Chronique de Concert
Underworld (Eurockéennes 2003)
Ayant déjà succombé à de nombreuses reprises sous les coups de boutoirs Metal Hip Hop de Stupeflip (qui joue en même temps), on se décide à faire un détour par le chapiteau où Underworld se produit. Quelle excellente idée ! Alors que les effets de la fatigue se succèdent, le duo électronique Underword est une véritable machine à danser même si l'état du danseur est préoccupant.
Derrière un poste de contrôle impressionnant, Rick Smith et Karl Hyde délivrent une musique très orientée dance floor. Presque sans le vouloir, les injonctions rythmiques provoquent un "électro choc" et entraînent des déhanchements à l'insu de son plein gré...
Sous un light show qui détruit consciencieusement la cervelle, Karl Hyde se saisit d'un micro et fait décoller encore un peu plus le chapiteau. Le chant et l'énergie déployée par cette pile électrique sur pieds contribuent à apporter une touche humaine à ce déluge de musique pilotée par ordinateur. Déjà au septième ciel sur les morceaux inconnus, le public rentre littéralement en transe sur les hits joués par Underworld : Born slippy provoque même une scène d'hystérie collective.
Comme les Chemical Brothers, Underworld est véritablement un groupe capable de propulser très loin et très haut une foule considérable...
(Photos live : Jean-Pascal Blache.)
Critique écrite le 14 juillet 2003 par Pierre Andrieu
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