Musiques et chants du monde méditerranéen.
Passionnés par les rencontres et la richesse des Musiques du Monde, l'équipe, constituée de joyeux (ses), mais non moins sérieux (ses) bénévoles, se mobilise pendant toute l'année, pour faire vivre, durant la deuxième quinzaine de juillet, un site naturel que tous les musiciens décrivent comme un cadre Magique : le Théâtre de Verdure de Robion.
Depuis 13 ans, quelque 80 formations se sont déjà produites, entre cèdres et romarin, au pied de la falaise du petit Luberon. Loin du tumulte des grosses manifestations, le festival de Robion, se veut avant tout, être un lieu convivial où le public vient écouter, sous les étoiles du théâtre de verdure, des artistes de renom (Titi Robin, Angélique Ionatos, Tchavolo Schmitt, Dobet Gnahoré, Juan Carmona, Katia Guerrero, Louis Winsberg, Mamani Keita, Le Grand Orchestre de Nazareth , ...).
Les festivaliers viennent aussi découvrir en 1ère partie, des formations en devenir et bien entendu faire la fête, n'est ce pas la vocation première d'un festival ?
Source : Dossier de presse
Festival de Robion : vos critiques de concerts
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Festival de Robion : Sarah Blasko + Yasmina
Flap flap, je vais voir Sarah Blasko, flap flap. L'écrin est à la hauteur. C'est ici que surgit de terre le Luberon. Le Théâtre de Verdure de Robion est au pied-même de la falaise où naît ce massif cher à mon coeur qui s'efface à Apt avant de rejaillir vers l'est. Cette soirée va lui ressembler. Il inspire le premier groupe, auteur d'une première partie euphorisante. Ce quatuor originaire de Lyon emmené par Yasmina, frêle féline nus pieds, débute par une pièce chantée en anglais assez anidifrancoesque où contrebassiste et guitariste grattouillent leurs cordes en alternance en amont et en aval de l'accord. On sera par la suite davantage dans l'esprit de l'étiquette originelle de ce festival "Musique du Monde". Les pieds nus ont fait école sauf pour le contrebassiste, dissident, en tongues. Les mains sont nues la plupart du temps aussi pour le percussionniste plus attiré par son djembé que par ses caisses et cymbales. Moment chargé d'émotion lorsqu'elle nous raconte le parcours de ses parents, mère oranaise, père kabyle et leur voyage vers Lyon en intro d'un merveilleux Lâchez Les Lyons. Sept titres seulement mais sept très agréables voyages à travers la planète (sonorités africaines ou indiennes) ou dans le temps (2043).... Lire la suite