Accueil Chronique de concert (mes) Eurockéennes 2014, 2/2 : Uncle Acid & the DeadBeats, DakhaBrakha, Biffy Clyro, Volbeat, Goat, A Tribe Called Red, Robert Plant & the Sensational Space Shifters, Ghost, The Black Keys
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Chronique de Concert

(mes) Eurockéennes 2014, 2/2 : Uncle Acid & the DeadBeats, DakhaBrakha, Biffy Clyro, Volbeat, Goat, A Tribe Called Red, Robert Plant & the Sensational Space Shifters, Ghost, The Black Keys

(mes) Eurockéennes 2014, 2/2 : Uncle Acid & the DeadBeats, DakhaBrakha, Biffy Clyro, Volbeat, Goat, A Tribe Called Red, Robert Plant & the Sensational Space Shifters, Ghost, The Black Keys en concert

Presqu'île du Malsaucy, Evette Salbert 06 juillet 2014

Critique écrite le par

Le samedi, c'est par là !


Mauvaise nouvelle pour commencer : on a pas assez trainé au barbecue du dimanche pour rater comme prévu les abominables chevelus d'Uncle acid & The Deadbeats, dont le heavy rock graisseux nous a copieusement cassé les oreilles et le reste avant Black Sabbath il y a quelques mois. Il faudra donc les revoir, les pieds dans une boue malodorante (un concert à l'étable, quelqu'un ?). Allez, soyons honnêtes, ils sont bons musiciens, le chanteur est correct, ils ont finalement une figure derrière leurs cheveux (hé ! à Bercy ce n'était pas si évident). Mais ils surévaluent le pouvoir "hypnotique" de leur heavy-rock : en fait il ne nous fait pas décoller, d'autant moins avec les pieds atrocement englués. Ne fait pas voler un dirigeable en plomb, qui veut (on y reviendra). Dans les tous meilleurs moments (1 ou 2 titres), ils s'approchent de Black Sabbath, avant que ça retombe aussi sec, pour finir sur du carrément chiant. En attendant il fait un soleil à crever et on ne va pas s'en plaindre : y'a alerte orage pour toute la soirée sur la Presqu'île, alors on reste calme et on boit frais.


C'est le moment d'une bonne touche d'exotisme qu'on imaginait à la Kusturica avec DakhaBrakha dont les vidéos n'ont pas manqué de nous intriguer. C'est encore plus inattendu, avec des mélodies et des très jolis choeurs féminins qui semblent presque flirter avec l'Asie. Mais a priori même pour des ukrainiens, ils doivent être dépaysants et folkloriques ! De magnifiques costumes en tout cas pour ces trois dames et monsieur (une petite photo vaudra mieux ici qu'un long discours), et des questions restées sans réponse : qu'y a t'il dans leurs chapeaux ? Sont-ils climatisés ? Niveau instruments, darbouka, accordéon chromatique et diatonique, violoncelle et percussions diverses. C'est aussi joli qu'incongru aux Eurockéennes, avec un bémol : le son n'est pas réglé assez haut pour que l'effet transe potentiel de certains rythmes fonctionne complètement, et le concert n'est pas calé sur une courbe d'ambiance. Les filles n'ont aucun scrupule donc à allumer le feu pendant un morceau (dialogue assez enlevé où leur sparring partner semble se faire pourrir), et faire retomber juste ensuite (chant mélancolique d'une seule des filles, et même pas dans le micro...). Le morceau final, explosif et trop court, donne quelques regrets : y'avait de quoi faire danser jusqu'aux clôtures du site. A revoir si possible en salle !


On le savait déjà sur le papier mais en vrai c'est encore plus flagrant : Biffy Clyro est sans doute le groupe de rock le plus putassier de la scène européenne actuelle. Et que je te joue du rock fort sous stéroïdes, calibré stades, avec les riff metaux qui vont bien, et que je te prenne des supers mélodies slow qui plaisent aux teenagers américains, et que je piaille les larmes aux yeux et le poing levé - à n'en pas douter, des chansons engagées contre la guerre, l'injustice et la faim dans le monde... On a assez rapidement envie des leur jeter des mottes de terre, ou au moins que leur bannière immense et archi-moche leur tombe sur la gueule. Un truc rigolo quand même : le groupe compte trois mecs gaulés et tatoués torse-nus, et un tout petit bonhomme en chemisette, bien coiffé et pas du tout raccord. Serait-ce le chauffeur du tour-bus, qui remplace un guitariste abattu (légitime défense !) par un fan de Jack White ?


[ Interlude : en partant après 20 minutes de cette purge, je tente une théorie foireuse (en pensant à Glasvegas) : "De toutes façons, tous les groupes écossais font de la merde !" "Ah ouais ? Tu veux dire comme Mogwai ? Comme Franz Ferdinand ?" Bon, ok, je retourne à ma bière, le beignet bien claqué. Y'avait aussi Jesus & Mary Chain. Devant le blanc de programmation, je fais un tour au village pro - pas grand chose à y faire quand on ne connait que son propre photographe, déjà croisé dans l'après-midi ! Puis au village V.I.P. où l'on a le loisir - ô combien enviable non ? - de payer des pizzas 10 euros (au lieu de 6 sur le site). Toi t'es trop V.I.P., moi pas, je repars ! Il aurait d'ailleurs été dommage de rater la seule et unique averse de la journée : un gros nuage qu'on a vu arriver de loin, qui passe au dessus du site, nous arrose copieusement et brièvement, façon Canadair, et poursuit sa route. Tellement court (pas plus de 5 minutes) que c'en est presque drôle. L'honneur est sauf : on était pas là vendredi mais on a quand même été mouillés un peu !]


Volbeat ? Voilà ce qui arrive quand on laisse des danois jouer du rock ou du metal... Ils n'arrivent pas à choisir et du coup, c'est fromage et dessert, avec le pire et le meilleur (en révisant on avait surtout entrevu le pire, à vrai dire). Au rayon pire donc : une petite moitié de mélodies franchement trop mainstream, flirtant avec l'esprit du groupe précédent, et la déception d'une reprise avortée de Ring of Fire. Pour le meilleur : quelques titres qui cotoyent Metallica & Motörhead, leur anthem à eux qui est plutôt réussi, et au moins un rock'n'roll jouissif, avec un très gros son. En tout cas, super bien lookés rock'n'roll gominé, chanteur attachant, déco classieuse et plutôt sobre, ils jouent fort, bien, et sur la durée du concert, ils sonnent nettement moins racoleurs que les précédents. Par ailleurs leur nom a inspiré un spectateur qui le prend, littéralement, au pied de la lettre pendant quelques instants, porté en triomphe par ses copains avec son ziguigui à la main. Au final on écouterait pas forcément ce groupe à la maison (trop dispersés les mecs !) mais ce serait malhonnête de ne pas souligner leurs nombreuses qualités.


Lors de nos révisions (légères) pré-festival, on a noté sous Foster the People, "pop agaçante"... ça nous suffira comme information, même si nos amis ont trouvé ça bien fait. Ce sera bien plus amusant de regarder (pas tout le concert hein, faut pas pousser quand même), les dingos suédois costumés de Goat, emmenés par deux prêtresses en costume bariolé, très agitées (en mode danse tribale continu !), accompagnées de gratteux et bassistes en burqas noires. Leur son est déconcertant mais sympa : il évolue entre prog rock (plutot speed quand même), groove, blues touareg, afro beat, et divers autres pas reconnus... Cela étant au rayon exotisme il reste encore un troisième groupe annoncé aujourd'hui : les "Canindiens" de A Tribe Called Red, qu'on avait trouvés atroces en vidéo (de quoi éveiller l'intérêt donc !). Evidemment, en mixant sur deux ordis et une turntable, ils restent moins originaux que les poupées ukrainiennes à chapeau, ou les suédoises vaudou. N'empêche que leur électro, d'abord sèche et hargneuse, puis tirant sur la house music ou le hip hop, est joliment agrémentée par des dessins animés indiens rigolos et surtout, par un danseur en costume qui jongle avec des cerceaux. Un spectacle sympa au final, plus cohérent qu'on pouvait le craindre, et qui méritait bien qu'on y passe un moment ...


La venue de Robert Plant, monument historique du rock, est toujours un événement, mais on a déjà constaté par le passé que ses concerts étaient inégaux, pas forcément aussi excitants et puissants qu'un écoute au casque de la réédition en vinyle des premiers Led Zeppelin. Et puis, il y a 19 ans, il était venu avec son alter ego Jimmy Page, ça faisait quand même une différence importante ! Avouons-le, on craignait fort de se faire gentiment chier à son concert... Il ne faudra pourtant même pas cinq minutes à l'honorable Sir, pour claquer avec bienveillance nos petites fesses de galopins impertinents. Ultra-charismatique, d'une classe à mourir, drôle et percutant dans ses interventions en baragouin français ou en anglais, avec la même voix (timbre et puissance) qu'il y a 40 ans, ultra-connecté avec ses musiciens tous brillantissimes dans leur discipline, Robert Plant n'aurait même pas eu besoin de dénouer ses longs cheveux gris et bouclés pour nous faire constater l'évidence : aujourd'hui, le Messie du rock, c'est lui !


Sainte Merde, on aurait pourtant du s'en apercevoir.... C'est vrai que la version acoustique/flamenca de Babe I'm Gonna Leave You qui ouvre le concert, est déjà superbe. Mais quand son groupe se déploie, on approche rapidement de l'extase : on note à la volée que le 2e titre ressemble à du (très bon) Massive Attack, genre space et avec basse tellurique (et pour cause, il nous le dira ensuite, il leur a piqué un membre !). Les Sensational Space Shifters comportent aussi, entre autres, un guitariste chevelu/barbu dont certains riffs sonnent à vous en donner le frisson de joie, un pianiste blanc parfait à son poste, un gratteux noir à chapeau qui joue manifiquement de multiples instruments du cru (la base étant une calebasse à une ou deux cordes maximum, jouée à l'archet). Le groupe tout au service du héros honore donc l'esprit du Led Zeppelin (l'ombre du dirigeable flottera agréablement au dessus de nos têtes tout le concert...), et donne un écrin magnifique à sa voix. Le tout étant dédramatisé presque entre chaque titre par une boutade de Robert Plant (exemple, une tentative désinvolte de vendre son prochain album, conclue d'un "Fuck you !" rigolard), qui n'oublie pas non plus de relancer l'ambiance en se servant de nos quelques 50 000 mains enthousiastes...


Les compositions (a priori) originales de ce super groupe sont classes, intenses et prenantes, à l'instar de Spoonful (merci pour le nom, Bob !), blues du delta en plomb liquide, avec voix à tomber à la renverse. Tout ici est décidément beau et classieux, y compris les lumières du show et sa déco minimale et chic ! Comme depuis toujours, l'artiste n'hésite pas à mêler les influences (cf l'historique Kashmir, hélas absente ce soir) : blues/électro/banjo, pas de problème, ça sonne à mort, mais un titre de 'simple' rock'n'roll sixties façon Them, ça nous tue tout autant ! Et quand au milieu d'un blues a capella, il hurle soudain "You need cooooling...", l'intensité de la clameur venue du public nous colle la putain de méga chair de poule du week-end ! Avant d'envoyer, bien sûr, un Whole Lotta Love bouleversant de puissance et de beauté, dont le pont central est remplacé par un autre inédit, sans le fameux solo de guitare mais presque aussi dingue... En rappel (et Dieu sait qu'on a braillé volontiers pour le ressusciter, ce Messie-la !), Robert Plante et les Sensationnels Déphaseurs de l'Espace nous offrent un Rock'n'Roll zeppelinien et exotique à la fois : dantesque. Force est de s'essuyer une larme à l'oeil, quand retentit le dernier "Lonely, lonely, lonely...", sidérés par la qualité de ce concert qui enfonce tous les autres, même les plus réussis, de cette édition 2014. Comme un Escalier vers le Paradis...


Après l'impossibilité de s'approcher de Fauve l'an dernier aux Eurockéennes, on a pu se rattraper à Marsatac dans une salle de taille moyenne : c'était plaisant une fois, okay, mais pas grand chose à voir sur scène. Contrairement aux affreux jojos suédois de Ghost, dont la musique assez atroce est totalement raccord avec leurs costumes : il s'agit bien ici d'un show ! Et pourtant la farce va rapidement tourner court, surtout parce que l'"antipape" du groupe chante vraiment, mais alors vraiment, comme un baltringue. La comparaison avec Robert Plant serait vraiment trop cruelle mais, bon, il se trouve qu'on en a encore plein les oreilles. Ca et le fait que leurs compositions sont de metal standard dans le meilleur des cas (quelques bons riffs), mais peuvent aller jusqu'à la pop embarrassante. Voire même au slow catastrophique ("On dirait pas les Scorpions là ? - Non, plutôt Europe !"). Le tout avec le gimmick facile et répétitif d'insérer des choeurs d'église (pré-enregistrés) pour faire bonne mesure.


La moindre des choses serait pourtant que le chanteur ait la voix de Phil Anselmo, pour nous effrayer un minimum. C'est tout juste s'il n'a pas une voix de fausset pour blaguer avec le public (autre mauvaise idée, pour ce rôle finalement assez mal tenu). Enlevez-leur la boite à fumée et les costumes, balancez-les sans maquillage sur la scène du Hellfest ou du Graspop : ils se feront bouffer tout cru ! Et dire que ces guignols choquent le curé de Clisson... Z'inquiétez pas, m'sieu l'curé, là ce n'est pas du satanisme, juste de la contrefaçon de l'imagerie papiste ! Du grand-guignol qu'il va bien falloir se fader en entier hélas : c'est ça ou rien. Bon, leurs costumes sont très chouettes : leur couturier est sans doute l'artiste le plus accompli du groupe. A ce sujet, tentons une hypothèse au cas où, pas si folle quand on y réfléchit : suédois, costumés et masqués... se peut-il que Goat/Ghost soient un seul et même groupe, qui serait alors admirable de bipolarité ? On aimerait le croire...


Dans une interview aux Inrocks il y a quelques semaines, l'un des Black Keys déclarait, pour justifier leur virage progressif du blues-garage sauvage vers le rock grand-public : "Il y a 10 ans à nos concerts il n'y avait personne, je le sais, j'y étais !". Faux, mec : on y était aussi, et c'est précisément là qu'on vous trouvait totalement jouissifs ! C'était encore le cas ici-même en 2010 où ils faillirent nous tuer de bonheur sous le chapiteau, juste avant le fameux et funeste virage... Pour aggraver le tout ce soir, c'est leur troisième concert en trois jours et il apparaît rapidement qu'ils sont venus là juste pour relever les compteurs, et pouvoir continuer à prendre du bide et du double-menton. Le duo semble être devenu ... gras, au propre comme au figuré. Aucun effort de communication, Dan Auerbach utilise probablement les mêmes harangues automatiques qu'à Werchter et à Arras.


Ah, et puis aucun effort dans les enchaînements non plus : ah ça, ils n'ont pas peur du vide ! Et puis un son dégueulasse où la grosse caisse de batterie couvrira partiellement la guitare, du début pratiquement jusqu'à la fin. Rater le mix batterie-guitare dans un groupe dont c'est l'ADN, faut le faire, non ? Ah, pardon, on allait oublier les visuels hideux projetés sur les écrans et la déco chargée qui cache autant que possible les deux musiciens qui les accompagnent, un bassiste et un clavier (que le frontman réussira péniblement à remercier vers la fin). Et enfin une set-list à peu près exclusivement sur les deux derniers albums, occultant l'ensemble de l'époque où ils furent un groupe, pas révolutionnaire, mais au moins intéressant. Vous ne jouerez donc plus jamais Your Touch ? Allez vous faire foutre au stade de France... Rien à sauver donc ? Ben si, évidemment, c'est du blues quand même, enfin à la base...


C'est sûr que leurs tubes produits en laboratoire par Danger Mouse depuis 3 ou 4 ans, sont efficaces au moins sur les plus jeunes d'entre nous qui ne connaissent pas trop leur carrière ancienne : Run right Back, Gold on the Ceiling, les particulièrement putassières Nova Baby, Fever & Lonely boy à la fin font la blague, malgré une exécution globalement fainéante et un son toujours imprécis. Bullet in the Brain est éventuellement à sauver du dernier album, Turn Blue fait juste bailler et heureusement quelques titres (un peu) plus anciens, comme Howling for You au milieu, She's long Gone et Tighten Up à la fin, rehaussent un peu le niveau. Et puis, il va se produire un petit miracle à la fin : un rappel exigé par les spectateurs les plus assidus va nous être accordé ! Au moins 20 000 autres se sont déjà barrés, et on ne leur jette pas la pierre. Rappel qui, à en croire setlist.fm, n'a été joué qu'à Belfort ! Ce sera donc ce slow très beau et qui va s'avérer, avec l'aide du feu d'artifice de fin de festival, presque émouvant : Little Black Submarines, où Dan Auerbach semble enfin, mais trop tard, être arrivé ici... 75 minutes de juke-box et 3 minutes de vrai concert des Black Keys nous laissent quand même globalement très déçus de leur prestation.


Et lorsque s'éteignent les dernières salves et que la scène se rallume, c'en est déjà fini pour cette nouvelle édition des Eurockéennes. "Music in Paradise" ? Pas loin en effet ! Une trentaine d'intermittentEs monte néanmoins sur scène pour nous saluer et nous rappeler ce que le spectacle vivant, celui-ci y compris, leur doit. Si l'on est aux petits oignons tout le week-end sur la presqu'Ile, c'est bien parce qu'ils doivent cavaler comme des rats avant, pendant et après les trois jours... Et on ne peut certes pas soupçonner l'organisation d'un festival qui dure trois jours par an, d'abuser de travailleurs sous ce statut. Contrairement au groupe France Télévisions, propriété de l'Etat, par exemple... Leur porte-parole tente donc de faire passer l'idée, à des jeunes spectateurs souvent peu politisés, qu'ils sont aussi concernés par ce problème, et nous donne rendez-vous l'année prochaine. Avec le plus grand plaisir, mec, et merci pour tout !

Longue vie aux Eurockéennes, longue vie aux IntermittentEs qui les animent !


(Photos à paraître de scène par Andy Trax, illustrations par Philippe)

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Flashback : Chroniques de 20 ans aux Eurockéennes ... 2013, 2012, 2011, 2010, 2009, 2008, 2007, 2006, 2005, 2004, 2003.... et les plus anciennes encore, en trois parties depuis 1994.

> Réponse le 17 juillet 2014, par Pichou

Clair : Black keys trop décevant surtout après un Robert Plant magistral ! mais depuis, une interview (Libé 17 07 2014) a montré que Dan Auerbach avait le dos coincé ce soir-là. De coincé du dos à coincé du c..., il n'y a qu'un pas ! ;-)  Réagir


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The Black Keys, Noel Gallagher, Eagles Of Death Metal, Toy, Mark Lanegan, Deus, Bass Drum Of Death, Ume, Of Monsters And Men, The Bots, Maximo Park, Granville (Festival Rock en Seine 2012) par Pierre Andrieu
Domaine National de Saint-Cloud, le 25/08/2012
Grâce à un enchainement ininterrompu de concerts tous plus classieux et enthousiasmants les uns que les autres, la journée du Samedi 25 août 2012 est appelée à rentrer dans les... La suite

Uncle Acid And The Deadbeats : les dernières chroniques concerts

Hellfest et Knotfest 2019 : Slayer, Slipknot, Gojira, Slash, Daughters, Phil Anselmo & The Illegals, Uncle Acid and the Deadbeats, Kvelertak, All Them Witches, Behemoth, Amon Amarth, Kiss, Rob Zombie, Sabaton, Kvelertak, Sisters of Mercy... en concert

Hellfest et Knotfest 2019 : Slayer, Slipknot, Gojira, Slash, Daughters, Phil Anselmo & The Illegals, Uncle Acid and the Deadbeats, Kvelertak, All Them Witches, Behemoth, Amon Amarth, Kiss, Rob Zombie, Sabaton, Kvelertak, Sisters of Mercy... par Eric Freydefont
Clisson, le 23/06/2019
55 000 pass 3 jours pour le Hellfest 2019 écoulés en 2 heures ! Ce n'est pas rien, d'autant que la majeure partie de la programmation était inconnue au moment du fait. C'est... La suite

Black Sabbath + Uncle Acid and the Deadbeats en concert

Black Sabbath + Uncle Acid and the Deadbeats par Philippe
02/12/2013
Face à un constat implacable - même les plus grandes légendes musicales vieillissent et parfois meurent, on a décidé depuis bien longtemps de ne plus laisser passer un... La suite

Volbeat : les dernières chroniques concerts

Hellfest 2016 1er jour (Rammstein, Nashville Pussy, Le Bal des Enragés, Halestorm, Mass Hysteria, Anthrax, Turbonegro, Bullet For My Valentine, Hatebreed, Volbeat, Dropkick Murphys) en concert

Hellfest 2016 1er jour (Rammstein, Nashville Pussy, Le Bal des Enragés, Halestorm, Mass Hysteria, Anthrax, Turbonegro, Bullet For My Valentine, Hatebreed, Volbeat, Dropkick Murphys) par Abigail Darktrisha
Clisson , le 17/06/2016
Après l'anniversaire pour les 10 ans du festival l'an dernier, c'est donc toujours avec autant d'ardeur que s'ouvrira cette deuxième décennie musicale en ce mois de juin... La suite

Volbeat + Rammstein (Download festival France 2016) en concert

Volbeat + Rammstein (Download festival France 2016) par Lebonair
Hippodrome de Longchamp, Paris, le 12/06/2016
Volbeat On vient à peine d'apprécier la magnifique prestation de Rival Sons sur la Stage 2 qu'il va falloir traverser l'hippodrome dans toute sa longueur afin... La suite

(mon) Download Festival 2016 : Lofofora, Strange Bones, Trivium, New Years Day, Children of Bodom, Sabaton, Rival Sons, Volbeat, Last Train, Megadeth, Rammstein en concert

(mon) Download Festival 2016 : Lofofora, Strange Bones, Trivium, New Years Day, Children of Bodom, Sabaton, Rival Sons, Volbeat, Last Train, Megadeth, Rammstein par Philippe
Hippodrome de Longchamp, Paris, le 12/06/2016
Arrivée en France du Download Festival, le gros machin metal de Live Nation, donc ? Personne n'est dupe, ce n'est pas de la philanthropie, l'idée est évidemment d'aller empiéter... La suite

Volbeat + Iced Earth en concert

Volbeat + Iced Earth par Stephan75
Le Bataclan, Paris, le 25/10/2013
J'avoue que c'est vraiment excité que je rejoins le Bataclan ce soir, et au vu de la file d'attente je ne suis pas le seul. Il faut dire que l'affiche propose du lourd, du très... La suite

Presqu'île du Malsaucy, Evette Salbert : les dernières chroniques concerts

(mes) Eurockéennes 2022, 1/1 : Arka'n Asrakofor, Wu-Lu, Last Train, Frustration, Izia, Ascendant Vierge, Simple Minds, Paul Kalkbrenner en concert

(mes) Eurockéennes 2022, 1/1 : Arka'n Asrakofor, Wu-Lu, Last Train, Frustration, Izia, Ascendant Vierge, Simple Minds, Paul Kalkbrenner par Philippe
Presqu'île du Malsaucy, Evette Salbert, le 02/07/2022
On dit que tout vient à point à qui sait attendre... 2019 : de belles 26ièmes Eurockéennes pour nous, conclues par Arnaud Rebotini. 2020 : confinement général, pas glop mais bon,... La suite

En attendant les Eurockéennes 2022... une balade au Malsaucy ? en concert

En attendant les Eurockéennes 2022... une balade au Malsaucy ? par Philippe
Presqu'ïle du Malsaucy, Evette Salbert, le 04/07/2021
Dimanche 4 juillet 2021... Voilà 2 ans, jour pour jour, qu'ont résonné les dernières notes des Eurockéennes de Belfort (celles d'Arnaud Rebotini, sauf erreur), sur la Presqu'Île... La suite

Daft Punk (Eurockéennes de Belfort 2006) en concert

Daft Punk (Eurockéennes de Belfort 2006) par Pierre Andrieu
Presqu'île du Malsaucy, Belfort , le 24/02/2021
Après avoir permis de voir défiler sur scène The Strokes, Arctic Monkeys, Two Gallants, Dionysos, Malajube etc., la journée du 30 juin 2006 aux Eurockéennes de Belfort se... La suite

Kraftwerk (Eurockéennes de Belfort 2005) en concert

Kraftwerk (Eurockéennes de Belfort 2005) par Pierre Andrieu
Presqu'île du Malsaucy, le 03/07/2005
Les quatre informaticiens allemands de Kraftwerk nous avaient fait très fort impression lors des dernières Trans Musicales de Rennes, ils ont réitéré leur robotique performance... La suite