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Chronique de concert Musique Chienne
Samedi 16 novembre 2024 : 6750 concerts, 27223 chroniques de concert, 5420 critiques d'album.
Chronique de Concert
Musique Chienne
Ce samedi soir à Marseille une fois n'est pas coutume, selon l'humeur, si on était pas amateur de rugby, on pouvait aller revoir Mathieu Boogaerts (espace julien), danser avec l'Orchestre National de Barbes (moulin), swinguer pépère avec Michel Jonasz (silo) ou pour les fous de rock indé motorisés pogoter devant les Oh Sees à Nimes ou Warmduscher au festival Midi à Toulon, excusez du peu.
Au final ce sera une soirée plus intimiste, mais pas forcément moins stimulante, avec la drôlement nommée Musique Chienne dans le sympathique bar Mounguy en centre ville, qui programme surtout des dj sets, il y en avait d'ailleurs un ensuite.
J'avais déjà croisé les sons de Musique Chienne y a quelques années dans une soirée au Chapiteau Belle De Mai mais malheureusement dans mes souvenirs c'était assez inaudible.
Au Mounguy ce soir le son est toujours limité mais plus agréable, beaucoup de monde devant la petite scène, avec beaucoup d'amis ou connaissances qui lui feront dire qu'on se croirait à un vernissage.
Un humour pince sans rire quasiment entre chaque titre avec l'origine des morceaux, sa façon de les composer, ses frustrations du manque de moyens du bord, mais jamais en faisant la gueule.
L'installation est des plus sommaires avec derrière à coté de la table de mixage un clavier, une mpc, un laptop et un micro.
Avec une voix qui s'accorde bien avec les sonorités très lo-fi de ses compositions entre electro pop et chilwave avec des cassures de rythme parfois mais également des choses relativement accessibles, carrément dansantes sur les derniers titres.
La filiation avec Flavien Berger avec laquelle a collaboré est évidente, et on pense parfois à cette musique synthétique 80's du style Nini Raviolette.
Malgré le coté répétitif sur la fin, on passe néanmoins un bon moment en attendant ses prochains passages, comme à la prochaine édition du festival Avec Le Temps en mars.
Au final ce sera une soirée plus intimiste, mais pas forcément moins stimulante, avec la drôlement nommée Musique Chienne dans le sympathique bar Mounguy en centre ville, qui programme surtout des dj sets, il y en avait d'ailleurs un ensuite.
J'avais déjà croisé les sons de Musique Chienne y a quelques années dans une soirée au Chapiteau Belle De Mai mais malheureusement dans mes souvenirs c'était assez inaudible.
Au Mounguy ce soir le son est toujours limité mais plus agréable, beaucoup de monde devant la petite scène, avec beaucoup d'amis ou connaissances qui lui feront dire qu'on se croirait à un vernissage.
Un humour pince sans rire quasiment entre chaque titre avec l'origine des morceaux, sa façon de les composer, ses frustrations du manque de moyens du bord, mais jamais en faisant la gueule.
L'installation est des plus sommaires avec derrière à coté de la table de mixage un clavier, une mpc, un laptop et un micro.
Avec une voix qui s'accorde bien avec les sonorités très lo-fi de ses compositions entre electro pop et chilwave avec des cassures de rythme parfois mais également des choses relativement accessibles, carrément dansantes sur les derniers titres.
La filiation avec Flavien Berger avec laquelle a collaboré est évidente, et on pense parfois à cette musique synthétique 80's du style Nini Raviolette.
Malgré le coté répétitif sur la fin, on passe néanmoins un bon moment en attendant ses prochains passages, comme à la prochaine édition du festival Avec Le Temps en mars.
Critique écrite le 22 novembre 2021 par Sami
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