque un peu de chansons marquantes (c'est pas les Stray Cats, en somme !), mais ça reste fun un moment.


Ayant avoir croisé un bon pote traditionnel de festival et blagué un moment, on a encore le temps d'aller boire un muscadet, pas qu'on aime vraiment ça mais c'est une tradition (et chaque année un joli petit verre collector est édité !). Quand on voit des gens en remplir des pichets entiers, on a quand même un peu la gerbe - quelle santé, quel foie ils doivent avoir ! On passe un moment à Skyclad, du folk metal de bonne facture, ça sonne comme son nom l'indique et ça fait le job sur quelques chansons (le genre de truc qu'on écouterait certes pas forcément chez soi...). La composante irish est quand même assez inspirée : Another drinking song est un vrai encouragement à finir son muscadet ! Quand on les quitte, zut, on constate qu'il repleut vraiment... Un moment psychologiquement un peu dur, car il va falloir assumer nos goûts et donc...


... Aller se placer en amont, une bonne heure avant, pour bien voir l'un de nos groupes de coeur et la tête d'affiche du jour. Ce qui implique d'arrêter la bière (par sécurité vésicale), et de se taper le show entier - et cette fois sous une vraie bonne pluie qui mouille, de ce brave mais pénible Bruce Dickinson, qui nous a longtemps fasciné, mais qui a rompu le charme ici-même l'an dernier en nous rasant avec une mauvaise setlist d'Iron Maiden, et des discours interminables... Heureusement qu'il a une très, très belle bassiste, Tanya O'Callaghan (désolé, photo ratée), car il n'y a vraiment qu'elle à voir sur scène... Rien, pas même son Theremine, ne parviendra à nous captiver même si tout est de bonne facture : un peu plus metal, un peu moins heavy que Maiden, on s'emmerde quand même poliment.


La première bonne nouvelle est que cette vilaine averse s'est enfin à peu près arrêtée, quand Metallica arrive ! Hélas, pour beaucoup de gens, ce second concert au Hellfest (sans doute arrivé trop tôt, à peine 2 ans après le premier ?) sera une grosse déception, et c'est vrai qu'il est clairement en dessous du précédent, soniquement et même visuellement (on y était pas, mais on l'a vu en vidéo !). Tout comme de leur double performance au Stade de France de l'an passé (là, on y fut !) Pour autant, est-ce qu'un concert moyen de Metallica est vraiment ... une expérience moyenne ? Holy shit, certainement pas !


La mise en scène, la puissance du son, de la guitare et de la voix de James Hetfield, vous emportent forcément un minimum ! Devenus sexagénaires, les quatre mecs sont toujours de très bons entertainers et les gros ballons lancés dans le public sont par exemple du plus bel effet. Par contre, ce groupe qu'on a déjà vu 5 fois est clairement dans un mauvais soir et pire, il a désormais officiellement son Keith Richards : Kirk Hammett est lui aussi en train de devenir un guitar hero totalement aux fraises, encore capable de fulgurances mais aussi de pains impardonnables, qui écorchent vraiment les oreilles ! Lars Ulrich également, ne semble pas toujours maîtriser toutes ses embardées, même si ça non plus, ça ne date pas d'hier ...


Autre reproche du jour, ces écrans splittés très esthétiques mais qui font qu'au vrai, on ne voit pas grand chose, déjà qu'on est à mi-distance et sur la pointe des pieds pour vraiment voir les musiciens sur scène... On ose imaginer ce qu'on peut encore en (aperce)voir du fond de la zone Mainstage ! Bon, ceci dit pour notre part, on ne boudera pas notre plaisir d'entendre par exemple, pour la première fois en live, la merveilleuse Lux Aeterna ! Certes on peut aussi relever que Rob Trujillo a plutôt massacré l'Aventurier d'Indochine (on avait largement préféré son Quoi ma Gueule de Johnny en 2019 !), mais ça reste une belle attention que de reprendre un titre local dans chaque pays.


Et puis bien sûr, l'expérience reste un pied presque intégral sur beaucoup de leurs titres classiques, quasiment évangéliques pour la plupart des metalleux, et qu'on énumèrera pas tous ici, à part Enter Sandman par exemple, tout comme Orion (particulièrement réussie), ou les finales One et Master of Puppets, explosives, et avec quelques pyrotechnies pour le plaisir ! Tout n'est donc largement pas mauvais ce soir ... Et au final, avouons qu'on a pas vu passer ces 2 bonnes heures avec les Four Horsemen - un signe qui ne trompe pas ! Ils sont néanmoins inhabituellement peu bavards et fanfarons à la fin - ils ont bien du se rendre compte qu'ils avaient un peu foiré leur prestation...


Un soir comme cela, peut-être que Rob regrette un peu son groupe précédent, les historiques Suicidal Tendencies, qu'on va voir ensuite ? Eux s'amusent toujours bien avec leur groove explosif et une scène volontairement livrée à leurs fans (c'est le métro à l'heure de pointe !). Ce brave Mike Muir, désormais sexagénaire aussi, a toujours une grosse patate et agite toujours bizarrement ses bras. Vous êtes fatigués ? On est plus fatigués ! A 1h30, on a toujours la forme nous aussi, et grâce à eux ! Seule petite déception, pas de Monopoly of Sorrow, notre titre culte. Très bon moment quand même, et c'est sans se presser qu'on rentre au bercail, après être passé envoyer un bisou de bonne nuit à la Gardienne des Ténèbres.


Ne pleurez pas, Madame, demain promis, il fera beau à nouveau... Il nous reste une journée de dimanche à venir qui va être riche en émotions fortes pour nous...

Pour le dimanche, c'est par ici !






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