Chronique de Concert
Sugar Minott et Determine
J'apprends qu'on a remplacé Ken Boothe par la nouvelle génération.
Le public était donc présent, un public jeune, qui ne lésine pas sur la picole et la fume. Il y a eu un mal aise qui était plutôt gerbant ! ! La sorti quoi.
Détermine man est énergique avec un look pris à docteur Alimentado du temps de best chiken in Town, on effraie plus Babylon avec les dread OK, donc on va travailler le look. Ses vêtements sans marques sorties emmaus montre un engagement que les paroles illustrent bien. La ferveur de la croyance divine, les bonnes paroles et la positive vibes qui rebondi sur tout. Détermine fait sauter le public, avec des rythmes secs et des lyrics rapides et appuyés. Il a un peu de mal a tenir le public avec les chansons plus lentes.
Le public à un coût de barre, faut dire qu'il y l'aire d'avoir une skunk bien travaillée en laboratoire vers Toulon vu les odeurs reluisantes. Tu rajoute quelques degrés d'alcool. Pour dire Détermine man répare sans rappel.
A ce moment la salle se vide un peu, la fatigue est tombée.
Moi j'attendais un peu le Sugar que j'avais vu à Marseille.
Le voilà sur scène et c'est parti.
IL enchaîne direct avec ses hits, mais va savoir si le public ne connaissait pas les classics du roots ou si la sono qui était vraiment trop sourde, mais les vibes passait mal. Et là on aurait put croire que Sugar aurait du reprendre trois fois la même chanson il n'en fut rien. Il va et vient entre son nouvel album et les golds songs. Le public balance doucement se laissant porter sans trop réagir.
Après s'être énervé sur la sono Sugar part sur deux chansons et part soudainement, vraisemblablement un peu dégoutté. Le public le rappelle et il revient pour le plus court rappel de l'histoire avec une fin comme "je dois partir même si je veux pas" et hop ! Même les musiciens sont déroutés et reste un peu sur scène sans savoir quoi faire, puis on leur fait signe de descendre.
Et là le public se réveille et on appel et on appel encore. La lumière fini par finalement se rallumer comme si elle était restée, elle aussi, dans le doute.
Va savoir ce qu'il s'est passé.
Moi j'étais venu le cur rempli de beaux souvenirs et ben... je crois que je vais garder les mêmes.
Critique écrite le 30 mars 2004 par Nuno
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