Chronique de Concert
Viagra Boys, Kevin Morby, Meatbodies, Billy Nomates, Jul Gacio, Benefits (Pointu Festival - jour 2)
Presqu'ile du Gaou, Six Fours les Plages 08 juillet 2023
Critique écrite le 16 juillet 2023 par Pirlouiiiit
Bref cela fait donc 13 ans (voir chronique par ici) que je n'ai pas mis les pieds sur la presqu'île du Gaou pour un concert, presqu'île où j'ai quand même vu Motorhead en 2009 (voir chronique par ici), la reformation des Pixies en 2006 (voir chronique par ici), Massive Attack en 2006 (voir chronique par ici), ou encore Iggy and the Stooges en 2005 (voir chronique par ici). Cette année je suis là pour les Viagra Boys dont les clips (c'est rare que je découvre un groupe par ce biais) m'ont vraiment conquis.
Après m'avoir fait croire qu'ils avaient des places pour Mylène Farmer c'est donc avec Yann et Soisick que je me rends au Brusc assez tôt pour tenter d'éviter les longues files d'attente dont j'ai entendu parler à propos de la soirée de la veille. En plus je veux être sûr d'être là pour accompagner Margaux qui doit interviewer les Viagra Boys justement. Svet qui devait être de la partie a renoncé pour cause de pied cassé. Partis vers 17h de Marseille, nous sommes garé près de la plage une heure après. En traversant le port je repère les VB en train de boire des coups à une terrasse. Nous sommes déjà quelques festivaliers à longer la côte. Pas mal pas encore tout à fait remis de la soirée de la veille.
Arrivé près de l'entrée nous patientons à proximité de la dream team pop rock marseillaise (technopolice-rahewl-avenoir and co). 18h40 le site ouvre. C'est bon, pas de problème pour rentrer avec ses sandwichs. Avant de nous diriger vers la scène principale, nous profitons du fait que la système de jeton mis en place la veille a été doublé d'un paiement possible par CB pour prendre une bière (merci Yann). Il n'y a quasiment personne. Néanmoins suffisamment pour dire bonjour à la team (vous avez vu je parle comme un jeune, je ne dis plus "bande") Phocea Rocks, et à quelques photographes.
Vers 19h30 je pénètre avec les autres photographes dans l'espace entre le public et la scène juste avant que Billy Nomate fasse son entrée. Culottée c'est seule qu'elle se pointera sur l'immense scène, chemise grande ouverte, soutien-gorge vert, le menton relevé avec dans son dos le flamboyant logo Pointu Festival. Une fois sa respiration prise elle se lancera à corps perdu dans son set.
N'ayant pas prévu de faire la chronique à la base, je n'ai pas pris de notes et ne m'étais pas trop documenté sur les autres artistes de la soirée. Je me souviens donc surtout de sa rage souriante, de sa façon d'occuper / de parcourir la scène en agitant les bras (surtout celui qui ne tient pas le micro) dans tous les sens.
Entre les morceaux grand sourire et courts échanges avec le public, la bande son du morceau l'obligeant à enchainé. J'ai naturellement pensé à Sleaford Mods mais aussi à Tina Turner en la voyant. Début de set très physique devant un public qui s'est fortement densifié, mais dont le côté karaoké me pousse à aller jeter une oreille à la scène Pinède située plus loin sur l'île.
En arrivant je réalise que que c'est là que j'avais vu Skunk Anansie et Dissonant Nation (voir chronique par ici). Le set de Jul Gacio n'a pas commencé. Par contre la DJ qui officiait avant Billy est là et envoie du bon son bien dansant pour le plus grand plaisir des premiers rangs. Dans le fond le bar tourne à plein régime ainsi que les vendeurs de frites et hot dog. Je ferai une pause pour mangé un de mes sandwich et partager quelques mirabelles.
C'est donc dans ce magnifique cadre que se produiront les "locaux" : Avee Mana la veille, Parade demain et Jul Gacio ce soir. Je ne savais pas à quoi m'attendre ne l'ayant vu qu'une fois (en duo sous le nom de Section Azzura - voir chronique par ici) depuis la fin des éminents Quetzal Snakes dont il fut l'un des membres (cf : par ici) .
Le descriptif sur le site du Pointu aurait dû m'alerter "Jul Giaco nous vient maintenant en solo sur ses boîtes à rythme et ses synthés pour nous livrer une bataille live machine électronique inclassable. Tel un MC de la première heure, micro en main et texte dépouillé en Français, il nous fait rire et danser en attendant paisiblement la mort...". Lorsqu'il monte sur scène il porte une casquette jaune à l'envers, un peignoir blanc, sur un short vert, banane dinosaures et divers pendentifs autour du cou ...
Difficile à décrire mais ce qui est sûr c'est que les spectateurs innocents (je ne parle pas des marseillais sur les premiers rangs) ne s'attendaient sûrement pas à ça. Textes en français en effet, chanté sans grand effort de bien sonner (un peu à la Costes) à l'image du morceau "Juste parce qu'on est mal", mais un peu trop répété à mon gout. Electro foutraque mais un peu trop long. Jul assurera le spectacle usant de quelques artifices comme le poulet qui fait coin coin, la "machine qui répète" mais je ne rentrerai pas dans son délire, contrairement aux premiers rangs qui étaient à fond (comme Fabien Mallen autre gros déconneur qui aura la droit à sa dédicace).
L'heure avançant et l'accès au crash étant loin je partirai avant d'avoir la réponse à la question de Jul : "Est que je me suis vraiment mis un taz dans le dos ?". Au retour je constaterai le bouchon à gauche de la grande scène, le nombre de personne ayant accès à la scène pinède étant limité. Le temps de faire le tour du public désormais nombreux et je serai au pied de la scène pour les Meatbodies.
Groupe fondé par Chad Ubovich après avoir accompagné des
Gros son, assez 60-70s, avec des guitares bien lourdes. Je pense aussi à des choses plus "récentes" / grunge. Derrière eux l'écran géant se pare de mille couleurs (ambiance psychédélique) pour un rendu du meilleur effet. On assiste aux premiers nuages de poussière signe que ça commence à s'agiter / pogoter dans le public.
Que ce soit le guitariste solo, le batteur, le bassiste ou Chad (au chant et à la guitare lui aussi) le groupe se donne à fond tout en restant relativement sobre sur scène. Au bout de quelques morceaux bien sympathiques je me décide à redonner une chance à Meule (vus récemment au Yeah ! - cf par ici) qui va attaquer sur la scène Pinède. J'ai beau avoir pris de la marge lorsque j'arriver au checkpoint ça n'avance plus. J'attends un peu et renonce préférant écouter la fin du set de Meatbodies du fond en regardant les variantes visuelles de 333 dernier album en date qu'ils défendent ce soir sur scène.
Je profite de ce moment-là pour aller faire un tour aux toilettes qui ne débordent pas encore même si les toilettes hommes sont devenus mixtes. Et aussi pour retrouver enfin Margaux avec qui nous avons rendez-vous pour l'interview des VB. Finalement celle-ci se fera juste après les 3 morceaux règlementaires du début du set de Kevin Morby.
De lui non plus je ne connais rien (à peine le nom) contrairement à beaucoup de gens ici ce soir. A posteriori je lis (toujours sur le site du Pointu) "Kevin Morby a déjà sorti six albums solo acclamés et une myriade de disques issus de diverses collaborations. Sa vision singulière, ses paroles évocatrices et son aptitude à l'écriture de chansons accrocheuses et denses l'ont fermement placé dans les rangs des icônes modernes comme Bill Callahan, Kurt Vile, Sharon Van Etten, Will Oldham et Jeff Tweedy."
Derrière lui un écran noir sobre avec écrit en blanc "This Is A Photograph", le nom de son dernier album. L'écran restera comme cela tout le concert. Lui par contre (moins sobre) porte une tenue de cowboy à franges (genre David Crocket) mais doré (couleur or). Il est accompagné d'un clavier, un saxophoniste, un batteur, un bassiste et une violoniste (elle aussi dorée).
3 morceaux qui ne me suffiront pas à me faire une idée de sa folk rock de bonne facture mais qui m'a laissé relativement de marbre. Pas très communicant, ni très souriant (comme sur ses photos de presse cela dit) il aura beau nous annoncer que c'est la fin de leur tournée, il aura beau sauter de la scène, venir au contact du public et lancer son micro dans les airs au milieu des photographes, je ne sentirai pas vraiment de plaisir ou d'enthousiasme de sa part.
En tout cas, sitôt les 3 morceaux écoulés nous fileront du côté de l'espace presse / artiste pour retrouver des Viagra Boys assez disponibles malgré la fatigue (eux aussi étaient en fin de tournée si je ne dis pas de bêtise). Je vous laisse découvrir la première (d'une longue série j'espère) interview concertandco / antichambre faite par Margaux par ici - dès qu'elle sera prête.) à l'issue de laquelle je profiterai de la fin du set de Kevin Morby et sa folk sympathique qui m'a fait penser à the National aussi je crois ...
... tout en me rapprochant de l'entrée de la scène Pinède dont la barrière se fermera sous mon nez. Cette fois je montrai mon bracelet photo qui me permettra de passer. Je me laisse guider une nouvelle fois par les néons lumineux. Je regarde au passage, les photos de gros concerts de Gaëlle Beri. Il y a en effet beaucoup de monde ... Benefits dont j'avais aperçu la tente tout à l'heure sont déjà à l'uvre.
Je suis bien évidemment frappé par le chanteur, Kingsley Hall, qui s'agite beaucoup. Avec quelques photographes à ses pieds, il hurle, prend la pose, fait des grimaces, tire la langue, regard menaçant au loin, genre très énervé. Accompagné d'un clavier qui se cache un peu derrière ses cheveux et d'un gars les yeux braqués sur un écran de portable, il a l'air d'en vouloir à la terre entière, à moins qu'il ne soit en train de se battre contre quelque chose que lui seul voit.
La bio sur le site apporte des éléments d'explication : "Originaire de Teesside dans le nord de l'Angleterre, Benefits distille un son brutal et furieux qui mêle noise, hip hop, rock industriel et garage et règle ses comptes en musique avec le gouvernement britannique.". J'avoue que là ce que j'entends manque peu de mélodie ou de rythme.
Je m'éloigne un peu de devant de la scène et trouve un petit bout de banc à côté de S&Y. Entre temps le style à un peu évolué. Ça me parait plus structure, plus rock. "Come on, we are friends !" nous clame t il ! Je m'éloigne au moment où ça semblait commencer à me plaire. En effet hors de question de rater le début du set des Viagra Boys grâce à qui je suis ici.
Sur scène il y a plus ou moins de gauche à droite, Oskar Carls à la guitare et au saxophone, Linus Hillborg à la guitare, Sebastian Murphy au chant, Tor Sjödén à la batterie, Henrik Höckert à la basse et Elias Jungqvist aux claviers et au chapeau de cowboy. Celui qui attire le plus mon attention, après Sebastian bien sûr, c'est Oskar. Je ne sais plus ce qu'il nous avait dit à la fin en guise de au revoir ("we are going to be wild !" ? "we are going to get wasted" ? un truc dans ce gout là en tout cas ...
Et effectivement j'ai un peu de mal à reconnaitre en regardant ce musicien déchainé qui se trémousse et se cambre dans son marcel "gogo" et sa culotte de cuir noir, celui qui une grosse demi-heure plus tôt répondait avec attention et sérieux aux questions posées par Margaux. Très surpris aussi par la patate (certes nonchalante mais patate quand même) de Sebastian qui assurera comme frontman de ce groupe suédois qui a tout d'un américain (dont son chanteur).
Torse nu et tatoué (comme le bassiste d'ailleurs), sans complexe et semblant cultiver sa bedaine (il l'arrose de bière et la caressera à plusieurs reprises), les yeux clairs cachés par des lunettes "Viagra boys" d'un côté et le ying/yang de l'autre, il se promène tranquillement sur scène les bras en croix quand il ne se cramponne pas à son micro pour hurler.
Niveau set list il piocheront surtout dans leur premier album (6 titres de Street Worms) et leur dernier (6 titres de Cave world) et seulement deux du second que j'ai (Welfare jazz) à savoir Cold Play et Ain't nice. Grosse ambiance avec évidemment des pics sur les tubes. Beaucoup de bières bues, et pourtant encore la force en fin de concert de faire quelques pompes sur Sports.
Plongeon dans le public de la part de Elias (sans son chapeau), escalade de scène de la part de Oskar, puis jeu de saxo sur le dos seront quelques-unes des petites extravagances que se permettra le groupe dont on sentait quand même un certain plaisir à être là ce soir malgré la fatigue évidente et normale.
Ils finiront ce set sans faute et sans temps mort avec Research Chemicals, un titre de leur EP du début qu'ils dédieront si j'ai bonne mémoire (sinon c'était un autre morceau) à Benjamin Vallé leur premier guitariste, aujourd'hui décédé. A la fin du morceau Benjamin fera quelques photos de la foule et un petit selfie puis la lumière se fera pour permettre à tout le monde d'évacuer le site en douceur. Direction le camping pour les plus courageux ou Marseille pour les autres comme moi, qui ai pris soin de ne surtout pas aller écouter Idles pour ne pas être tneté de revenir le lendemain.
Ain't No Thief, Slow Learner, Punk Rock Loser, Baby Criminal, Return to Monke, Just Like You, Troglodyte, Ain't Nice, Frogstrap, Down in the Basement, Cold Play, ADD, Worms, Sports, Research chemicals
Quelle bien belle soirée, qui m'aura cependant fait prendre conscience de mes limites en termes de résistance physique à l'effort. Du coup je pense que pour le Binic Blues Folk Festival nous n'irons qu'un soir cette année ...
Beaucoup plus de photos et quelques vidéos par Pirlouiiiit par ici
Critique écrite le 16 juillet 2023 par Pirlouiiiit
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> Réponse le 18 juillet 2023, par Philippe
Puisqu'on ne peut pas réagir aux interviews : bravo a toi pour la chronique qui donne des regrets... Et bravo a Margaux pour cette première interview.Pour la prochaine fois : penser à checker sur Concertandco : les Viagra Boys ont joué a Nîmes (TINALS) il y a déjà quelques années et un certain Philippe les avait chroniqués et encensés ... ;-) Réagir
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