Elliott Murphy & Olivier Durand
- Il y a quelques mois de cela, Elliott, tu as manifesté, via un texte posté sur ton site officiel (www.elliottmurphy.com) diverses questions, incompréhensions et interrogations, à propos de notre époque et de ses multiples "évolutions" ou changements ; te demandant même, si après toutes ces années, le monde avait "réellement besoin d'un nouvel album de Elliott Murphy". Entre cette légitime interrogation et ta réponse (ci-après) tu auras publié, rien moins qu'un nouvel album, nommé Prodigal Son, cet actuel album Live, The Second Act Of Elliott Murphy en DVD, des livres de poésie, trois rééditions en vinyle de certains de tes albums issus des années ‘80 et donné de nombreux shows en groupe ou en duo... Qu'est-ce qui aura bien pu entraîner ce manifeste et radical revirement, entre ce "post", un rien désabusé, et aujourd'hui...
EM : Je vis en permanence avec deux Elliott Murphy : il y a, tout d'abord, "celui" qui est plutôt passif, qui se demande en permanence ce qu'il se doit de faire dans l'avenir, s'interrogeant sur ce qu'il a produit dans le passé, et puis... il y a le "second" Elliott Murphy : celui qui continue à écrire des chansons, puis les enregistrer ; à publier des albums "Live"... écrire/raconter des histoires, et même, faire un film (j'en suis actuellement, à la moitié de celui-ci !). Il y a toujours une dose de peur nichée sous la mise en place d'un nouveau projet, et, pour moi, la meilleure façon de la dissiper est de se situer dans l'action. Tu le sais, quand je suis sur la route, je ne peux m'empêcher de penser que je devrais être à la maison, et, quand je suis à la maison, je pense que je devrais être sur la route...
Johnny Cash, a dit un jour, qu'un "songwriter" se devait d'écrire une nouvelle chanson chaque jour ; Ernest Hemingway a dit, lui, qu'un écrivain se devait d'écrire chaque matin. Eh bien... ces deux suggestions me semblent pertinentes.
- Quelles sont tes versions préférées, concernant ce tout nouvel album Live, enregistré en 2008 à Bruxelles...
EM : Je pense que ce Elliott Murphy Is Alive! est important, parce qu'il capte et retranscris parfaitement LE moment ou Olivier Durand et moi avons commencé à entrer en communion, au niveau de nos jeux de guitares respectifs, à les harmoniser parfaitement. La première fois que j'ai écouté cet enregistrement, j'ai tout de suite pensé que "rien n'y manquait !" : que, en tant que duo, nous étions devenus capables d'interpréter totalement ces chansons. Difficile pour moi, d'en extraire ma chanson favorite, mais la chanson qui débute le show, Crepuscule, aura toujours été spéciale à mes yeux : je me souviens exactement du moment où j'en ai écris les premiers mots, dans mon carnet de notes, tandis que nous traversions les champs de riz du nord de l'Italie. Je trouve également, très excitante, notre version du LA Woman des Doors, durant laquelle le public manifeste et nous suit tout du long...
- Quelles sont celles que tu aurais souhaité intégrer à cet album, mais qui auront été finalement rejetées au tout dernier moment en raison du format, limité à un seul CD, de cet album live, et... est-ce que tu as, à un moment, envisagé de sortir l'intégralité du show sur ton Murphyland de label ? Et, si, "oui", pourquoi ne l'as tu, finalement, pas fait...
EM : Je ne me souviens pas exactement de ce que nous avons dû rejeter, par rapport à ce que nous avons gardé. Mais ces décisions ont dû découler de la qualité d'enregistrement intrinsèque de chaque chanson. Même s'il s'agit d'un album "Live", il me semble que la façon dont les chansons s'enchaînent ici, est réellement importante. Cet ordre-là me paraît installer un certain climat. Peut-être bien qu'un jour, nous sortirons le reste des chansons sous un quelconque format, digital ou autre. Mais j'espère surtout que ce Elliott Murphy Is Alive! sera suivi de nombreux autres enregistrements "Live" - mon but est actuellement, si possible, d'en sortir un tous les six mois!
- Selon toi, qu'est-ce que ce show a d'unique, ou différent, comparé aux centaines d'autres donnés au fil des ans en duo avec Olivier Durand ?
EM : Avant tout, tu te dois de te souvenir que j'ai donné près de 3000 shows, au cours de ces quarante-cinq dernières années ! Pour être honnête, je ne me souviens pas de la plupart d'entre eux, mais de celui-ci plutôt bien ! Parce que, Olivier et moi y avions donné une "master class" sur l'écriture, à l'Ancienne Belgique, durant l'après-midi ; l'une des participantes était Selah Sue : une incroyable artiste Belge. Nous avons tout de suite vu qu'elle était "spéciale". Elle n'avait plus rien à apprendre de nous. Ce soir-là, donc, nous avons été réellement inspirés... (NDLR : un extrait de cette "rencontre de l'après-midi" est par ailleurs visible quelque part sur Youtube, si l'on cherche bien...).
- Durant certaines des versions, présentes sur cet album live - Razzmatazz, Green River, Ophelia, Diamonds By The Yards ou LA Woman - ce qui frappe, c'est cette extrême complicité, cette connection si particulière, qu'Olivier et toi semblez avoir toujours partagés sur scène : est-ce que cela a tout de suite été présent, dès le début de votre partenariat musical, ou bien est-ce que cela aura pris du temps à construire au cours des années, décennies, des... siècles ?
EM : Je ne peux situer exactement CE moment à partir duquel nous avons été totalement synchrones, avec Olivier : peut-être, l'avons-nous toujours étés. C'est plus une question de prendre le risque de créer ensemble les structures d'une rythmique compliquée, et... j'espère que cela ne finira pas par dérailler un jour. D'autant, que... Les musiciens Américains, comme moi, ont plutôt tendance à jouer "behind the beat" (en deçà du rythme), parce que c'est la façon dont le Blues se doit d'être joué, tandis que les musiciens Français, comme Olivier, eux, ont plutôt tendance à jouer "ahead of the beat" (au devant du rythme : plus vite que la musique, quoi, en somme...), parce que... et bien, je ne sais pas exactement pourquoi ils le font!
- Comment est-ce que tu regardes, a postériori, April, le précédent album issu de votre duo Live, enregistré puis publié en la lointaine 1999 ?
EM : April aura été mon premier album Live publié depuis la sortie du Live Hot Point, en 1989. Nous n'avions alors pas prévu d'enregistrer ce concert, mais l'ingénieur du son chargé de ce concert, donné dans l'Est de l'Allemagne, était vraiment très bon et a enregistré l'intégralité du show sans nous l'avoir demandé. Nous avons été littéralement stupéfaits, lorsque nous l'avons entendu par la suite. "April" aura été le moyen d'introduire le format "duo" aux fans, ainsi que, pour eux, d'avoir un souvenir des shows auxquels ils avaient assisté. Souvent, après les concerts, les gens viennent me voir et me demandent si nous avons un CD qui soit proche du concert auquel ils viennent tout juste d'assister. Je me souviens d'avoir "shooté" la photo de pochette d'April, derrière la Gare du Nord, à Paris ; nous avions alors une heure d'attente entre deux trains et le photographe Vincent Lignier nous y a rejoins pour cela, directement à la station.
- Au cours des dernières années, tu as pris pour habitude de jouer Walk On The Wild Side, du regretté Lou Reed, sur scène : tout en en profitant pour revenir sur ta relation personnelle, au fil des ans, d'avec cet incroyable musicien, performer et "songwriter"... Sachant, que, tu as tout d'abord été impliqué, en 1972, dans l'écriture des notes de pochette du tout premier album Live du Velvet Underground (1969)... Pourrais-tu imaginer ce que Lou aurait écrit à propos de la parution de ce tout nouveau Elliott Murphy Is Alive! ?
- EM : Difficile à dire ! Mais l'album Live, Rock and Roll Animals, a été un tournant majeur dans la carrière de Lou ; je pense donc qu'il l'aurait approuvé. Il y a tellement de beaux albums Live, de Lou Reed & Le Velvet Underground, que j'ai alors été effrayé d'avoir à en écrire les notes de pochette ; plus spécialement, pour ce "Live 69" : l'un des meilleurs, à mon sens, parce qu'il contient de nombreuses chansons extraites de leur album Loaded.
- Quel est, selon toi, le meilleur album Live de "Rock", jamais sorti officiellement ?
EM : Get Your Ya Ya's Out, des Rolling Stones !
- Le meilleur "Bootleg" (enregistrement non officiel) que tu aies jamais entendu ?
EM : J'adore particulièrement un album Bootleg de Bruce Springsteen, qui contient une grande partie des chansons de l'album The River...
- Celui que tu chéris de tes feux, au niveau de tes propres shows...
EM : Le show que j'ai donné au Mercer Arts Center de New York, en 1972, dont je possède la cassette.
- Celui, pour quelque raison que ce soit, que tu auras toujours regretté de ne PAS avoir enregistré, ou sorti officiellement... ou bien celui que tu aurais dû enregistrer puis sortir, même si cela t'auras été impossible, au final, que ce soit pour des raisons techniques, ou d'autres...
EM : Lorsque Olivier et moi avons "ouvert" pour Bob Dylan, en Italie, ce fût un concert plutôt spécial. Je m'étais même acheté un costume blanc, pour cette unique occasion. Je n'ai jamais eu la chance de pouvoir en écouter un enregistrement, jusqu'ici...
- Au niveau des chansons que tu as composées, enregistrées ou jouées, depuis tes débuts aux alentours de 1876...
... Quelles sont celles que tu as toujours adoré jouer sur scène, et qui le restent...
EM : Last Of The Rock Stars et Rock Ballad !
- Celles ou celle qui t'auront donné le plus de mal...
EM : Visions of the Night !
- Celles ou celles que tu n'as jamais joué(e)s Live, pour une raison ou une autre, mais que tu auras toujours eu envie d'essayer...
EM : Immigration Across The Nation... Il est peut-être temps de s'y mettre ! (au vu de l'actualité "Trumpienne", aux USA !)
- Au niveau des nombreuses "reprises", jouées par toi sur scène au cours des deux siècles derniers... quelles auront été, ou restent encore aujourd'hui, tes favorites...
EM : Stolen Car de Bruce Springsteen, I Want You de Bob Dylan, Sweet Jane de Lou Reed et Wild Horses, des Rolling Stones.
- Celle ou celles qui n'auront finalement pas fonctionné sur scène, pour une raison ou une autre...
EM : Rien ne me vient en tête, à ce niveau...
- Tu as beaucoup travaillé, aux côtés de ton fils Gaspard, autour de la sortie de ce Live et des nouvelles éditions (remasterisées) en "vinyle", de Milwaukee, Murph The Surf et Party Girls & Broken Poets... quelque chose d'autre de prévu, en termes de nouveauté ou bien issues de ton épais catalogue ?
EM : Oh, oui ! Il y aura une bande originale, destinée à accompagner le film sur lequel je travaille actuellement.
- Ok, donc... Elliott Murphy est définitivement "Toujours En Vie", en... 2008 !!!
EM : Comme si c'était hier, et c'est comme cela que cela sonne également, bien "vivant" !
- Et à propos de la "toujours en vie" année 2018, ou de sa suivante : quelque chose sur le feu, un nouvel album ?
EM : J'ai de nombreuses "idées" de chansons, déjà en partie enregistrées ; maintenant, plus ne me reste qu'à me mettre au travail, pour les finir...
- Et à propos de tes "shows anniversaire" ? Ou d'une éventuelle tournée...
EM : La "Tournée du 70e Anniversaire d'Elliott Murphy", commencera en février (mars et avril) prochain. J'espère également que les deux soirées prévues au New Morning de Paris - les vendredi 15 et samedi 16 Mars, le soir de mon soixante-dixième anniversaire! - seront très spéciales. À propos de la tournée elle-même, il suffit d'aller faire un tour sur le site (www.elliottmurphy.com) dans la section "Tour" : toutes les dates d'ores et déjà confirmées y figurent. Je pense que 2019 sera une année pleine!
- L'écrivain que tu es, a prévu quelque chose de nouveau, niveau livre ?
EM : Mes mémoires, nommées Just A Story From America, seront publiées en Espagne, dès le mois de janvier, en compagnie d'un court roman nommé "Tramps". Cela devrait également sortir en France, dès l'an prochain.
- Et, pour changer un peu, que dirais-tu d'un spectacle en solo ? Une sorte de "stand up" décalé, donné 100% en FRANÇAIS !!! Ou bien la mise en place d'un étonnant spectacle de mime...
EM : Tu peux toujours attendre...
- Pourtant, "Elliott Murphy Fait Du Mime, Mais Est Toujours Vivant en 2025 !", pourrait se montrer bien plus original, que l'actuel "Springsteen On Broadway" de ton vieil ami Bruce, à mon humble avis : Tu n'aurais juste qu'à y ajouter une guitare sans cordes, un vieil harmonica rouillé sur une table et un chat noir alanguis, posé juste à côté...
EM : J'ai vu "Springsteen On Broadway", il y a presque une année de cela, maintenant : c'est simplement magnifique et poignant. Bruce est le plus grand des performers de ma génération, à chaque fois que je le vois, j'en apprends quelque chose. Par contre, ma chatte Salem (NDLR : que l'on peut voir en photo sur le site d'Elliott, posant à côté d'une guitare) est morte à seize ans, l'année dernière : j'espère qu'elle vivra par delà l'éternité du Rock'n Roll...
Infos détaillées à propos du "film" mentionné par Elliott, durant cette Interview : https://www.elperiodico.com/es/ocio-y-cultura/20181202/elliott-murphy-rueda-pelicula-broken-poet-emilio-ruiz-barrachina-7150434
Site Officiel : elliottmurphy.com
Interview du guitariste Havrais Olivier Durand, réalisée suite à la sortie officielle du CD : "Elliott Murphy Is Alive!" (www.elliottmurphy.com) enregistré sur scène et en duo avec Elliott Murphy, à Bruxelles, en la lointaine 2008...
- Pour commencer, Olivier... est-ce que tu auras pu récemment réécouter l'album "fini", en intégralité, près de onze années après son enregistrement, et qu'est-ce que tu en penses, aujourd'hui...
OD
Oui. Elliott me l'a envoyé pour avoir mon avis sur le mix, puis le mastering. C'est étonnant. C'est un son différent d'aujourd'hui ; ça fait plaisir d'entendre ces chansons, cette énergie. Quelques dix années après l'autre Live enregistré en duo,April, c'est une autre page de notre duo.
- Est-ce que tu te souviens de quelque chose de précis (ou à peu près) au niveau de ce show, sachant que, depuis, vous en avez joué tellement, tous les deux ou sous de différentes formules...
OD
Ce dont je me souviens, c'est de cette journée très précise à Bruxelles, car nous y avions donné un "workshop" sur la composition des chansons. Ce jour-là, une jeune chanteuse nommée Selah Sue, nous avait juste époustouflés, Elliott et moi...
- Quelle a été ta contribution à ce projet de Live d'Elliott : est-ce que tu as participé au choix des titres, au suivi du "mix", etc.
OD
Oui, comme je te l'ai dit, j'ai écouté tout ça, donné mon avis. Elliott a également voulu que j'écrive les "notes du livret".
- Comment est-ce que tu situes celui-ci, comparé au plus lointain Live officiel, nommé "April", qui date déjà, lui, de la lointaine 1999 ?
OD
C'est une autre page de l'histoire du duo. Une page plus Rock'n'Roll, sans doute. Une page où je suis moins discret, où j'ose...
- Comment est-ce que tu te situes, TOI, donc, comparé au "TOI" d'April ?
OD
Je m'affirme plus : je chante plus et vais plus loin dans mon interprétation. Je développe mon style.
- Comment est-ce que tu évalues ou explique, cette symbiose, cette "guitare qui ne semble parfois n'en faire qu'une, avec celle d'Elliott" ?
OD
Quand tu es musicien, tu te dois d'être à l'écoute de l'autre : essayer d'être le plus juste avec la chanson, avec le chanteur, avec ce qu'il veut transmettre. Toutes ces choses ne s'apprennent pas dans les livres. Tout est question de feeling, de partage.
- Quand est-ce que cela se sera réellement mis en place, à ton avis ? Etait-ce évident, dès le début, ou bien est-ce que cette "communion" se sera peaufinée avec le temps, les nombreuses années passées "on stage"...
OD
C'était là au début ! Elliott m'a permis de m'exprimer, m'a ouvert les portes : je m'y suis engouffré en essayant de lui rendre le meilleur de moi. Bien sûr, qu'avec le temps, c'est sans doute de plus en plus palpable, mais ça aurait aussi pu disparaître.
- Qu'est-ce qui vous différencie, Elliott et toi, en termes d'approche de la guitare, ou du rythme, et qu'est-ce qui vous rapproche, in fine ?
OD
Je ne sais absolument pas. Je crois que nous nous sommes mutuellement apportés des choses. J'étais sans doute trop "soliste", au tout départ ; j'ai depuis progressé sur tout ce qui est rythmique : le fait de faire sonner les accords pleinement, en duo, en pensant à la basse qui n'est pas là. Nous nous devons aussi d'être plus précis et plus efficaces, sur le son d'ensemble.
- Sachant, que, sur scène, vous formez une sorte de créature étrange : une entité indéfinissable dotée de 4 jambes et 4 mains, tu préférerais qu'on l'appelle ELLOLI ou VIERIOTT ?
OD
Non, non, juste nos deux noms, c'est bien.
- Quels sont les albums "Live" que tu préfères, tous styles confondus ?
OD
J'ai une grosse affection pour le "Live At Rockwood" de mon ami James Maddock : c'est grâce à cet album que je l'ai découvert. En fait, j'ai des enregistrements Live, bien meilleurs que certains Live officiels super connus, ce sont ceux que je préfère.
- La (ou les) performance(s) Live, avec Elliott, cette fois, que tu souhaiterais voir un jour publiée(s) officiellement ?
OD
Je ne sais pas, sans doute un live enregistré au New Morning, lors de ses concerts "anniversaire" : ce sont toujours des moments magiques.
- Vous avez joué des shows en mode duo, trio, quatuor, avec des musiciens additionnels, pour les "Birthday Shows" dont tu viens tout juste de parler, voire même, une chorale... quelle est la formule dans laquelle tu te sens le plus à l'aise, et pourquoi ? Ou bien celle que tu auras particulièrement aimée, tout du long de ces nombreuses années...
OD
Le duo est vraiment quelque chose de très particulier : nous sommes obligés de nous livrer sans filet. On ne peut se cacher, c'est donc très fort.
Sinon, peu importe, ce sont les gens avec qui tu joues et pour lesquels tu joues, qui me touchent. Chacun t'apporte quelque chose, te permet d'avancer, de progresser, d'être meilleur.
Interview réalisée le 06 décembre 2018 par Jacques 2 Chabannes
Envoyer un message à Jacques 2 Chabannes
Voir toutes les interviews et critiques de concerts rédigées par Jacques 2 Chabannes
Elliott Murphy : les dernières chroniques concerts
Elliott Murphy / Interview par Jacques 2 Chabannes
Paris, le 25/03/2020
Greetings, From Beauregard, Paris, France...
Interview d'Elliott Murphy: réalisée depuis son canapé Parisien, le Mercredi 25 Mars 2020.
(J+9, après l'instauration du... La suite
Bertrand Belin + Elliott Murphy + Red (20ème anniversaire de La Coopé) par Pierre Andrieu
La Coopérative de mai, Clermont-Ferrand, le 03/03/2020
Dans le cadre des festivités pour le 20ème anniversaire de La Coopé (dont le "point d'orgue" était la venue des dramatiques Indochine quatre jours plus tard, il est bon de... La suite
Elliott Murphy par Jacques 2 Chabannes
New Morning Paris, le 15/03/2019
Paris Au(x) Soixante-Dix Printemps !
Préquelle
La queue des futurs spectateurs du soir s'étire doucettement tout du long de la rue menant au fameux New Morning. La température... La suite
Elliott Murphy par Jacques 2 Chabannes
Salle Jean Moulin Le Thor, le 14/11/2015
Après le Déluge...
(It Takes A Worried Man !)
Ce samedi 14 novembre 2015, deux heures durant, Elliott Murphy (accompagné des "mythiques" Normandy All Stars) aura su éloigner,... La suite
Olivier Durand : les dernières chroniques concerts
The Normandy All Stars / Entretien par Jacques 2 Chabannes
Paris, le 15/03/2014
Les 12 plages du débarquement en 45 !
(The Normandy All Stars : Interview !)
Au moment où Elliott Murphy s'en revient visiter nos régions Sudistes - concerts ce vendredi 16... La suite
9e Nuit du Blues : Immigrants + Candye Kane + Elliott Murphy & Olivier Durand par Jacques 2 Chabannes
Arènes - Cabannes, le 06/07/2013
Preachin' Blues
(La Nuit du Blues de Cabannes !)
C'est la "9e" édition de ce beau festival entièrement dédié à la musique Blues sous toutes ses formes, et cette seconde soirée... La suite
Entretien avec Olivier Durand par Jacques 2 Chabannes
Le New Morning - Paris, le 08/04/2013
Originaire du Havre - ville "Rock", par excellence - Olivier Durand accompagne et habille (neuf années, durant) de ses notes "senties" et "mélodieuses", la carrière "Live" et... La suite
Elliott Murphy par Jacques 2 Chabannes
le New Morning - Paris, le 15/03/2013
"Elliott le Magnifique !"
(Coming Home (Twice) Again...)
Préquelle :
C'est devenu une tradition en Murphyland - pays imaginaire monté de toutes pièces par les fans Espagnols... La suite