Chronique de Concert
Festival de Nimes : Patti Smith + Neil Young
(Patti Smith & Neil Young)
"Parce Que la Nuit Est Faîte Pour Les Amoureux..."
Première (mauvaise) surprise en pénétrant dans les Arènes, au ras du sol, au niveau de la "piétaille" : on exige de nous de laisser l'intégralité de notre billet au préposé posté à l'entrée !?? (Les fétichistes, collectionneurs d'instants, et autres encadreurs de souvenirs, comprendront aisément le courroux qui nous saisit sur le moment, jusqu'à faire grimper illico la température interne des corps en présence...).
Seconde (mauvaise) surprise en brassant à quelques encablures de la (grande) scène : c'est un espace plus que rétrécit, à peine viable (et un son fortement diminué !) qui accueille Patti, l'égérie New-Yorkaise, ce soir (ce qui nous empêchera quasiment d'embrasser d'un seul regard, l'originel Jay Dee Daugherty(batterie) : coincé sous celle, imposante et rehaussée (elle) de son futur congénère de baguettes, Ralph Molina).
Dès l'intro, toujours aussi envoûtante, de Dancing Barefoot, ce manque de puissance sonore semble devoir nous empêcher de goûter à fond à la beauté de l'obole initiale ainsi offerte à nos sens ravis. S'en étant aperçue, elle se dirige d'un pas décidé vers la console et s'approche du public pour savoir si ses premières impressions sont bel et bien LES bonnes. L'expérience, que "ça" s'appelle.
Un concert qui décolle véritablement, une fois l'antique Privilege (Set Me Free) déterré d'envie, emphase et fougue ; un extrait du sommet Easter(1978) que je n'aurai jamais eu la chance d'ouïr de "live", jusqu'ici... Putain, que c'est beau et bon, à la fois !
L'équilibre des chansons, reste parfois "limite", ce soir : comme si elle hésitait sans cesse entre bâtir un show sur la longueur, patiemment, ou bien assumer son statut momentané et parfois ingrat de "Première Partie" : plus court et plus frustrant, d'évidence.
Fort heureusement, lorsque l'on a écrit (ou prétend l'avoir fait) des chansons comme Because The Night, tout ne peut jamais que rouler légitimement - son plus gros et premier véritable "hit", offert depuis le studio d'à côté par Bruce Springsteen en 1978, et au sujet duquel elle s'est tout simplement contentée de peaufiner le "texte" ; de l'achever, donc, en pensant fortement à son futur mari et double musical : Fred "Sonic" Smith ! (MC5). Le temps d'un poignant appel musical lancé à l'adresse de la défense (et reconnaissance) du fugitif Edward Snowden - ex-membre de la CIA, coupable d'avoir enfreint la loi du "silence" pour dévoiler les divers abus mis en place par l'administration Obama auprès des "puissances" alliées, de ses divers opposants, et de ses propres citoyens... - elle tente de capitaliser sur la chaleur ambiante "montante", à l'aide du séminal Summertime Blues (Eddie Cochran). Une relative incongruité, un rien bancale, qui convainc moyennement.
Malgré les bonnes intentions contenues dans This Is The Girl (dédiée à la regrettée Amy Winehouse) ou, le plus "neutre", très 80's et "Motels", April Fool, c'est grâce à ses plus anciennes chansons que le show parvient véritablement à décoller : le très chaloupé Aint' it Strange ?, ou bien l'étonnant et psychédélique Beneath The Southern Cross - dédié au défunt grand toréador Manolete : "lui et son taureau fatal ont eu la particularité de trépasser le même soir ! La corrida, une façon comme une autre de célébrer la vie, l'humanité... ses rites, ses joies, ses contradictions..." - durant lesquels Jack Petruzelli, le dernier arrivé aux commandes des guitares, et Tommy Shanahan(basse) s'en donnent à cur joie... Grandiose !
En dépit du côté "basique" et un rien redondant, de son écriture "Rock", Banga parvient néanmoins à donner le change, un temps ; du moins, jusqu'à ce que Pissing In The River, puis l'incontournable Land/Horses, ne vienne déchainer le tout, à l'aide de SA version revisitée ET transfigurée du Gloria de Van "The Man" Morrison... Épique ! Monument extrait de Horses(1975), durant lequel, le co-fondateur et inspirateur du Patti Smith Band (1974) Lenny Kaye, semble oublier le poids certain des ans pour se lancer tout de go au sein de ce monstre de poésie en fusion, très "Beat", qui rappellera sans nul doute, à tous et toutes, que le temps de la lutte est bien loin d'être derrière-nous.
Surtout en ces (récentes) décennies étranges, où l'on se sera même permis de décorer du Prix Nobel de la Paix, le Président d'un pays "étoilé" qui tue de "Drone" à distance ; qui enferme et retient contre leur gré (et sans autre forme de procès) des présumés coupables en l'île de ; qui espionne et épie tout un chacun ; qui assèche les Africains les plus démunis de toute la hauteur de son protectionnisme d'état ; qui empoisonne l'eau de ses partisans et ses ressources naturelles séculaires en étendant la "Fracturation Hydraulique des Gaz de Schiste"... Un bien grand homme, assurément !
Poings levés de hargne, regard d'acier rivé droit devant, cette jeunette de Soixante-sept ans n'aura pas manqué de nous asséner sèchement, au préalable, le polémique et très "Sixties" (de ton) People Have The Power !. Il ne tient désormais qu'à nous, que cela reste d'actualité et fasse souche au sein des futures "têtes métissées" encore pour l'heure munies de couches, folles espérances et doux rêves... en l'état. "Yes, We Will" !
"De l'Amour, Rien que De l'Amour..."
(Love and Only Love)
Voici se qui restera, au bout du compte, lorsque le chapitre inventif, bouillant et instable, du "Cheval Fou", sera définitivement bouclé. Un quatuor mythique (un terme à la mode, pas galvaudé pour deux riffs, ici !) réuni en la lointaine ‘69, et qui aura absolument tout traversé, tout, tout, tout : débordements intempestifs, addictions, crises internes, changements subits, sautes d'humeur, déchirements, dépression, usure, traversées du désert "créatif", ou autres électrocardiogrammes "plats" des 80's...
Dès l'entame du "set" - une version énergique, mais un rien longuette, de Love and Only Love ! (Ragged Glory (1990) - le ton est manifestement donné : comme à son habitude, le trio des "hommes qui jouaient debout", se la joue "clan" et vient opérer au contact, tête contre tête, tandis que les doigts calleux du maître cisèlent de la note et déchirent à foison. Ce qui choque de prime abord, c'est le relatif niveau sonore du groupe ! Ceux qui auront eu la chance de les mirer en les lointaines 70's, 80's, 90's, ou bien au début de ce nouveau siècle amputé de l'empathie, comprendront aisément ma remarque.
Point positif : fini les acouphènes des lendemains de concert qui s'accrochent aux pavillons puis parasitent et handicapent le quotidien.
Point négatif : le groupe y perd un peu de sa "puissance + lourdeur", légendaire. Mais, bon, sachant que nous ne sommes pas venus jusqu'ici pour rester avant tout en BONNE SANTÉ...
Paraissant lui aussi surgir des limbes, tant de fois louées, de notre Neil, passé, Powdefinger(1979) est illico passé au tamis "pas fin, pas fin", des mêmes intentions. Issu du récent, et tout juste "honnête", Psychedelic Pill(2012), le morceau qui a donné son nom à l'album peine à supporter la comparaison et s'étire même mollement, parfois. Souvent.
Porté par cette ligne mélodique étrange bâtie sous sifflets, Walk Like A Giant ne souffre pas des mêmes maux, nope. Une totale réussite, portée par des soli enfin inspirés, quoique, un rien "castrée" par une bonne dizaine de minutes de fin du monde annoncée, déclinée sous forme de bruits divers, larsens de guitares et basse, ou lourdes percussions organiques, métalliques, urbaines, qui portent haut le propos initial : la fin des idéaux du "Flower Power", l'argent roi, l'autodestruction de l'espèce humaine, la réalité et l'horreur de la pollution symbolisée ici par un envol de matières et sacs plastiques projetés tout du long, depuis le côté de la scène...
Un rapide et logique "nettoyage", plus loin, mené en équipe - si seulement chacun pouvait y mettre du sien pour en faire de même, en mode quotidien, à condition de ne pas salir, "avant", nous n'en serions pas là... enfin, pas à CE stade-là ! - le gars s'en revient aux "affaires" en version solo "boisée" : guitare et harmonica, en pognes (après avoir logiquement filé la métaphore de notre disparition prochaine, à l'aide d'un morceau encore inédit et joliment troussé : Hole In The Sky, écrit en mémoire de la très bientôt défunte, Couche d'Ozone !).
Si, Red Sun, met un peu de temps à toucher - notre homme ne cesse de se balader d'un bout à l'autre de la scène, par ailleurs, chantant au niveau des "capteurs" posés à l'angle de son porte-harmonica - la "triplette" : Heart Of Gold, Blowin' In The Wind (empruntée à Dylan!), Comes A Time (issue d'un album majeur, de la même appellation, trop souvent "oublié" de satisfécits) elle, suffit à emporter pleinement le public vers des hauteurs inattendues, mais néanmoins espérées, une (bonne) heure plus tôt.
Seule à bénéficier de sa présence aux "ivoires" (blanches et noires), l'autre inédit discographique du soir : Singer Without A Song, nous renvoie directement au passé du gonze, aux dramatiques ambiances, sombres et "bastringues", de After The Gold Rush(1970).
Vraisemblablement en nage, sous son feutre noir un tantinet "hors saison", le natif de Toronto se hasarde alors à faire subitement retomber la tension savamment installée au préalable. Autant, lorsque les morceaux "longs" ont la qualité intrinsèque d'un Like A Hurricane, d'un Cortez The Killer, ou de l'imparable Like A Hurricane, rien à redire, sur le fond ; autant, lorsque c'est uniquement, le très récent Ramada Inn, qui s'y colle, euh, comment dire... Ça ne fonctionne pas terrible (c'est une litote !). Répétitif, même, ce me semble. Parce que sans "étincelle", en vrai. Un génie sans lampe, rien de plus, ou bien un "Loner" sans cheval, voilà... Na !
Lorsque, Sedan Delivery se pointe au débotté pour faire exploser le miroir déformant de nos récentes certitudes et nous ramener illico vers les noirceurs de cette fameuse "Rouille Qui Ne Dort Jamais", ou de Live Rust, c'est tout un peuple qui explose : celui des premiers rangs, des "fidèles", des "purs et durs" ! (Rejoints d'allégresse par un duo Patti Smith/Lenny Kaye posté sur le côté de la scène, qui n'aura eu de cesse que de danser, crier, chanter, prendre des photos et manifester sa joie à "donf"...).
Après avoir longuement joué avec nos nerfs, à l'aide du "riff" jouissif et élastique, de : Surfer Joe & Moe The Sleaze (rare moment à sauver en provenance du très décevant Ré-Ac-Tor(1981) il semble hésiter un temps sur la marche (en avant ?) à suivre.
Comme si cela ne suffisait pas à notre bonheur, le vieux "pénible", accro aux larsens déchirants et solo brouillons d'anthologie, ravive alors la fibre gustative des "présents", porteur de cannelles effluves datant du (toujours) lointain et adulé : Everybody Knows This Is Nowhere : Cinnamon Girl, que ça s'appelle (encore et toujours) bien évidemment. Et les Arènes de se mettre à "pousser", chanter, danser et vibrer de plaisir : parterre et tribunes à l'unisson, enfin réunies, au... diapason !
La version hors normes, de l'hymne Rockin' In The Free World, quant à elle, sera à classer dans le "Top 10 Live" du genre ; semblant ne devoir jamais se terminer, elle voit le génial sexagénaire se démultiplier, vriller et tirer de la corde sans répit, provoquer ses camarades de jeux Billy Talbot (basse/churs), Franck "Poncho" Sampedro (guitares/orgue/churs), et Ralph Molina(batterie/churs), jusqu'au bout du bout de la gageure musicale :
"Je vois une femme, dans la nuit / Portant un bébé dans ses bras / Sous un vieux réverbère / À côté d'une benne à ordures / Je la vois repousser le bébé au loin / Puis partir à la recherche de sa "dose" / Elle hait sa vie / Et ce qu'elle a fait d'elle / Encore un enfant qui n'ira jamais à l'école / Qui ne tombera jamais amoureux / Qui ne sera jamais à l'aise dans sa vie...".
Une explosion de sève, d'énergie, de révolte et de bonne humeur (à la fois) malgré le sombre du propos, qui ne peut que nous pousser à reconnaître l'évidence : si Neil Young aura forcément marqué le siècle précédent de son empreinte indélébile, ce n'est pourtant pas aux côtés de Buffalo Springfield, Crosby, Stills & Nash, Booker T, Pearl Jam, ou The Stray Gators, qu'il aura mené les choses à leur plus "haut", sur scène, mais bel et bien avec ce trio de "Ricains" dépenaillé, monolithique et empesé, que le tour de force aura opéré, depuis près de quarante-cinq années... un "must" du genre.
Un parcours de rêve, pour un show de même "teneur", ponctué d'un poignant Roll Another Number (Tonight's The Night/1975) précédé d'un rare et long speech nous promettant de futures "retrouvailles !", céans, bientôt : "en espérant que l'intégralité des gens présents, ici, ce soir, soient de nouveau de la partie à ce moment-là ! Même si je sais que c'est illusoire, on ne peut que le souhaiter...". Un moment poignant, clôt d'un logique et parfait : Everybody Knows This Is Nowhere ; le moment à graver à tout jamais dans la cire, celui de leur première collaboration, où tout a définitivement basculé (1969). Une matière dans laquelle l'on n'est pas près de le plonger, le gars Neil, contrairement à d'autres vieilles gloires en péril, de type Éric Clapton, Rod Stewart, Deep Purple, , ou bien les Stones - qui n'ont pas signé de disque "digne", depuis trente-cinq longues années (Some Girls/1978) et qui semblent à jamais "collés" à la même Setlist, depuis le tout début des 70's ! - qui vous grèvent le porte-monnaie comme un rien, de façon honteuse, insensée, rédhibitoire et injustifiable (plusieurs centaines d'Euros, souvent, la place !).
60 Euros, cette fois, pour s'en aller en toute simplicité à la rencontre de deux "monstres" du genre, deux monuments amplement à la hauteur de leur réputation passée, présente (et future ?) cela ne peut que vous réconcilier (momentanément) d'avec un "secteur", une industrie du "divertissement" estival trop souvent omnibulée par ce qui se trouve sur votre compte (bancaire) sans pour autant que vous puissiez y trouver le votre... Forcément !
"À chaque fois que je pense à mon retour chez-moi / tout m'apparaît de nouveau facile et frais / Je souhaiterai tant y être de nouveau / là, maintenant, juste pour y passer le temps..."
Setlist des Arènes de Nîmes :
Love and Only Love
Powderfinger
Psychedelic Pill
Walk Like A Giant
Hole In The Sky
Red Sun (Solo Acoustique)
Heart Of Gold (Solo Acoustique)
Blowin' In The Wind (Solo Acoustique)
Comes A Time (Solo Acoustique)
Singer Without A Song
Ramada Inn
Sedan Delivery
Surfer Joe & Moe The Sleaze
Cinnamon Girl
Rockin' In The Free World
Rappel :
Roll Another Number
Everybody Knows This Is Nowhere
Critique écrite le 18 juillet 2013 par Jacques 2 Chabannes
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> Réponse le 19 juillet 2013, par elvisisalive
En lisant la chronique du Marquis de Jonard sur ce même site, relatif au concert de Neil Young & Crazy Horse au Théâtre Antique de Vienne, je réalise que j'ai quasiment vu le même concert, à quelques jours et centaines de km de distance. Dans mon cas, ce fut à Nîmes et ses Arènes, cadre tout aussi idyllique que le Théâtre Antique pour assister à des concerts. D'accord avec le Marquis, certains titres auraient mérité d'être écourtés pour laisser place à quelques grands classiques 70's supplémentaires. Oui, Neil a bien joué Heart Of Gold et Blowin' In The Wind de Dylan en acoustique, mais pas de My My Hey Hey à Nîmes. Dommage car j'aime beaucoup ce titre dans sa version acoustique. Au passage, je confirme au Marquis que même sans être parfait, Neil reste bien meilleur que Dylan sur scène,... La suite | Réagir
> Réponse le 19 juillet 2013, par Lutaud Fabien
[Nîmes - 17 juillet 2013] Bonjour, J'ai été présent au concert aux arènes de Nîmes mercredi soir, ce fût que du bonheur, et dire que jusqu'à la dernière minute, cette soirée légendaire aurait pu être annulée pour cause d'orage!!! Je n'ai aucune critique formuler pour ces deux légendes vivantes, même avec leurs physiques de papy, mamie, je les ai trouvé d'enfer surtout Patti qui n'a rien perdu de son charisme et de sa voix particulière, elle nous semblait, nous qui étions très haut placés dans les arènes,une bonne reine a long règne avec bcp d'amour a faire partagé,j'ai vraiment adoré toute sa prestation et plus particulièrement Land/horse que je n'avais jamais entendu en live, que du bonheur!! Quant à Neil, il nous a , en effet, donné la chair de poule, dans son morceau apocalyptique, il a prouvé que si Hendrix... La suite | Réagir
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