Chronique de Concert
La Terre Tremble + Married Monk solo + 69 + Tristesse Contemporaine + Balthazar + Gramme + Charlie O (festival Yeah!)
Après une matinée passer à petit dejeuner - trier les photos - faire du trampoline et un tour dans la piscine du camping avec les petits - déjeuner au restau de l'auberge nous voici de retour à Lourmarin. Cette fois ci nous sommes venus en voiture de façon à ce que si besoin (et vu l'heure à laquelle Lucie et Cyril se sont couchés hier c'est plus que probable) Svet puisse rentrer avec les enfants à n'importe quel moment. Dans le centre nous tombons sur DJ Oil et Jules Edouard Moustic qui s'occupent de l'ambiance sonore de La rue de Lourmarin (comprendre celle où il y a l'essentiel des cafés et sur laquelle on retombe tout le temps)
Puis direction la salle Albert Camus pour aller jeter un oeil à l'expo photo Un oeil sur la musique de Richard Bellia. Ne le connaissant que via facebook (où il a été très actif et plutôt rentre dedans) j'arrive là un peu méfiant, avec un mélange de curiosité (celle de voir les photos que j'ai déjà vu en ligne en grand format papier) et bien sûr une pointe de jalousie (vis a vis de celui qui était là pour saisir certains moments / musiciens historiques). Richard est là extrêmement disponible et content de faire visiter l'expo ou d'en discuter, offrant même jus de fruits et gâteaux aux enfants (Lucie ne manquera pas de lui faire coucou à chaque fois qu'elle le croisera le reste du week end). L'expo quant à elle est effectivement très chouette (même si plusieurs fois je ne pourrais m'empêcher de regretter que certaines photos ne soit pas -aussi- en couleur aussi). Amusant de se dire que une semaine avant l'expo était à NY ...
Le temps passe vite et du coup nous arrivons dans le jardin de l'école maternelle alors que le ciné concert pour enfants (mais pas que) a déjà commencé. Il s'agit de Tom et Jerry par La Terre Tremble. Ce groupe dont je n'ai lu que des bonnes critiques je l'ai raté plusieurs fois. Bon je me doute que ce que j'ai entendu là n'est pas tout à fait à l'image de leurs concerts habituels mais c'était quand même bien sympathique. Comme souvent dans les ciné concert les 3 musiciens avaient les yeux rivés sur l'écran ou les ancêtres de la petite souris et du chat et leurs amis s'animaient sous les regards captivés des enfants qui semblaient bien y voir malgré la paleur des images (due à l'intensité du soleil).
De l'impro pour coller aux dessin animé, mais aussi des passages de leur disque Salvage Blues qu'ils m'ont bien donné envie de les redécouvrir en plus électrique. En partant de l'école nous repassons devant le stand où l'on distribuait fruits et boissons aux petits (seuls les bonbons étaient en vente par petits sachets) et après être repassé devant l'expo de Richard Bellia nous nous dirigeons vers le terrain de boules où les gens du coin et quelques festivaliers se mélangent avec comme fond musicale les sélections du DJ de Radio Meuh ...
Et puis c'est l'heure de retourner vers le château si on ne veut pas rater Christian Quermalet. On s'arrête à un snack pour acheter un panini histoire de ne pas faire la queue là haut comme hier et du coup on rate le tout début du set du chanteur de Married Monk. Enfin à moitié car de là où on est on l'entend quand même pas mal. En montant les marches je me souviens de Arthur qui (il y a fort longtemps) m'avait dit qu'il avait failli réussir à faire venir les Married Monk à Rognes ... Ca ne s'est jamais fait mais ce soir c'est un peu comme.
Les Married Monk je les ai beaucoup aimé sur disque mais jamais vraiment vu ... ou trop tard, ou pas dans les meilleurs conditions : dans la pièce de théâtre Elephant People. Je suis quand même assez ému de me retrouver en face de son chanteur (croisé un peu plus tôt dans l'après midi à une terrasse de café) seul avec l'immensité derrière (celle du château à gauche et de la vallée à droite). Seul à la guitare (et au clavier pour un morceau) et avec quelques samples il récré sans difficulté l'ambiance si particulière de ce groupe si singulier.
Si musicalement je pense aux Little Rabbits ou même à un moment à Jack the Ripper c'est surtout à Lou Reed que je pense pendant tout le set aussi bien physiquement que musicalement et bien sûr au niveau de sa voix grave. A la fin de son set il descendra de scène timidement mais poussé par les applaudissements d'un public pas encore très fourni mais très enthousiasme, sera obligé de remonter pour "une autre reprise" (des Smiths me soufflera Chloro Phil). Un début de soirée très classe ! (set list par ici)
Puis viendra le tour d'un des groupes que je voulais revoir : 69 composé de Virginie et Armand de Sloy (LE groupe à cause de qui j'ai vu, photographié et chroniqué plus de 3500 groupes au cours des 15 dernières années). Ce sont donc eux qui vont ouvrir la soirée sur la grande scène, toujours accompagnés de Stéphane (de Corléone et Dionysos) aux claviers, ce qui permet à Armand de se concentrer sur son chant ...
Pas evident de jour mais le public accroche. Me sentant assez lié à ce groupe et à ses membres je me rend compte que je prends les choses assez personnellement. En fait je suis toujours un peu angoissé en me demandant si les gens autour de moi accrochent. Ce qui explique mon regard inquiet mes grimaces au premier rang (merci Arte)
En effet contrairement à Sloy où l'énergie étant immédiate ici la musique est plus ambiante (absence de Cyril à la batterie) et la tension monte progressivement à l'image de la façon dont Armand maltraite son pied de micro, ou ses deux micros. Si le début du set était surtout composé de morceaux de Adulte progressivement les morceaux de Novo Rock sont incorporés à la setlist. Plus dansants ils permettent au public de se mettre en mouvement.
Ca me détend ... En regardant autour de moi outre le photographe qui a mis son t-shirt Electrelite (dernier album de Sloy) je vois Laurent Garnier en backstage fredonner "no people no people" ... Baxter Dury qui les prend en photo avec son téléphone depuis le public, Richard Bellia arrivé sur le dernier morceau se précipiter contre les barrière, pour se dépêcher de mettre une pellicule neuve et faire un ou deux clichés ... Lorsqu'ils quittent la scène il fait encore jour.
C'est le moment où Svet décide de rentrer. Vu l'excitation / fatigue de Cyril et Lucie aujourd'hui Svet préfère rentrer maintenant ; ça augmentera les chances qu'on reste tous les 4 jusqu'au bout le lendemain. Je les accompagne jusqu'à la voiture et lorsque je suis en train de remonter Tristesse Contemporaine attaque. Il fait toujours jour. Ne les connaissant pas du tout j'ai forcement été surpris en les découvrant.
Un chanteur masqué (pendant tout le concert), une clavier asiatique déguisée en indienne, un guitariste chevelu et un batteur qui grimace (ça par contre c'est assez courant). Avec leur nom je pensais qu'il s'agissait d'un groupe française genre La terre tremble et en fait il s'agit d'un groupe certes basé à Paris mais relativement international puisque celui qui se cache derrière le masque (de parait il lapin) est anglais (Mau), le guitariste est suédois (Leo Hellden) et la clavier japonaise (Narumi Hérisson).
Leur musique m'a globalement plu avec ses longs morceaux avec parties instrumentales parfois très longues et ses paroles rappées minimalistes (j'ai eu l'impression que c'était souvent une phrase ou série de mot comme "just killing time" déclamés / répétés en boucle. Beat de batterie très présent pour une musique assez dansante, comme celle de Pulp (à qui ils m'ont fait pensé par certains côtés) peut l'être. J'ai aussi pensé à Fatboy Slim ou à Neil Diamond (période Jonathan Livingston Goeland) dans certains de leurs sons. Si vous ne connaissez pas, là encore le mieux est sans doute d'aller visionner leur concert qui a été filmé et peut être regardé là
Puis viendra le tout de Balthazar, le groupe belge (pas le groupe quebecois croisé avec plaisir en 1999 et en 2000) visiblement très attendu, en tout cas par la gente féminine. Au début j'ai eu un peu peur à cause des looks beaux gosses, des choeurs un peu mélo et du manque de patate des morceaux mais assez vite j'ai changé d'avis.
En effet j'ai trouvé qu'ils avaient une bonne dynamique sur scène. Notamment dans leur port et mouvements de guitares. Les deux chanteurs (l'un en marcel et l'autre en chemise à carreaux) se complètent assez bien, mais du coup je ne sais plus à qui je dois attribuer les petits aire de Steve Shiffman ou de Leonard Cohen. La violoniste et le bassiste chantent aussi ce qui vient apporter encore un peu plus de richesse. Au final c'était peut être un peu trop pop anglaise pour moi mais quand même pas mal du tout. Le concert n'est pas encore disponible au moment où je tape cette chronique mais il devrait finir par l'être ici.
A la fin de leur set j'aurai la bonne idée de m'approcher de la scène côté droit où l'intermède était assuré par Charlie O. et son orgue ! Un medley de tout et n'importe quoi (le jeu pouvant être de s'amuser à reconnaitre) avec au passage une belle version de la Lutte Finale (que j'avoue avoir reconnu grâce au chant d'une des personnes qui dansaient juste à côté). Après avoir bataillé pour faire une photo pas trop floue je suis allé me re-caler au fond pour attendre Gramme
Alors eux c'est marrant parce que je les avais déjà vu aussi dans le cadre de Marsatac mais ils ne m'avaient pas plus marquer. Pour être honnête ce n'est que en les voyant que je me suis dit "aaaah c'est eux !" (je crois qu'inconsciemment je les confondais avec Gomm ). C'est d'autant plus surprenant étant donné les bêtes de scène qu'ils sont. Enfin, la chanteuse surtout. Dès le début elle se mettra a danser et ne s'arrêtera jamais. Un groove comme celui que pouvait avoir Catherine Ringer dans les Rita Mitsouko ou le chanteur de the Coup, un truc qui même quand il vire au quasi n'importe quoi est irrésistible et donne envie de danser. En tout cas ça ne l'empêche pas de chanter (faisant mentir ceux qui justifient le playback des chanteuses-danseuses à succès).
Musicalement c'était funk mais pas que, guitare clavier batterie et surtout basse très en avant (surement pour cela que j'ai pensé à Big Soul a un moment) voire 2 basses dont une vraiment très très puissante. A un moment elle fera monter une niçoise sur scène (je donne cette precision car elle avait l'air fier de cela en redescendant) qui assurera aussi pas mal en terme de danse (beaucoup aimé le moment où elle fait semblant de vouloir chanter devant le pied de micro vide).
Super ambiance sur scène et (donc) dans le public dont je m'échapperai vers minuit 20 alors que le groupe attaque un rappel bien mérité. C'est donc en partant que j'entends ce dernier morceau où j'ai trouvé qu'elle chantait comme Axelle de Ich Bin Dead. Encore un sans faute pour les programmateurs !
Plus de photos par Pirlouiiiit par ici
Bonus video :
et une petite de La Terre Tremble ici
et une petite de Married Monk ici
et une petite de Balthazar ici
et une petite de Charlie O. ici
et une petite de Tristesse Contemporaine ici
et une petite de Gramme ici
Critique écrite le 22 juin 2014 par Pirlouiiiit
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