Accueil Chronique de concert The Stranglers + the H.O.S.T.
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Chronique de Concert

The Stranglers + the H.O.S.T.

The Stranglers + the H.O.S.T. en concert

Le Mas Des Escaravatiers / Puget Sur Argens 11 juillet 2018

Critique écrite le par

Docteur Martens et Mr. Black


L'avant-match (et en VO, aussi...) via le Facebook officiel du groupe (https://www.thestranglers.net/).
"Important notice: Due to the France v Belgium World Cup football game on 10th July, the promoter has requested that The Stranglers stage time at Les Mas Des Escravatiers in Puget-s-Argen is delayed. The band will now appear onstage at 2330. Apologies for the inconvenience caused but this is totally out of the hands of the band. Allez les Bleus!".
"Note Importante : En raison du match de Coupe du Monde France-Belgique, de ce mardi 10 Juillet, la production a demandé à ce que l'apparition sur scène des Stranglers au Mas des Escaravatiers de Puget-sur-Argens, soit retardée. Le groupe sera désormais sur scène à 23 h 30. Désolé pour les inconvénients provoqués, mais ceci n'est pas du fait du groupe. Allez les Bleus !".


Il aura donc fallu la quasi totalité du passage de The Host (trio de power-barbe(s) Marseillais) afin de pouvoir évacuer l'énorme tension née de la demi-finale France-Belgique, dont le coup de sifflet final aura tout juste été sifflé, quelques secondes, à peine, avant le début de leur set ; de quoi lancer ENFIN, à 22 heures et des crampons vissés profonds !!! Les agapes musicales : hors ÉCRAN GÉANT INSTALLÉ SUR LE CÔTÉ DE LA SCÈNE AVEC TOUT LE MONDE MASSÉ DEVANT ET COMMENTAIRES DIFFUSÉS À DONF SUR LA SONO...
D'où cette sensation bizarre - née de cette étrange situation ? - de quelque chose qui peine à prendre ou bien à s'installer entre les musiciens et le public, sans pour autant que leur investissement initial, ne soit foncièrement (re)mis en cause...


Après tout, puisque cette belle soirée, donnée dans un cadre enchanteur - sous les arbres, au milieu des vignes et sous les étoiles - aura été prise en otage par la Coupe du Monde de Foot en Russie (l'autre pays des droits de l'homme et de la démocratie) autant continuer à tout conter dans cette veine, en usant des us et coutumes ET poncifs, du genre...


Le Fameux Moment Des Hymnes...
Ça paraît bête à dire, là, comme ça, mais il y en a tellement, tellement, TELLEMENT, trop, même (trop !) qu'il nous semble quasiment impossible d'arriver à faire un choix ; sur quelle base se décider afin d'arriver à extraire un morceau précis, ou bien pourquoi en privilégier un autre ? Tant leur carrière fût riche et dense, à ce niveau. Délicat. In fine, nous nous bornerons donc à sélectionner puis chanter Always The Sun, à gorge déployée, main sur le cœur et tête dans les étoiles. En France, les journalistes musicaux de l'époque avaient plutôt boudé cette "mélodie trop facile, manifestement taillée pour les radios ; cette bluette pop un rien trop mainstream pour être honnête ou coller avec l'image séminale du groupe..." (sic !). Déjà, "l'image du groupe", ça m'fait plutôt marrer, vu que chaque album issu des neurones noirs de ces angliches inventifs aura défriché de nouveaux espaces et sonorités ou continué à creuser dans le sillon précédent tout en ne cessant d'y ajouter à chaque fois suffisamment de nouveauté pour ne pas avoir à se répéter ; en sus de cette dose de, "je ne sais quoi", qui fait qu'on les reconnaît immédiatement, même en passant de Peaches (Rattus Norvegicus/1977), à Don't Bring Harry (The Raven/1979), de Four Horsemen (The Gospel According To The Men In Black/1981), à La Folie (La Folie/1981), de Midnight Summer Dream (Feline/1983), à Always The Sun (Dreamtime/1986), ou de Unbroken (Suite XVI/2006), à l'inédit Water : tout premier extrait Live, d'un nouvel album annoncé pour l'année prochaine. LA marque des grands groupes, assurément. Quand au côté "bluette pop, taillée pour les radios", il aura suffi de se prendre la version de ce soir en pleine tronche - dense, hargneuse, envoyée MAIS travaillée - pour comprendre que c'est tout bonnement une GRANDE CHANSON et qu'on se fout de leur avis aigri bâti sous attitude, comme de savoir si la chevelure de Trump "D" est "réelle ou postiche" ; tout simplement hors propos, tant le danger se situe bel et bien, ailleurs...


Prendre Un Match Après l'Autre...
Cette fameuse scie à ennui, qui fait de chaque interview de footballeur, une épreuve de plus (pour nous ET pour eux) peut tout à fait s'appliquer aux musiciens, yep. Lors, ceux-ci auront beau avoir "pris une chanson après l'autre" - selon un modus operandi précis, écrit, préétabli, ou bien tout en laissant une plus large part à l'improvisation, c'est généralement l'usage - l'on aura parfois eu l'impression que l'ensemble n'aura fait qu'un, tant les interprétations furent tendues, sans compromission et/ou sur le fil du rasoir (la suite, là, juste après, ci-dessous).


LE Plan De Match...
Côté droit de la scène, Jean-Jacques Burnel (voix et basse). À l'opposé, Baz Warne (voix et guitare) ; chacun d'eux soutenu, à quelques décimètres, derrière, par l'autre moitié du quatuor : l'antique Dave Greenfield (claviers et voix) et le successeur désigné du grandissime Jet Black (batteur initial, aujourd'hui "retraité", niveau scène) : James Macauley. Sans pour autant qu'une différence quelconque n'émarge de ces apparentes disparités (en termes d'années terrestres ou bien en termes d'appartenance au sein du groupe) tellement l'ensemble fonctionne comme un immense bloc noir, un monolithe sans accrocs aucun ni traces de fissures, sans concessions ni baisses de régime : plus particulièrement, encore, durant Peaches, Nice ‘N Sleazy, Tank, ou bien Hangin'Around (icelle toujours nantie de cette familière intro "guitare qui racle versus orgue qui nappe", qui soulève, déménage, puis transcende). On a beau souvent parler de "hargne", "vitalité" ou "fougue de la jeunesse", lorsque l'on travaille assidûment son instrument durant des décennies (débuts du groupe en la lointaine 1974) et que l'on se maintient en forme ET en bon ordre de marche, l'on peut se permettre de bâtir puis envoyer un véritable MUR DU SON, sans pour autant jamais cesser de se la jouer à la coule ou bien déconner sans retenue... l'expérience ?
À l'instar de cette MONSTRUEUSE version de Walk On By (œuvre du grandissime Burt Bacharach) qui ne cesse de monter et monter, et monter ET monter encore, tandis que notes de clavier et guitare entrelacées, ou en alternance, emplissent le ciel étoilé et élargissent d'autant les sourires des présents à jamais sous emprise. Im-pre-ssio-nnnnant !


Bloc Offensif Ou Défensif ?
Une fois passée l'inoxydable Waltzinblack, jouée en mode intro, la grosse caisse envoie illico la sauce, bien soutenue par un duo "guitare/claviers" déjà en place, avant que LE son de basse de maître Jean-Jacques ne s'en vienne faire exploser le tout à l'aide d'un 5 Minutes, d'une rare intensité ; preuve supplémentaire, s'il s'avère nécessaire d'en exiger une, que, depuis qu'il est de nouveau passé en mode quatuor (2006) l'ensemble a pour beaucoup retrouvé sa "Peach", son envie et sa hargne originelle... Un brûlot rock suivi, sans temps mort, du toujours très festif Get A Grip (On Yourself) qui voit un partage des tâches quasi parfait, respecté, niveau voix, entre Baz Warnes et JJB...


La Technique Ou Le Physique ?
"S'il existe un autre chemin, dis-moi-le maintenant...". L'une des qualités du groupe, aura toujours été, depuis le tout début des années 80, de pouvoir passer, sans forcer, d'un moment de quasi fusion (de l'acier lourd, pas pesant, non, lourd, juste !) à un moment plus délicat : sans pour autant jamais que la tension ne retombe. Aussi, lorsqu'ils passent aisément de Get A Grip (On Yourself) à Relentless, la mollesse ne s'invite à aucun moment à la fête. Pas de mi-temps, chez The Stranglers, non, des mid-tempo. De tous temps, les mélodies auront été (omni)présentes au sein de leur atelier créatif. Lors, si l'on aura toujours aimé louer leur attitude, vanter leur agressivité naturelle ou leur terreau "dit" Punk (le physique) surtout au niveau des "critiques" et fans de la première heure, le groupe n'aura eu de cesse que de créer des petits bijoux mélodieux et travaillés (la technique) : Outside Tokyo, Don't Bring Harry, Golden Brown, Strange Little Girl, The European Female, Midnight Summer Dream, Souls ou North Winds, Too Precious, Never To Look Back... Jusqu'à ce magnifique Relentless, donc, joué ce soir en mode quasi parfait : né d'un très bel équilibre, balançant "facile", entre une mélodie imparable et une rythmique dense, soutenue par les blanches et noires de l'inoxydable Greenfield Dave. Un choix étrange, à y regarder de plus près, puisque l'album dont il est extrait (qu'il clôt, même) se démarque surtout par son extraordinaire enchaînement initial (Unbroken-Spectre Of Love-She's Slipping Away-Summat Outanowt) et une capacité à ne jamais laisser retomber la pression tout du long qui fait que l'on aurait plutôt imaginé un de ces morceaux pour mieux le représenter ou coller à son univers propre. De la belle ouvrage, que cette version Live, quoi qu'il en soit.


L'Arbitrage Vidéo ?
L'image qui reste et tourne en boucle : celle du ralenti du Roadie qui regarde, sans bouger, à droite, à gauche, derrière, au-dessus et dessous (partout ailleurs, donc) tandis qu'à quelques centimètres, DEVANT, le fil de la guitare de Baz reste bêtement bloqué à la base d'un ampli au moment CRUCIAL de la seconde phrase de Midnight Summer Dream ("I Dreamt About An Old Man/Sat And Watched The Rain All Night") alors que son intro au clavier aura été putain de bien travaillée/chiadée en amont (de quoi passer en mode coït interrompu, en gros). "Midnight", LE morceau qui avait alors fait une nouvelle fois passer le groupe, vidéo aidant, dans une tout autre dimension, musicale et visuelle à la fois. Un album étrange, que ce Feline (1983) né d'une improbable balance entre technologie digitale de l'époque (niveau percus, programmation et claviers) et une suite d'interventions "hispanisantes" envoûtantes, jouées sur guitare sèche omniprésente, sans pour autant que l'ensemble ne sonne en rien daté aujourd'hui, pas le moins du monde : pas mince, niveau exploit, quand on repense à nombre des diverses productions des années 80, bousillées de technologie à tout crin... Vrai ?
Il sera fait une seconde fois appel à l'assistance technique, durant le fameux solo du mythique Golden Brown (morceau phare d'un album pour le moins étrange et novateur : La Folie !). Une panne entrainant un changement de boitier, en mesure, digne d'un grand prix de F1 (ce truc toujours plus bruyant et polluant, plus que honteux et laidement anachronique, vu l'état actuel de notre planète plus très bleue...) tandis que le placide Dave Greenfield duplique de la note à foison sur claviers en attendant : ceci afin que de remplir au mieux cette plus qu'étrange version définitivement à classer au niveau de la plus longue de son genre. Le caractéristique, mais court, solo, qui aura suivi, aura recueilli une énorme salve d'applaudissements, un rien disproportionnée, rapport à son exigence réelle (bien plus mélodieux que technique). Une performance "mineure", fort loin des standards du genre autrefois définis par les nombreux solistes de légende spécialisés dans le triturage de manche et les trillions de notes à la seconde, mais bon, quelle importance, tant que le plaisir jaillit...


Les "Déclas"...
"Bienvenue à ce site magique. Seulement les Français peuvent mélanger comme ça, le vin, les vignes et la bonne bouffe ! Ce soir, vous avez de bonnes, gueules, mais, demain soir, cela pourrait bien être, England versus France (rictus d'autosatisfaction et morgue au diapason en toisant le public). Il fait chaud, nous portons du noir, des Docteur Martens, et nous allons continuer...". (JJ Burnel : Suite à Relentless).


"Juste pour prouver que nous sommes live, vraiment en direct...". (JJ Burnel : après la disparition du signal de la guitare de Baz, durant Golden Brown).

"Il paraît que le Var est la capitale du rosé... enfin, les Anglais le pensent, eux... J'ai vu mes collègues Anglais se faire massacrer par le rosé, littéralement !" (JJ Burnel : juste après Always The Sun).


Des Remplacements Judicieux ?
Après l'épisode mené en mode quintet aux côtés de Paul Roberts (chant : 1991-2006) et John Ellis (guitare : 1990-2000) - une formule pas toujours efficace qui aura plutôt fonctionné cahin-caha, avec des "hauts" (quelques) et des "bas" (nettement plus) - il semblerait que la rentrée en "jeu" de Baz Warnes en 2000 (à la guitare jusqu'en 2006, au chant ET à la guitare, depuis, ainsi qu'à l'écriture) aura changé la donne "noire" et revivifié l'ensemble. Cet ancien musicien du groupe Punk The Toy Dolls, aura tout de même accompli un réel tour de force, celui d'arriver à faire (plutôt bien) oublier l'immense et originel Hugh Cornwell : chanteur à la voix caractéristique et au phrasé de guitare judicieux parti vivre sa vie à l'orée de la sortie de Ten (1990). D'abord comme "prisonnier" du rôle à tenir, le gars Baz semble se démarquer désormais (tout en respectant l'immense héritage laissé à disposition) et ne cesser de s'affirmer scéniquement à chaque nouvelle tournée. De la belle ouvrage, d'autant que c'était pas "gagné", non, non, pas gagné, à la base.


Un satisfecit à adresser également - dans une tout autre mesure - à James Macaulay, littéralement "biberonné" aux baguettes de MONSIEUR JET BLACK : batteur charismatique et inventif du gang de Guilford. Celui-ci n'étant plus en mesure - en raison de son grand âge et de certains "débordements" menés à donf en mode Rock, des années durant - c'est le "Mac" qui s'y colle et qui assure aujourd'hui ses parties sur scène (après de très nombreux remplacements effectués de passé au gré des divers "états de forme" du taulier) ; là encore, tout en collant au plus (plus) près des parties créées en amont, il semble néanmoins arriver à se "libérer" un tantinet pour apporter SA pierre rythmique, à l'ensemble.
Deux changements réussis. Rien à redire.


Le Coup de Sifflet Final
Une accélération (encore une !) fait soudain se soulever puis sauter l'ensemble du public, qui répond et chante sans retenue sur l'emballant All Day And All Of The Night (The Kinks, sous la plume de Ray Davies) avant que la basse ne tricote l'inclassable intro de No More Heroes : une chanson "phare", que le groupe n'aura jamais cessé de défendre sur le "terrain" avec envie depuis 1977 la lointaine, en y injectant à chaque fois (des milliers de fois) LES divers ingrédients nécessaires à toute grande performance Live : l'envie, la pugnacité, l'engagement, l'organisation, la maîtrise, la volonté de tout emporter et tout donner, à chaque... performance !

Carton Jaune
Le gros morceau de scotch noir qui barre deux ou trois morceaux initialement prévus sur la setlist posée sur scène, en raison du fameux/footeux "décalage" horaire.

Carton Rouge
Le rapide conciliabule, suite à l'arrivée du régisseur, mené sur le côté de la scène, niveau retour son, avant que le groupe ne soit finalement et rapidement "évacué" sous torches lumineuses jusqu'à leurs loges... en "oubliant" les rappels !!!


La Prolongation ?
Une intro travaillée de concentration ; une guitare qui tricote d'envie en contrepoint de l'inévitable basse ; les claviers qui s'invitent d'autorité à la table ; l'ensemble, quant à lui, pulsé/porté par une rythmique au cordeau qui sait se faire sèche, caressante ou précise, en collant au mieux à ses diverses accélérations/évolutions. Un premier morceau (alléchant) donc, nommé Water, extrait d'un prochain album, encore à venir, soit, mais déjà tentant en diable. Et ce, d'autant que l'année 2019 sera également accompagnée de la sortie d'un documentaire revenant sur la longue et belle carrière de ce groupe dé-fi-ni-ti-ve-ment HORS-NORMES (œuvre de David Boni : première à Brixton, le 12 Avril prochain !).

"The Only Time, I Feel Alright, Is By Your Men In Black Side !", pourquoi nier l'évidence...


Setlist :
Waltzinblack
5 Minutes
Get A Grip (On Yourself)
Relentless
Nice ‘N Sleazy
Water
(Don't Bring) Harry
Midnight Summer Dream
Golden Brown
Always The Sun
Peaches
Walk On By
Hanging Around
All Day And All Of The Night
Tank
No More Heroes




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