Pour cette deuxième année, le Positiv Festival cherche à s'inscrire déjà comme un des "incontournables" des soirées marseillaises (au même titre que Marsatac, la Fiesta des Suds ou le nouveau Acontraluz) et même si les places risquent de devenir de plus en plus chers pour s'imposer parmi ces mastodontes diurnes, "Positiv Festival" à l'avantage d'ouvrir le bal à une date où ceux, frustrés, qui n'ont pu assumer les soirées branchées (et chères) du R2 sont demandeurs de soirées événements plus "abordables" et tout autant (voir plus !) attractifs. Beau pari donc, reste à concrétiser sur le papier et surtout s'éviter un beau gadin. La boite de prod' parigo-montpelliéraine, qui à bien compris qu'on attire pas les mouches avec du miel, nous a concocté un programme mélangeant références absolues et artistes émergeant, voir en ce qui me concerne inconnu. On arrive donc à 20h45, donc en plein set de Waze & Odyssey, pour un live électro tech très savoureux. Le duo anglais, très actif côté production ces dernières années et signé sur Tsuba, un des plus gros label du genre, enflamme le public présent avec un style sans fioriture mais réellement efficace. Un public en apparence moins nombreux que l'an dernier. Il faut dire que l'apparition de 3... Lire la suite

Proposer une affiche électronique en plein mois d'Août, c'est le pari à la fois audacieux mais risqué que propose le festival Positiv au Dock des Suds. Risqué mais réussi. Il faut dire aussi que si le mois d'aout est souvent un mois mort, la jeunesse marseillaise est forcément en demande de sortie. Et si j'utilise le mot jeunesse, c'est que la moyenne d'age devait dépasser à peine la vingtaine d'année. En phase avec, il faut le reconnaître aussi, l'age des artistes en présence. La soirée démarre pour nous avec Jabberwocky. Et si nous n'avons pas de photos, le concert arrivant à sa fin le temps d'obtenir nos accréditations photos qui ne viendront finalement que deux heures plus tard (mais pour nous c'est presque 50 minutes de perdues à attendre en vain à ce moment-là), nous avons eu le temps de profiter de loin des sons électro pop d'un live qui fut à mon avis un des moments les plus forts de la soirée. Et pas besoin d'attendre Photomaton pour comprendre que Jabberwocky est un vrai talent à suivre. Vivement un album... On s'installe donc pour le set de Cashmere Cat... Le Norvégien est un adepte des sets déroutants, pouvant proposer des sets très varié, allant de la house à l'électro-tech, . Mais Cashmere Catva proposer... Lire la suite