Chronique de Concert
TM Sevens
Est-il une loi immuable qui définit les concerts évènementiels comme voués à l'intimité ? Rappellons-nous de George Clinton au Moulin en 92, de Living Colour au Château de l'Empieri en 96, de Jungle Funk au café de l'Usine en 2000, tous marqués par leur fréquentation pour le moins...intime !!! Et voilà : bing ! Rebelotte ! Combien étions nous, petits blancs émerveillés, face au géant black de la quatre cordes heavy ? 100 ?
Après tout, qu'importe, ce qui caractérise les plus grands, c'est bien de donner autant à 12 qu'à 20.000, et ce soir, au Poste, chacun en a eu pour son argent (20 euros tout de même...eum eum...): qui du funk, qui du reggae, qui de l'afro, qui de la fusion, qui du métal, qui du rock, qui du jazz, qui du demo-slap, bref, y aurait-il, de toutes façons, quelque chose que ce trio d'extra-terrestres ne saurait faire groover ???
Bon, il fallait, condition sine qua non pour rester dans l'enceinte brûlante du Poste, être muni d'une sérieuse paire de bouchons : ces gars-là vous arracheraient une oreille sans autre forme de procès, et ce, dès le premier accord (Smoke on the Water, d'ailleurs...): avec des murs de double-corps dressés aussi bien d'un côté que de l'autre, il y avait là de quoi rendre sourd le quartier tout entier ! Cela n'effraie pas pour autant le batteur de ce trio infernal (Ah, le trio !...), mythique, tout droit sorti d'un film de Tarantino, qui martèle les fûts avec une puissance si jouissive qu'il arrive finalement mieux que le guitariste à émerger du double mur de basses protéïforme que ne cesse de cimenter le très Clintonien TM, définitivement grand : grand quand il joue, grand quand il chante, grand quand il danse, grand enfin quand il remercie avec une sincérité que l'on sent non-feinte le "club" des 100 afficionados que nous sommes, d'être venus pour lui !!! Mais nous vous en prions, Mister TM, ce fût un plaisir sans nom que de vous applaudir, que dis-je, un plaisir, un privilège !!!
Critique écrite le 28 avril 2004 par Kouros
Tm Stevens : les dernières chroniques concerts
Headhunters + TM Stevens par Camelito
CEDAC de Cimiez NICE, le 12/03/2007
Une bonne claque dans ma tête de (tout petit) bassiste...
Alors, pour résumer, les Headhunters se forment en 1973 avec Herbie Hancock dans sa période "funky" et TM Stevens est un monstre sacré de la basse (plutôt, voire carrément funky lui aussi). La rencontre de ces grands noms de la musique laissait présager du meilleur.
Pour commencer :... La suite
Tm Stevens par angus mack fly
Poste à Galène - Marseille, le 27/04/2004
monstrueux,magnifique, inoubliable enfin bref le must le top pour tous les gouts tous les styles mais magistral a ce point c'est trop rare donc Bravo Mister stevens ainsi que ces 2 compères un gratteux a la linving color et un batteur a la huggy les bons tuyaux dans l apparence mais attention quand il démarre on reste collé.
100 voir 150... La suite
Poste à Galène - Marseille : les dernières chroniques concerts
Feldup par Pirlouiiiit
Makeda, Marseille, le 27/09/2024
Ce soir j'étais invité chez des potes qui habitent juste derrière le Poste à Galène. Ça tombait bien car j'avais justement envie de découvrir ce Feldup présenté comme un youtubeur... La suite
The House Of Love par G Borgogno
Le Makeda, Marseille, le 23/09/2024
LA MAISON DE L'AMOUR.Où étiez vous le 13 février 1993 ? Personnellement nous étions au Théâtre du Moulin pour le premier concert marseillais de Guy Chadwick et les siens. House Of... La suite
The Echo Festival : Mary Lattimore, Tropical Fuck Storm, HTRK, Slow Pulp, Astrel K par Sami
Theatre de l'oeuvre, Makeda, Marseille, le 31/05/2024
Un nouveau festival à Marseille avec du rock indé dedans, en voilà une bonne nouvelle après des années de vaches maigresDepuis l'arrêt du regretté B-Side, les formations... La suite
Howlin Jaws (+ Pleasures) par Philippe
Le Makeda, Marseille, le 30/05/2024
Le Makeda, long time no see ! Depuis qu'il n'est plus le Poste à Galène, avouons qu'on ne vient plus beaucoup dans ce joli club où on a pourtant vu tant de belles choses. Leur... La suite