Esplanade Gambetta - Carcassonne : les concerts
Esplanade Gambetta - Carcassonne : l'historique des concerts
Lu.
06
Juillet
2009
Esplanade Gambetta : les dernières chroniques concerts 5 avis
Depeche Mode
Was I in the wrong place ? On the wrong day ? At the wrong time ? Au premier abord, c'est vrai que ça partait pour être the wrong plan : deux heures de bouchon sur l'autoroute après un accident près de Narbonne, un repas infâme sur une aire de service, Rachel -la femme de mon pote Damien- séparée de son époux par le règlement interdisant plus d'un accompagnant pour les PMR et femmes enceintes, et surtout cette sale petite pluie de plus en plus insistante une heure avant le début du concert. Les mauvaises langues n'ont pas dû se gêner pour accuser Motor, la première partie, d'être les responsables de la pluie. Bon OK, la partie "voix" n'était pas ce qu'ils avaient de plus brillant à proposer (si les doubles guillemets existaient, j'en aurais d'ailleurs utilisé ici), mais ce ne fut pas inintéressant. Mr.No et Bryan Black Du moins au début. Parce qu'après cinq ou six titres se ressemblant comme les gouttes d'eau qui allaient suivre, le côté marrant de la chose n'arrivait plus à compenser le côté lourdingue. Pour le côté marrant, donc : deux porteurs de lunettes noires au look fun, l'un se défoulant avec une rythmique à la régularité parfaite sur une batterie électronique, l'autre scandant plus que chantant quelques paroles... Lire la suite
Depeche Mode
C'est la seconde fois que je vois Depeche Mode en concert. J'avais été impressionné aux Arènes de Nîmes en 2006 par un show exceptionnel, j'ai été assez déçu par celui d'hier soir à Carcassonne. Plusieurs raisons sans doute : 1 - un cadre sans âme : cette esplanade façon place de village sans aucun cachet (pardon aux Carcassonnais que j'ai par ailleurs trouvé fort agréables !) ne supporte aucune comparaison avec les majestueuses Arènes de Nîmes. 2 - un son mauvais : je ne pesterai jamais assez contre ces ingés son incapables d'offrir un son correct à un public qui paye ses places assez cher pour pouvoir exiger un minimum de professionnalisme de ce côté là. Deux heures durant, j'ai eu l'impression de me trouver dans une bagnole vitres fermées que l'on aurait équipé avec la sono de Bercy. A chaque beat ou coup de pédale de grosse caisse, c'est tout le corps qui subissait cette désagréable sensation de violentes vibrations, jusqu'au cur dont je me suis sincèrement demandé... Lire la suite