Interview d'Olivier Gasoil (ex-Bleifrei, Gasolheads, Hatepinks, Irritones), pour la naissance de 'La Flingue'
Où l'on en apprend un peu plus sur ses motivations à écrire des chansons brèves et explosives et à monter les défendre en équipe sur scène depuis presque 20 ans, sur sa propre histoire du punk rock, et sur le groupe 'La Flingue' en particulier ... mais pas sur le sens du mot 'Hatepinks', ni sur une éventuelle influence de rockers scandinaves ou de chevelus américains, ni même sur son amour pour nos chroniques que, trop pudique, il a préféré ne pas évoquer.
Depuis combien d'années fais-tu le guignol sur scène, à enturbanner de scotch ton crâne déjà capillairement sinistré avant de péter bêtement des canettes de bière par terre, puis de toucher le zizi aux gens du premier rang et de danser comme un idiot en levant les talons le plus haut possible ?
Comment répondre à un question formulée de cette manière? Je ne fais pas le guignol sur scène. J'ai cassé plusieurs fois des télés et des ordinateurs... Des gens ont saigné. Je ne suis pas particulièrement fier de ça. Des choses arrivent, parfois, quand la musique me semble bonne, parfois il ne se passe rien. J'essaye de ne pas calculer trop ce qui va se passer à l'avance, mais bon quand je me ramène avec une poste de télévision...
Sur Concertandco, comme en plus on est assez copains, on a l'habitude de te parler comme tu parles à ton public (en gros, des insultes et des vannes donc, cf la première question), ça t'énerve des fois ? Tout le temps ?
Ça m'énerve tout le temps. Seul l'artiste a droit à avoir du style. Le plumitif, claviériste n'est qu'un révélateur qui doit rester en retrait.
Cela dit, es-tu d'accord avec le fait que Liveinmarseille a sans doute écrit les plus belles lignes (j'ai pas dit les plus intelligentes, juste les plus belles !) de ta légende naissante ?
Non.
Et comme tu as sans doute répondu non à la question précédente : il n'est pas trop tard pour les écrire toi-même. Dans combien de groupes as-tu joué avant La Flingue ?
Six. Un groupe de jeunesse, Bleifrei commencé en 1992, ensuite Gasolheads, Hatepinks, Irritones et maintenant La Flingue.
Peux-tu encore les citer, avec le nombre de musiciens (remplaçants y compris) dedans ?
Avec combien de musiciens différents as-tu joué - vu la consanguinité parfois observée ça devrait être calculable ?
Je ne me suis jamais livré à ce genre de calcul. Rien d'extraordinaire je pense, chaque fois 4 mecs, avec parfois un changement de batteur... Une vingtaine ou une trentaine de gens donc...
Combien de chansons as-tu composées ? et écrit de titres (à 50 près) ?
Aucune idée. 6000?
Quelle est ta chanson parfaite à ton goût ?
Parasites like me ou We are selling drugs,
Et selon ce que les autres gens t'ont dit ?
Personne ne me dit ce genre de truc. Une fois Miguel Zorlha d'Aggravation m'a dit que le Opupo 1 était "pas mal". Il était sous MDMA.
Quelle est ta chanson parfaite de quelqu'un d'autre ?
God save the queen des Sex Pistols...
Il me paraît parfaitement logique de lancer un nouveau groupe, même quand 1 seul des 4 musiciens change, par respect pour lui, ou pour tourner la page. Pourquoi ne pas l'avoir fait dans tes groupes précédents ?
Les batteurs, ça ne compte pas. Sinon, c'est toujours ce qui s'est passé... Nasser a toujours joué dans les Hatepinks, même si Marc Blunt ou Rudy Aggravation le remplaçait en tournée, notamment aux États-Unis ou à la fin...
Pourquoi lancer un nouveau groupe sans changer radicalement de style ?
Hmmm. Ridicule. Je ne fais pas du punk rock pour rigoler. J'ai réfléchi, j'ai travaillé ce truc-là et pas autre chose. Changer de style ne m'a même pas traversé l'esprit. Après tu peux essayer des trucs différents, mais en restant dans un cadre. Le punk "Killed by death", orienté 78 avec une touche allemande pour moi. Les expérimentations qu'on a fait à la fin des Hatepinks viennent de là, de ce besoin risible qu'ont les musiciens d'essayer d'évoluer, et rétrospectivement, c'était une erreur. Ne jamais faire confiance à un musicien, ils ne parlent que de son, de feeling...
Quel est le meilleur moment pour lancer un nouveau groupe ?
Je ne comprends pas la question. Tu parles de saison? La fin de l'été je pense... Tu es bronzé et reposé, tu en as plein le cul du soleil et de la chaleur donc c'est plus facile de rassembler quatre gars dans une cave humide pour composer. Et les dealers sont enfin rentrés de vacances!
Tiens je reviens sur le fait de changer de style qui est une idée vraiment saugrenue : je dis souvent du mal des musiciens, mais si tous mes groupes ne sont pas exactement pareils c'est grâce à eux après tout. La différence de jeu... etc c'est de là que vient la différence. Tiens une phrase de merde qui en jette : pour moi la différence de son entre les trois premiers Ramones est plus importante que toute l'évolution musicale des Beatles. Ce groupe de merde qui a formaté la musique populaire pendant 50 ans...
Y'a't-il une démarche artistique différente à chacun des groupes où tu as participé - autre que visuelle (tous en noir avec un brassard rouge, tous en noir et rose, tous en blanc avec un point noir, etc) ?
Ce n'est pas calculé avant de monter le groupe, avec les Gasolheads on faisait juste du RNR bourrin lo-fi sans calculs, puis on s'est disputé avec mon frère. Avec les Hatepinks on a juste décidé à un moment de partir sur le rose et de mettre un peu d'humour noir. Après c'est juste des cravates et des chemises. Ce genre de gimmick te dessert plutôt chez les puristes. Pour ce qu'on en a à faire... Puis on s'est fatigué, avec les drogues et les tournées. Oui, les Irritones et le visuel au point noir, bah j'avais pompé ça chez les Bad Brains de toute façon (les démos Black dots), puis il est arrivé un truc entre musiciens, une histoire de filles, c'est la première fois que j'avais un groupe qui explose comme ça. Tant pis, je suis très fiers des deux albums qu'on a fait, un bon mélange de cold à la Aggravation et de punk haché et velu. Et j'ai réussi à écrire un peu en Français...
Même question, à propos d'une démarche politique ?
Non, il n'y a évidemment pas de démarche politique différente à chaque groupe que je fais. Au contraire. La seule politique qui convienne est le refus. Les gens râlent mais il suffit juste de dire non et c'est réglé. Les médias font du lavage de cerveau? Ignore-les. L'argent dirige le monde? Ignore ça. Les politiques combinent et s'en mettent plein les poches? Méprise-les; ils iront en enfer. La haine, le mépris, le crachat et le dégoût sont sous-estimés. Ce sont de très bons moteurs pour un groupe. Les groupes qui me touchent le plus sont ceux qui mettent en scène ces sentiments-là.
Parfois la chose la plus positive à faire est d'être absolument négatif (J. Rotten).
Et d'abord faut-il avoir une démarche politique pour faire de la musique ?
Oui, ou alors tu es un con de rocker.
Tu réalises systématiquement un petit site web bien fichu (quoique toujours pompé d'une fois sur l'autre) pour tes groupes et, sauf erreur, pas une fois il n'y a eu sur ces sites un texte expliquant une quelconque démarche réfléchie. "No explain, no complain", c'est ça ?
J'ai beaucoup de mal avec les explications. Il y a les disques, les visuels et même les paroles. Si en plus de ça il faut expliquer, c'est que effectivement on a échoué quelque part, ou alors les gens sont des mongoliens. Ce qui n'est pas à exclure du tout. Tu prends même certains journalistes "rock" comme TAD-Foulouh, c'est hallucinant les conneries qu'il peut écrire. Je lui pardonnerai jamais d'avoir écrit qu'on ressemblait aux Clash avec Irritones. Faut vraiment avoir de la merde dans les conduits, ou alors écrire en mode automatique. Clash, blah, blah, White Stipes, blah blah, The Hives, balh blah Briefs. Maintenant la nouvelle mesure c'est Jay Reatard ou les autres encatanés de Black Lips... C'est de la paresse pure et simple.
Avec un certain son punk-rock apparentés fin 70's, l'humour semble le point commun entre toutes les formations où l'on t'a entendu. Aussi bien dans les textes que dans ton attitude sur scène ou dans tes visuels (affiches, pochettes, notes de livrets, etc nous ont souvent fait bien rigoler). C'est fait exprès, ou c'est naturel chez toi et tes sbires ?
C'est naturel. Mais je n'accepte pas l'étiquette de groupe rigolo. Ça, c'est Massilia Sound System ou je ne sais qui... Marcel et son orchestre? Les Charlots. Va voir des photos de Crime, le groupe punk de San Francisco, voilà de l'humour. Humour agressif, avec ma langue dans ta bouche comme on dit...
Pourrais-tu (et voudrais-tu) jouer de la musique sérieusement ? Je veux dire, sans déconner du tout ?
Non. Je pense déjà faire de la musique très sérieusement.
Si oui, de quel style tu jouerais, alors ? Dans le genre groupe tout à fait sans humour, on sait (de source absolument fiable) que tu as une grande tendresse pour Dire Straits, par exemple...
Un mec qui joue avec un serre-tête en éponge et des serre-poignets assortis a forcément le sens de l'humour.
Et comme tu es probablement passablement énervé par la question précédente et envisage d'arrêter là l'interview, parlons de La Flingue ! C'est un peu la première fois qu'un nom de groupe où tu joues ne veut rien dire (a priori ?), et semble sortir de nulle part. Enfin comparé à "Sans Plomb, Les Têtes de Gasoil, Les Haïsseurs du Rose / Les Roses de la Haine" (tiens au fait c'est quoi la vraie signification de Hatepinks ?), et "Irritones" qui est juste le millième nom de groupe en -tones depuis les Rollingstones. Alors, WTF is La Flingue ?
La Flingue. Alors : article féminin inapproprié, donc décalage léger. De plus il y avait une mode aux USA de groupe en Le ou La : Le Shok, Le Face, Los Microwaves, Le Tigre ... que j'aime bien. En outre changer le genre de flingue peut amener à "Flingue femelle", féminisme... blabla, allusion au clitoris? La Flingue peut aussi désigner la défonce. Et pour finir il y a une connotation un peu vieillotte que j'aime bien, comme les films de Jean-Pierre Melville, Jean Gabin. C'est bon tu as compris ?
Quelles sont les influences ou inspirations du groupe La Flingue ?
J'ai pour ambition, avec mon band, de créer un nouveau genre musical, débarrassé de toutes influences. Question con, réponse con.
...Non, pas celles-la, je veux dire les influences ou inspirations différentes de celles de Gasolheads, Hatepinks, Irritones !
Il y a peut-être une légère touche boogie/southern rock/Creedance qui vient du jeu de Gigi Joli... Rudy Namite oriente aussi de plus en plus son jeu vers le pub-rock de qualité.
Quel est le but de La Flingue ? Enregistrer quoi que tu n'aies pas déjà fait (exemple : CD rose uni, cassette audio, vinyle enregistré à l'envers, etc) ?
J'ai eu une vision après avoir bu quelques vodka et deux Desperados. Oui, j'aime la Desperados et je vous emmerde. On ne va sortir que des maxis-LP 30 cm 6 titres, tous les 6 mois au nombre de 6. Avec des pochettes créées avec du ruban adhésif collé sur des pochette des Beatles seulement. Je suis mortellement sérieux en disant ça (NDLR : personne n'en doute !). Le premier sort bientôt sur Crapoulet records, il se nomme " Rubber-Glue Zéro-un ", tout noir et blanc avec du Gaffer collé sur l'album blanc. Le deuxième sort dans 3 mois, " Kleb-Stoff zéro-deux ", il sera blanc et rose, collé sur Sergent Pepper. Plus d'album, ni de singles, c'est chiant.
Jouer dans quel club que tu n'aies pas déjà visité ? (Re)tourner sur quel continent ? Plus largement, développer quelle démarche inédite ?
Je m'en fiche. L'interview est trop longue, je n'arrive plus à me concentrer. Tiens, je vais aller sur un site pédophile me détendre une heure ou deux...
Dans La Flingue, tu es entouré de jeunes gens, sauf erreur sans trop d'attaches familiales pour le moment. Tu pourrais tout arrêter demain pour te consacrer (par exemple !) à ta marmaille ? Au contraire, et c'est bien la réponse espérée, est-ce que tu envisages de continuer jusqu'à pouvoir jouer devant tes enfants ?
Je ne veux pas jouer pour mes enfants. On ne fait pas du punk rock ni pour les copains, ni pour la famille. Mes enfants écouteront ce qu'ils veulent, et du punk rock s'ils veulent manger à la maison. J'espère juste arrêter à temps, avant d'être pathétique. Ça m'a travaillé longtemps ça. Savoir arrêter. Je pense que La Flingue est mon dernier groupe.
Marseille, Ca(ca)pi(pi)tale de la Cul(cul)ture 2013 ? Pour ou contre ?
C'est grotesque. Toutes les grosses huiles qui s'auto-célébrent avec ce truc pitoyable,. Ils font tout pour écraser la vraie culture et transformer Marseille une ville-dortoir aseptisée pour les touristes et les parisiens, ils musellent les lieux un peu sauvages et ils te brandissent cette merde sous le nez, très fiers de leur petit jouet. Un jouet de plus de 90 millions d'euros. Qu'ils crèvent. Si les mecs des cités pouvaient venir mettre un peu de bordel dans leurs défilés de pacotille...
Tu (ne) crois (pas) que ça pourrait éventuellement amener du public nouveau jusqu'à toi ?
Héhé, tu me cherches, là ?
Et comme tu as vraisemblablement répondu non à la question précédente, qu'est-ce qu'on vous peut souhaiter à La Flingue pour 2013 ?
Rien, peut-être de ne plus avoir à subir d'interview comme ça...
Objectivement et même si ce groupe est sans doute devenu un peu trop mainstream à ton goût, The Hives ne reste-t'il pas un modèle absolu, au moins pour ses trois premiers disques et pour le jeu de son leader sur scène ?
Non, jamais. On devait jouer avec eux avec les Gasolheads, à Orléans. Ils ont annulé au dernier moment pour pouvoir participer aux victoire de la musique suédoises. Haha. Les mots me manquent...
Et comme tu as sûrement répondu non à la question précédente : quel groupe du passé (ou période du passé d'un groupe) est-il ton modèle absolu sur disque ? Et sur scène ?
Aucun. Pas d'absolu en tout cas...
Quel groupe du présent serait le modèle qui te/vous rende dingue(s) de ne pas pouvoir être aussi bons qu'eux ?
Aucun, mais dans les Gasolheads je faisais un complexe par rapport aux New Bomb Turks...
Quel a été le tout meilleur concert de La Flingue ? Et la toute meilleure chronique de ce concert ?
Un seul concert pour l'instant. Très moyen. Pas de chronique valable en vue.
Quelle est la question intelligente que tu as attendu toute ta vie (en tout cas, tout cet interview), et qui n'est pas venue ?
J'aurais bien aimé une question me demandant ce que je pensais de cette nouvelle scène de jeunes à casquettes avec des moustaches, des pulls de ski et des pédales d'effets branchés sur leurs guitares de merde. Tous ces psychédéliques mous sont très jeunes et c'est très très triste.
Allez, pour finir, faisons honneur à notre tradition Liveinmarseille : cite-nous 3 restos, 3 salles de concert et 3 bars que tu aimes à Marseille...
Le snack le Mirage, mais faites gaffe, tous les flics de l'hôtel de police y vont aussi. Kebab au poulet donc.
La garbure et les Dos Hermanas pour les gras espagnol.
Molotov-Machine à Coudre-La salle gueule.
Je vais plus au bar depuis que j'ai des enfants. Ne faites jamais cette erreur. Prenez des drogues et tuez-vous avant.
Prochaine(s) date(s) de La Flingue en concert : par ici !
Supplément pour nostalgiques (et dépressifs) :
1 chronique de La Flingue en concert ;
11 des Irritones ;
24 des Hatepinks ;
16 des Gasolheads ;
...et 0 à 10 chroniques de disques de ces groupes sur cette page.
Interview réalisée le 07 janvier 2013 par Philippe
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