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Jeudi 21 novembre 2024 : 6751 concerts, 27229 chroniques de concert, 5420 critiques d'album.
Festival Transfer

Festival Transfer

23 au 25 septembre 2021
Lyon


Le Festival Transfer, le "festival des musiques indépendantes et intrépides", devait être de retour le 11 mars 2021 au Ninkasi Kafé / Gerland et les 12, 13 et 14 mars 2021 au Transbordeur (Villeurbanne/Lyon) avec une belle Prog : Fontaines D.C., Shame, The Wytches, Slift, WaqWaq Kingdom, Billy Nomates, Les Marquises etc... Festival reporté au week-end du 23 au 25 septembre 2021 !

Festival Transfer : vos critiques de concerts
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Festival Transfer : les dernières chroniques concerts 3 avis

Beak>, Toy, Ditz, Lice, Off Models, She Past Away, Drahla (Festival Transfer 2019)

Critique écrite le 18 mars 2019, par Dissy

Transbordeur - Villeurbanne 9 mars 2019

Beak>, Toy, Ditz, Lice, Off Models, She Past Away, Drahla (Festival Transfer 2019) en concert

Quoi de mieux qu'un festival de musique indé pour faire passer un week-end hivernal un peu trop maussade. Le Festival Transfer revient cette année pour une troisième édition, et y ajoute même une soirée supplémentaire au Transbordeur pour faire durer le plaisir. Off Models : De très belles promesses Un très bon premier album intitulé "Never Fallen In Love" sorti en janvier, et une occasion ratée de les voir à Clermont-Ferrand quelques jours avant, il n'en fallait pas plus pour attiser l'envie de découvrir les Valentinois sur scène. Emmené par l'énergique et sémillante chanteuse Anita, à la voix captivante avec cette touche sexy sans prétention rappelant par moment une tonalité à la Kim Deal, le groupe entame son set par le titre le plus entêtant de l'album, "Fast Life", qu'on fredonnait justement depuis 2 jours. Après cette très bonne mise en bouche, le quintet enchaîne avec tout un tas de titres jangle pop punk bien fichus, punchy et tout sourire, avec une énergie formidable. A suivre ! Ditz : La bonne surprise Pourquoi ? Parce que je m'étais bêtement trompée de groupe lors de la pré-écoute sur une célèbre plate-forme musicale de l'internet, qui m'avait suggéré un homonyme plus que douteux, provenant du New Jersey,... Lire la suite

Temples + Raoul Vignal + Pom Poko + Marble Arch + Lebanon Hanover (Festival Transfer 2019)

Critique écrite le 05 avril 2019, par Kx Santos

Transbordeur, Lyon 8 Mars 2019

Temples + Raoul Vignal + Pom Poko + Marble Arch + Lebanon Hanover (Festival Transfer 2019) en concert

Deuxième jour, ce vendredi 8 Mars, au Transbordeur, pour la troisième édition du Festival Transfer. La soirée démarre aux alentours de 20h et se poursuivra assez tardivement aux premières lueurs du samedi. Sans interruption aucune, les concerts s'enchaîneront entre le Transbordeur Club et la salle du Transbo. Raoul Vignal Raoul Vignal inaugure la soirée avec son groupe : 4 musiciens au total pour une guitare (Raoul Vignal), un vibraphone (Grégoire Colson), une contrebasse ( Jody Martin) et un batteur (Lucien Chatin). Le Lyonnais entraîne le public dans son univers subtil et chaleureux : une folk légère et reposante. On commence doucement à s'immerger dans les ondes de la soirée. Après "The Silver Veil", son premier album, enregistré en 2015 chez Klangbild, studio berlinois ou il réside quelque temps, il réalise son deuxième album, "Oak Leaf", produit au studio lyonnais Mikrokosm, qui sort chez Talitres en mai 2018. Si le public est encore peu nombreux, les spectateurs présents profitent des sonorités analgésiques qui se dégagent d'une guitare ondulante, d'un fragile timbre vocal lors d'un set empli d'harmonies doucereuses. Tout cela pour évacuer le stress de la semaine. En souplesse, donc, le signal est lancé. Pom... Lire la suite

Festival Transfer : Trisomie 21 + Le Villejuif Underground + HMLTD + Dollkraut

Critique écrite le 01 avril 2018, par Kx Santos

Transbordeur Club, Lyon 3 Mars 2018

Festival Transfer : Trisomie 21 + Le Villejuif Underground + HMLTD + Dollkraut en concert

En ce deuxième jour du Festival Transfer qui se tenait au Transbordeur, c'est dans l'Espace Club que se tint la scène. Après l'annulation de la Late Night, le public n'est pas aussi nombreux que la veille où tout se jouait dans la Grande Salle. Le Villejuif Underground La soirée démarre avec Le Villejuif Underground dans une atmosphère engageante, sans trop de monde tout de même mais pour les spectateurs qui sont là, c'est parfait. Le projet - signé chez Born Bad Records - est conduit par l'Australien Nathan Roche avec trois compères parisiens. L'indolence renvoyée par les cordes vocales de Mister Roche soulève le coeur de l'auditeur béat, qui se laisse joyeusement embarqué par ces mélodies faussement lymphatiques. En vérité, le rythme déconcerte par sa facilité. Le tempo est ample, la voix suave, ça séduit sur des vapeurs sixties. Et si on se laisse aller dans cette torpeur bien sympathique, les balades continues du chanteur entre la scène, la fosse et le bar nous maintiennent énergiques. Le set proposé par Le Villejuif Underground n'est pas surprenant, dans le sens où l'on est pas étonné par ce qui peut se passer dans la mélodie. Aucune trépidation de ce côté-là, le public est plutôt entraîné par la fluidité de leur cadence. Les 3... Lire la suite