Chronique de Concert
Telescope Road + Absynthe Kiss
Il y a des soirs comme cela où même lorsqu'on avait décidé de ne pas sortir on se retrouve à un concert. En rentrant de l'école avec les enfants, on s'arrête pour acheter du pain et là on tombe sur Mr Mousse qui ma dit que ce soir il a prévu d'aller voir le groupe de David qui joue au JAM et qu'il ira avec Lol et Manu. Connaissant tout ce beau monde et ayant plutôt bien aimé Telescope Road la première fois que je les ai vus (au feu Point de Bascule) je demande à Pierrick s'il peut m'envoyer un sms quand la première partie attaque. Vu son "oui" un poil hésitant je doublerai la précaution en envoyant un peu plus tard un sms à Henri ...
... grâce à qui je ne suis presque pas en retard. Un peu quand même mais j'ai le temps de voir les 2 derniers morceaux de Absinthe Kiss qui se trouve être un duo composé de William Kopecky à la basse et Morgane Neplaz à la harpe. Pour la fin de leur set il se transformeront en trio puisqu'ils appelleront David Lillqwist aux pots. Duo puis trio instrumental avec une basse bien en avant, dont il joue de toutes les façons possible, notamment avec cet espèce de truc qui fait une lumière bleue qu'utilisent surtout les guitariste pour produire un son continu ...
Plutôt sympa comme tout mais je n'en vois vraiment pas assez pour pouvoir en écrire plus. Ah si, notons quand c'était leur tout premier concert, et que William, s'il ne chante pas, aime bien prendre le micro pour parler entre les morceaux. Cela se vérifiera après la petite pause/bière quand ils re-attaqueront avec Telescope Road. Telescope Road trio résolument international puisque composé (comme vous le savez peut être déjà) de Alain Chiarazzo (Eclat, Quartier Nord) à la guitare, William à la basse (fretless) et donc David à la batterie.
Je ne suis pas spécialement branché rock progressif à la base mais comme la première fois où je les ai vu j'ai passé un très bon moment. Accroupis au pied de la scène je me suis certes légèrement assoupi ç un moment mais que voulez vous la musique instrumentale (même forte) a tendance à me bercer quand elle me plait (surtout lorsque je suis bien fatigué et qu'il fait chaud et sombre). A propos du volume sonore apparemment les voisins s'étant plaint récemment (pendant les balances ?) le groupe dira essayer de ne pas trop monter le volume ...
... personnellement dans un lieu comme le JAM c'était largement suffisant ; d'ailleurs j'ai gardé mes bouchons tout le long ! Globalement les morceaux m'ont paru plus calme avec un basse peut être plus en avant qu'avant, mais cela vient surement du fait que j'ai passé le gros du concerts aux pieds de William. Les morceaux les plus péchus sont (par définition) plus entrainants et donnent envie de se trémousser, mais on en profite pluôt pour admirer le jeu tout en finesse et/ou en adresse des 3 musiciens. Pour le final il feront appel à un habitué du lieu Marko Balland découvert et revu au sein du Hat Man Session qui viendra assurer le "chant" avec ses harmonicas pour un morceau très funky.
Une bien belle soirée que, rejoints par Remi, nous irons finir à la Maison Hantée ...
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Critique écrite le 11 février 2017 par pirlouiiiit
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