Le Bus Palladium - Paris 9ème : les concerts
Le Bus Palladium - Paris 9ème : l'historique des concerts
Sa.
26
Fév.
2022
Ve.
31
Déc.
2021
Sa.
27
Nov.
2021
Sa.
27
Nov.
2021
Je.
16
Avril
2020
Ve.
13
Mars
2020
Sa.
22
Fév.
2020
Ve.
21
Fév.
2020
Me.
16
Oct.
2019
Je.
26
Sept.
2019
Ve.
21
Juin
2019
Ma.
21
Mai
2019
Bus Palladium : les dernières chroniques concerts 5 avis
No One Is Innocent (release party de l'album Frankenstein)
A l'occasion de la sortie deux jours plus tard de son 7ème album, nommé "Frankenstein", No One is Innocent nous proposait de faire la fête dans une salle mythique parisienne, le Bus Palladium. Cette "release party" marque donc le retour aux affaires d'un des plus grands groupes de rock français qui célèbre cette année les 25 ans de son histoire et les 15 ans du duo Kemar - Shanka. Une nouvelle tournée s'annonce également avec les premières dates qui ont débuté en région parisienne quelques jours auparavant et cette caravane contestataire, au grand coeur et aux cinq poings levés passera à nouveau par Paris le 21 novembre prochain, à la Cigale. Dans cette salle parisienne qui a conservé son âme et son esprit baroque, on retrouve ce soir l'entourage du groupe et notamment ceux qui ont participé de près ou de loin à l'album "Frankenstein" et notamment le label, le producteur Frédéric Duquesne (actuellement guitariste des Mass Hysteria et producteur des MH depuis 2007) ainsi que le tourneur, les amis, copains musiciens, des journalistes et bien évidemment des fans qui n'auront eu qu'à débourser la modique somme de 8 euros pour rentrer, il faut le souligner. Par contre, concernant le prix de la pinte (10 euros) pratiqué par la salle,... Lire la suite
Lussi in the Sky
Mais que fait un sudiste un vendredi soir sur Paris ? Qui plus est, un vendredi 13, jour de bonheur ou de malheur selon les croyances ! Et bien, ce sera un jour de bonheur et on va remonter le temps un peu en arrière pour tout expliquer. Cette histoire commence en 2010 devant la télé. Ben oui, on aime parfois se reposer la tête et, à l'époque, on ne ratait pas une émission de la Nouvelle Star. Grand bien nous prend, puisqu'on y découvre une brunette à frange qui déchire tout. Et c'est ainsi qu'elle reprendra, sans vergogne et avec énormément de talent, dans le désordre : Glory Box de Portishead : Pas évident d'être au niveau de Beth Gibbons, mais la belle se débrouille très bien. Comme un Boomrang de Serge Gainsbourgh : Alors là complètement renversant, j'y repense encore de temps en temps. Whole Lotta Love de Led Zeppelin : On touche au sacré sans l'écorcher, énorme exploit ! La partie scattée pour remplacer le solo de guitare fut même un véritable coup de pied au cul. La fille du père Noël de Jacques Dutronc : Peut-être pas sa meilleure prestation, mais tout à fait honorable. Il n'en fallu pas plus pour que l'on soit fan et qu'on attende chaque semaine sa prestation. Mais l'histoire voudra qu'elle soit trop... Lire la suite
Interview de RECOIL - Alan Wilder
Prélude à la Strange Hour, un Strange Day pour moi, ce vendredi d'avril. Je m'étais retrouvé pour les besoins "matériels" de l'interview du soir (un enregistreur de secours, merci Rachel !), dans un petit taxi-phone afin d'y boucler et mettre au propre ma liste de questions pour Alan Wilder, en bon pseudo-journaliste à la bourre que j'étais. Et ce, juste à côté du canal Saint-Martin et de la rue Robert Blache, nommée ainsi en l'honneur d'un journaliste (un vrai, celui-là, et d'une certaine envergure : secrétaire de l'Huma et lâchement fusillé par les Allemands en 1944). La même rue où, à la fin de mes années estudiantines, j'avais découvert... Recoil ! En l'occurrence via l'album Bloodline, que j'associe toujours à cette petite chambre où j'écoutais les sombres morceaux électroniques du tout juste ex-Depeche Mode. Puis, ma tâche terminée, j'appelle à tout hasard Bobonne, l'ex-colloc avec qui j'habitais là, souvent en déplacement en Afrique. Et voilà que je tombe sur lui alors que ça fait des plombes que je n'ai pas vu, et que nous nous donnons rendez-vous ! Étrange croisement des époques, donc, autour de Recoil... Bon, je sais, vous allez vous dire "mais qu'est-ce qu'il attend pour l'attaquer son interview, il compte nous raconter sa... Lire la suite
RECOIL - A Strange Hour with Alan Wilder & Paul Kendall
Si on m'avait dit qu'un jour je rencontrerais Alan Wilder dans le bus, je ne l'aurais pas cru. Encore moins dans un bus en forme de boîte. De nuit ; Et pas de jour mais je parlais aussi de la boîte, ceci dit elle fait aussi office de salle de concert. Petite et très sympa d'ailleurs, avec ses banquettes confortables et sa table de mixage en plein milieu. Mais si on m'avait dit qu'un jour j'entendrais du Recoil dans une boîte ou dans une salle de concert, je l'aurais pas cru non plus. Ou Agent Orange et Memphisto, deux de mes faces B instrumentales de Depeche Mode préférées, que nous eûmes la surprise de pouvoir écouter avant le concert ou lors des intermèdes, à la programmation inhabituellement sympathique (merci Damien pour m'avoir signalé le très électronique dernier A-Ha aussi, que je n'aurais pas pu reconnaître seul). Au titre des autres séquences "pour patienter" de cette soirée, quelques mots sur les deux premières parties. Ouverture par Olivia Louvel, une charmante chanteuse auteur-compositeur française (mais bilingue d'après ce que j'ai pu entendre en coulisses, et chantant en anglais), qui en est à son 3e album en 4 ans (pas mal). Accompagnée au mix par Paul Kendall, le grand producteur/mixeur/remixeur et j'en passe de chez... Lire la suite
Julia Kent
Un premier album joué dans une salle mythique qui réouvrait pour la première fois. Un pari risqué pour les organisateurs. Un pari réussi pour l'artiste, très connue pour sa participation aux Johnsons d'Antony. Les ambiances lâchées par son violoncelle et ses boucles superposées... Lire la suite