Domaine du Pinsan - Eysines : les concerts
Domaine du Pinsan - Eysines : l'historique des concerts
Di.
13
Juin
2010
Sa.
12
Juin
2010
Sa.
13
Juin
2009
Sa.
16
Juin
2007
Domaine du Pinsan : les dernières chroniques concerts 2 avis
The Willowz + The Dynamites + The Standells
Eysines, Day 2. Comme nous n'aimons pas la routine, c'est bien sûr en retard que nous arrivons aujourd'hui, mais cette fois nous ne raterons pas la fin... Pour notre défense, je dois dire deux choses : l'arrivée des flics la veille pour précipiter la fin des réjouissances (hé oui, je me renseigne) a fait commencer tout notre petit monde vachement tôt aujourd'hui, et le formidable temps en cette mi-juin avec ses allures de fin du monde jusqu'en milieu d'après-midi, m'a incité à prendre mon temps. Coût de l'opération, nous n'arrivons que pour les Willowz , in medias res. Bonne pioche : les quatre californiens, autant à l'aise dans la composition de BO de films ( Eternel Sunshine of the Spotless Mind , La science des rêves ) que sur scène, envoient du gros rock énergique qui sent bon les 70's -la voix + le côté un peu prog des chansons à rallonge- et le grunge -les tripes, les grattes, les cheveux longs du chanteur (...). Du Black Crowes en moins cliché et plus jouissif. Deux guitares puissantes et torturées plus un tom basse qui se rajoute, le rythme très soutenu détone avec la pelouse presque vide et le soleil dominical. D'ailleurs, comme dirait le chanteur : "You can't play rock'n roll on daytime, it never... Lire la suite
Hurly Burlies+ Jessie Evans+ The Zombies
Munis d'un sens de l'orientation approximatif, rendu plus approximatif encore par un temps cyclothymique, nous parvenons tout de même en cette fin d'après-midi plombée au domaine du Pinsan. Haut lieu du footing, des rendez-vous obscurs pour joueurs de djembés chevronnés et autres adeptes de la marche bucoliquement urbaine. Domaine du Pinsan, donc, pour le premier jour du festival "Eysines goes rock'n soul" ). Une belle arène à la romaine, une grande scène chouettement sonorisée, quelques stands histoire de suturer les différents temps morts, tout va bien, sauf qu'il est trop tôt, et qu'il nous reste une bonne heure à poireauter un verre recyclé de bière de festoch à la main, gentiment assis comme le reste de la foule éparse. La musique d'attente, quand quelqu'un pense à en mettre, est soit de la playlist molle en boucle, soit du hard rock FM. Bon. Et à guetter le ciel noir qui semble de moins en moins conciliant, j'ai d'autant plus hâte que les festivités commencent. Les Hurly Burlies (à ne pas confondre avec les Curlee Wurlee ou les Wonky Monkees , n'est ce pas) montent sur scène au nombre de cinq et envoient le bouzin. Du rock boogie aux effluves pop heurté par des ballots de paille. Ça sonne Kinks , Monks , Count... Lire la suite