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Chronique de concert The Stranglers + Kim Novak
Dimanche 22 décembre 2024 : 6841 concerts, 27254 chroniques de concert, 5420 critiques d'album.
Chronique de Concert
The Stranglers + Kim Novak
Je suis encore un peu abasourdie...
1) par un concert mené très (trop ?) rondement en 1h30 chrono...
2) par une set list très classique mais quasi-parfaite (encore que j'attendais Midnight Summer Dream, mais on a eu droit à Skin Deep...).
J'ai apprécié le "sandwichage" des tubes planétaires, au milieu des tubes de l'époque punk.
3)un groupe très stressé au départ (notamment JJ Burnel), mais l'ambiance est rapidement montée et on les a sentis se décontracter au fur et à mesure.
4) le son n'était pas si mauvais, du moins d'où nous étions placés (au balcon). La basse de Burnel était parfaitement claire, les claviers de Greenfield un peu moins.
Pour ceux qui étaient dans la fosse à l'Olympia, cela devait être une autre histoire...
5) Un grand regret : les versions beaucoup trop rapides de "The Raven" et "Duchess". C'est quand même dommage de gâcher de tels titres à toute vitesse, tandis que d'autres chansons ont mieux supporté ce traitement énergique.
6) Je ne les avais pas vus en concert depuis le début des années 90 (en fait juste après le départ de Hugh Cornwell). C'était donc des retrouvailles en quelque sorte, mais j'ai bien aimé.
J'y ai même traîné mon pauvre cher et tendre qui ne connaissait pas du tout, et il a bien aimé !
7) Le public de l'Olympia était majoritairement composé de quarantenaires/cinquantenaires. Y'avait beaucoup de cheveux gris ou blancs (LOL), mais c'était amusant d'en voir certains pogoter dans les premiers rangs comme lors de leur jeunesse.
1) par un concert mené très (trop ?) rondement en 1h30 chrono...
2) par une set list très classique mais quasi-parfaite (encore que j'attendais Midnight Summer Dream, mais on a eu droit à Skin Deep...).
J'ai apprécié le "sandwichage" des tubes planétaires, au milieu des tubes de l'époque punk.
3)un groupe très stressé au départ (notamment JJ Burnel), mais l'ambiance est rapidement montée et on les a sentis se décontracter au fur et à mesure.
4) le son n'était pas si mauvais, du moins d'où nous étions placés (au balcon). La basse de Burnel était parfaitement claire, les claviers de Greenfield un peu moins.
Pour ceux qui étaient dans la fosse à l'Olympia, cela devait être une autre histoire...
5) Un grand regret : les versions beaucoup trop rapides de "The Raven" et "Duchess". C'est quand même dommage de gâcher de tels titres à toute vitesse, tandis que d'autres chansons ont mieux supporté ce traitement énergique.
6) Je ne les avais pas vus en concert depuis le début des années 90 (en fait juste après le départ de Hugh Cornwell). C'était donc des retrouvailles en quelque sorte, mais j'ai bien aimé.
J'y ai même traîné mon pauvre cher et tendre qui ne connaissait pas du tout, et il a bien aimé !
7) Le public de l'Olympia était majoritairement composé de quarantenaires/cinquantenaires. Y'avait beaucoup de cheveux gris ou blancs (LOL), mais c'était amusant d'en voir certains pogoter dans les premiers rangs comme lors de leur jeunesse.
Critique écrite le 06 février 2009 par Joelle
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