Accueil Chronique de concert U2 + Noel Gallagher (The Joshua Tree Tour 2017)
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Chronique de Concert

U2 + Noel Gallagher (The Joshua Tree Tour 2017)

PARIS - Stade France 25 juillet 2017

Critique écrite le par

L' entrée en matière du groupe a été ratée du moins pour les pauvres fans de 3ème catégorie qui faute de vidéo n'ont distingué sur l'avancée de scène décalée que des silhouettes. Ce public a mis un temps certain pour comprendre que le concert avait débuté et ce n'est qu'une fois U2 replacé sur la scène centrale et filmé que la frustration s'est quelque peu dissipée. Fan du groupe, avant l'album "The Joshua Tree" datant de 1987 et le film "Rattle and hum" que j'ai vu au cinéma à sa sortie, je voulais voir le quatuor de ma jeunesse qui c'est un peu caché encore par intermittence derrière une symbolique.

Soit, BONO a à cœur de faire passer ces messages vertueux mais bon on voulait voir un groupe de rock plus à nu. Alors sans doute que la sensation forte était là sur la pelouse du stade de France - à bon entendeur : inutile de payer une fortune et d'accepter l'épreuve debout dans la fosse - mais on n'a pas tous vu le même concert et beaucoup sont un peu déçus même si certains ne se l'avouent pas...

 Critique écrite le 27 juillet 2017 par Lars Pascal

> Réponse le 29 juillet 2017, par Coco

Étant placée sur la pelouse à hauteur de l'énorme tente centrale, il nous était impossible de voir quoi que ce soit du début du concert ! Quelle frustration, d'autant que ce sont mes morceaux préférés et du coup j'ai eu beaucoup de mal à me mettre dans l'ambiance ! Je n'ai pas compris l'intérêt de cette mise en scène de la part de U2, surtout dans un endroit pareil ! Un manque de respect des spectateurs!  Réagir

> Réponse le 29 juillet 2017, par Albundy

[Saint Denis - 25 juillet 2017] Superbe concert de U2 vécu en fosse. Bon son au Stade de France, ce qui est rare, et très grosse ambiance dans le public dès les premières notes de "Sunday Bloody Sunday". Le groupe montre encore en 2017 sa puissance musicale et émotionnelle. Il démontre également avec les 4 premiers titres joués à nu qu'il n'a pas besoin de confettis, bracelets clignotants façon Coldplay pour retourner un stade de 80 000 personnes. Mes moments préférés : "Bad", "Where The Streets Have No Name", "Exit", "Elevation/Vertigo". Vivement la suite !  Réagir