Chronique de Concert
EUROCKEENNES 2012 - JOUR 2 : The Cure, Justice, Kavinsky, Miike Snow, Django Django, Electric Guest, Sallie Ford
SAMEDI 30 JUIN 2012
Temps : Beau et chaud en début de journée, tempête en soirée.
On a vu : Justice, Electric Guest et Sallie Ford au Bar du Boulot.
SALLIE FORD - Grande Scène - 16h45 : 6,5/10
Plutôt une bonne idée pour lancer la journée que de programmer Sallie Ford & The Sound Outside. La bande de Portland propose un folk rock tellurique, très vintage et surtout très américain, qui met bien en jambe pour attaquer le copieux programme qui nous attend. Hélas, sans la moindre interaction avec le public et sans jamais rien proposer de très emballant, le groupe n'offre guère mieux qu'un agréable moment de début d'après-midi, devant un public encore peu nombreux.
DJANGO DJANGO - La Plage - 18h15 : 6/10
Django Django, révélation électro-rock psychédélique de l'année, venue d'Ecosse et signée sur le label français Because Music, était une des découvertes les plus attendues du jour. Malheureusement, très mal mixés, avec une voix presque inaudible, le groupe et le concert semblent pédaler dans cette choucroute chère à l'Alsace voisine et le public a bien du mal à rentrer dedans. Avec le tube Default balancé en milieu de set dans une version complètement ratée, qui perd tout de la fiévreuse version studio, il reste peu de meubles à sauver du naufrage. On relève bien çà et là quelques bonnes idées, mais ce ne sont en fait que les restes de ce premier album brillant, passé à la moulinette d'une piètre prestation. Il faudra sans aucun doute suivre la bande d'Edimbourg ces prochaines années, mais aussi espérer qu'ils travaillent un peu le live.
ELECTRIC GUEST - La Plage - 20h00 : 6,5/10
Autres révélations de l'année : les Américains d'Electric Guest, produits par Danger Mouse (moitié de Gnarls Barkley, également producteur de U2, Gorillaz ou plus récemment Norah Jones) et auteurs du tube This Head I Hold. Pas dénuée d'un certain groove, la prestation du groupe est malheureusement un peu molle. Si le set alterne bien moments dansants et passages plus calmes, la bande a du mal à capter l'attention du public, avec lequel elle ne cherche d'ailleurs pas le contact. Bien en peine pour occuper la scène, ce qui montre qu'il ne suffit pas d'avoir un chanteur un peu charismatique pour être un bon groupe de live, Electric Guest ne passionne pas grand monde. Plus ça va et moins on échappe à l'ennui, et c'est plutôt embêtant pour un concert d'à peine quarante minutes.
Kavinsky
KAVINSKY - La Plage - 20h50 : 7/10
Une semaine après, rebelote ! Kavinsky, qu'on avait déjà pu voir à Solidays devant une foule bien trop compacte, a remis ça sur La Plage des Eurockéennes. Devant un public à nouveau trop nombreux au milieu duquel il est difficile de prendre du plaisir, entre les pogos et quelques crétins avinés s'amusant à jouer les béliers, le DJ français, porté à une célébrité mondiale pour sa participation à la B.O. du film "Drive", livre sensiblement le même set qu'une semaine plus tôt. Un set efficace dans sa première partie, mais qui souffre de quelques incohérences, et qu'on quitte assez rapidement pour rejoindre l'Esplanade Green Room où doit se produire Miike Snow, alors qu'un violent orage se rapproche inexorablement de la presqu'île du Malsaucy.
MIIKE SNOW - Esplanade Green Room - 21h30 : NN
En effet, l'orage, qui est plutôt une tempête, gronde à présent partout autour du site du festival et on sent bien que la programmation risque d'en prendre un coup. Alors que les rumeurs d'annulations enflent, le concert de Miike Snow ne commence effectivement pas à l'heure. On en profite pour se réfugier dans l'espace presse, mais l'orage finit par offrir un (court) répit aux festivaliers et l'on entend les premières notes retentir sur l'Esplanade Green Room. Le temps de rejoindre la scène, on arrive à temps pour vivre le plus beau moment de ce festival : un morceau et demi de Miike Snow, encerclé d'éclairs gigantesques qui balafrent de long en large un ciel pourpre et menaçant. Ce lightshow, le plus incroyable et le plus parfaitement approprié à la musique puissante et envoûtante du groupe suédois, est hélas trop dangereux pour poursuivre plus longtemps le concert, qui est brutalement interrompu. Mais aussi court qu'il fut, ce moment hors du temps restera comme le plus grandiose du weekend.
The Cure
THE CURE - Grande Scène - 22h30 : 9/10
Avec une heure de retard, due à cette tempête infernale qui a finalement accepté de céder sa place à la musique, la plus grosse tête d'affiche de ces Eurockéennes entre en scène, autour d'un Robert Smith intemporel, malgré les années qui passent. Intemporel, c'est aussi l'impression que nous donnent le groupe entier et sa performance : impressionnante de maîtrise, sans nul doute grâce à l'expérience que lui offre sa longévité, la mythique formation britannique peut se targuer d'une mise en scène extrêmement moderne. Avec des arrangements superbes, qui allient puissance et créativité, chaque morceau est une nouvelle étape d'un voyage sonore fascinant. Après déjà une heure de concert, la bande joue un Lullaby absolument magique (il faut tout de même préciser par souci d'objectivité que ce morceau figure en bonne place au panthéon personnel de l'auteur de ces lignes) et les superlatifs ne manquent pas pour décrire la prestation des Cure, auxquels on ne pourra que reprocher quelques longueurs, somme toute assez excusables au milieu d'un show de plus de deux heures et demie.
Il faut attendre le second rappel, après un premier entièrement instrumental, et plus de deux heures de concert, pour entendre résonner le tube Close To Me. Après avoir rapidement enchaîné sur un Friday I'm In Love très dansant, le groupe s'offre un final en apothéose sur son hymne absolu, Boys Don't Cry. Sans doute certains se seront ennuyé durant ce concert, il est évident qu'il faut se laisser emporter par la production sonore des Cure pour apprécier pleinement la prestation magistrale qu'ils ont offerte au Malsaucy, mais pour tous ceux qui se seront pris au jeu, ce concert restera comme le plus mémorable du festival.
The Cure
JUSTICE - Grande Scène - 01h45 : 7,5/10
C'est à presque 3h du matin que le duo français Justice entre enfin en scène. Xavier de Rosnay et Gaspard Augé étaient très attendus après une tournée "A Cross The Universe" absolument époustouflante, où malgré une mise en scène relativement sobre, ils ont mis une énorme claque aux foules du monde entier. Il en est même sorti un album live qui a réussi à conserver la puissance extraordinaire de leur set et qu'on ne se lasse toujours pas d'écouter. Après un second opus studio assez déroutant, où le groupe délaisse un peu ses machines de guerre pour se tourner vers un rock psyché plutôt bien senti, on était curieux et impatient de voir ce que pourrait donner ce nouveau live. Ce qu'on remarque en premier, c'est que la scénographie semble avoir très peu changé : entre deux murs d'amplis, on retrouve toujours la même console, percée de l'emblématique croix blanche, et seulement animée de quelques diodes lumineuses supplémentaires. Seul un pharaonique écran de LEDs en fond de scène semble constituer une vraie nouveauté. Et pourtant, on s'aperçoit rapidement que c'est à une véritable débauche de moyens visuels que le duo s'est livré : outre cette tenture géante de LEDs, d'ailleurs pas tellement exploitée, on remarque que les amplis sont en fait des écrans, qui changent de couleur et s'animent, que la console s'ouvre en deux pour laisser apparaître un petit piano et que des tubes transparents apparaissent sur les côtés et au fond de la structure pour former une sorte d'orgue géant, avant de s'animer de différents éclairages. Et il faut bien le dire, le show visuel, sans arriver à la cheville de celui proposé ici même il y a déjà six ans par leurs aînés de Daft Punk, est tout de même très impressionnant.
Justice
Le problème, c'est que sans lui, il ne reste pas grand-chose à sauver d'un set très bizarrement construit, beaucoup moins cohérent que celui de "A Cross The Universe", et hormis quelques traits de génie comme la transition entre New Lands et Stress, tout est raté. Les anciens et les nouveaux titres sont très mal enchaînés et ne se marient pas bien du tout, les transitions entre les morceaux sont poussives, réutilisant les mêmes ressorts à plusieurs reprises, et les morceaux en question se retrouvent pour la plupart mis en pièces. Dans une mise en scène plus prétentieuse qu'efficace, on n'échappe même pas à quelques moments à la limite du grotesque, comme cet interminable "freezing" où les deux musiciens, alors face à face de chaque côté de la console, se sont mystérieusement figé pendant une bonne minute, son coupé, perdant finalement un public lassé de crier pour faire repartir le concert. Tout ça en guise de préambule (pénible) à un moignon de We Are Your Friends, coupé bien trop vite pour faire vibrer qui que ce soit. On n'a pas non-plus compris l'intérêt d'ouvrir et de fermer au moins deux ou trois fois la console, comme si l'on n'avait pas bien compris qu'elle pouvait désormais coulisser. Et ce ne sont là que les exemples les plus marquants d'une succession d'aberrations.
Justice
Le bilan est donc sévère et ne laisse que deux possibilités : soit le duo a mis toute son énergie et tout son temps à travailler la mise en scène (dont il faut bien dire qu'elle en jette et qu'elle sauve à elle seule le concert), oubliant complètement de travailler son set, et cédant à la facilité d'en rajouter des tonnes sur ces effets de manche dont il est très (trop) fier ; soit la mégalomanie a fait sombrer Justice dans la paresse et la désinvolture, leur faisant oublier que leur premier métier est et doit rester de faire de la bonne musique. D'une mollesse affligeante, drapé de morgue dans cette mise en scène outrageusement prétentieuse, il semble bien que le duo ait cru que le talent indéniable qui est le sien lui permettrait de se faire éternellement acclamer de tous les publics, sans plus d'efforts. Mais les gens n'apprécient guère qu'on se moque d'eux et l'auront d'ailleurs fait savoir au groupe en le laissant finir son set bien esseulé devant une foule largement dispersée. Si la note reste très correcte, c'est clairement pour les quelques traits de génie qui subsistent et qui ne rendent le naufrage que plus amer encore, car quand on sait tout le talent de ces deux artistes, on ne peut que regretter infiniment cette prestation si indigente.
Justice
BILAN DU JOUR 2 :
Assez bon bilan final pour une journée toute en contraste : plutôt que les déceptions Django Django, Electric Guest et surtout Justice, on préfèrera retenir la prestation magistrale de The Cure et cinq minutes inoubliables du concert tronqué de Miike Snow, au milieu d'une tempête dantesque qui aura sérieusement perturbé le programme de la soirée et de la nuit.
A LIRE EGALEMENT :
La chronique du Jour 1 : Hubert-Félix Thiéfaine, C2C, Michael Kiwanuka
La chronique du Jour 3 : Jack White, Cypress Hill, Lana Del Rey, Dope D.O.D
Critique écrite le 16 juillet 2012 par Fredc
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