Sporting Monte Carlo - Monaco : les concerts
Sporting Monte Carlo - Monaco : l'historique des concerts
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Sporting Monte Carlo : les dernières chroniques concerts 5 avis
Motley Crüe
Meme si la dernière fois que j'ai vu le Crüe à Milan en 2009 m'avait donné à pensé qu'ils oscillaient entre le pathétique et le ridicule, prenant en plus le public européen pour des cons avec des setlists raccourcies et un show tronqué, il m'etait impossible de manquer leur Final Tour. Le vrai cette fois, avant séparation définitive. Meme si on reverra certains membres ensemble sous un autre nom dans le futur, je n'en doute pas. Non, le dilemme n'etait pas sur le fait des les revoir ou pas malgré leurs prestations en demi-teinte (nostalgie à la con, ok je vais pas vous contrarier, mais morceaux d'anthologie du glam, ok vous allez pas me contrarier !), mais plutot de savoir si on allait à Milan ou à Monaco ! Milan en jour férié ça le faisait avec Alice Cooper en première partie, et avec un spectacle pyrotechnique de malades. Mais à Monaco c'etait l'assurance unique de les voir à quelques mètres, dans la magnifique salle qu'est le Sporting, sans aucun artifices, en pur groupe de rock'n roll. Ce qui comportait une grande part de risque d'avoir un live minable, vu la fin du premier leg US, avec un Vince Neil complètement à la rue vocalement, et un Tommy Lee diminué par une tendinite (version officielle)... Mais ce qui a fait pencher... Lire la suite
Sting Symphonicity
Critique écrite le 20 septembre 2011, par Vv
Salles des Etoiles Sporting Club- Monaco 25 juillet 2011
Je dois l'avouer je suis un ninja. Pas un super ninja mais bon... Ma mission, infiltrer le Sporting club de Monaco, haut lieu du prestige, des casinos, des Enormoides Megastars, et des m'as-tu-vu superficiels. Je dois pousser des caisses aussi. Depuis les carnages de Janet Jackson la baveuse et Santana l'oppresseur (ou beaucoup de mes frères du sanctuaire du poing du dragon volant bleu ont péri), me voici seul à opérer. Après avoir assommé en un saut périlleux deux voituriers à coups de nunchaku, je pénètre le complexe de luxe, me déguisant en buisson pour traverser le hall central tout carpété. Je passe par une porte dérobée, et m'engouffre dans les coulisses. J'échange momentanément les chromes et les lustres hauts placés contre des couloirs sombres à la lueur tamisée. La glace de la climatisation stagne dans l'air. Je pousse une caisse qui traine. J'ouvre une nouvelle porte. Je me fraie un chemin dans la salle remplie, ne pouvant m'empêcher de bousculer des serveurs en smoking blancs affairés à aspirer les cartes de crédits des riches clients. Pourvu qu'ils ne se doutent pas de mon identité. Heureusement, j'ai ajouté une veste de costume et une cravate à ma tenue de ninja. Ouf. Je vais me poster sur l'immense balcon qui... Lire la suite
Stevie Wonder
Le Sporting Club est une sorte de pataquès de masses géométriques diverses empilées aléatoirement les unes sur les autres, qui semblent figurer une soucoupe volante écrasée contre un pole emploi. Dans ses intestins de sous-marin fourmillent une armada de sondiers, machinos, eclectros, runners, régisseurs, backliners tous de noir vêtus, mais aussi serveurs, cuisiniers, barmen, disc-jockeys, voituriers, flics, femmes de ménage, secrétaires,putes de luxe et pompiers. Il y a même deux canards. Je m'y rend à chaque fois que le chômage me ronge, et j'y officie en tant que, disons, pousseur de caisses anonymes. Comme un petit rat, je me faufile dans les alcôves et sous les grands rideaux, je trottine de cour à jardin sur la scène, suivant les ordres qui me sont donnés. Trois imposants semi remorques barrent l'entrée des artistes, déféquant leurs flycases remplis de matériel. Quand je me glisse dans les coulisses, c'est pour y découvrir un chantier pharaonique, qui dégouline de câbles. On monte sur la scène une pyramide d'instruments, ou rutile au sommet une batterie énorme cernée de percussions diverses. Claviers,guitares et basses forment la base de l'édifice. Pierre angulaire, un piano a queue noir de jais attend patiemment que des doigts... Lire la suite
ZZ Top
Monaco, cité verticale. Imbroglio d'escaliers assassins et de routes en zig-zag. Un plat de spaghetti gris. En réaction, ma chère et tendre et moi-même décidons de prendre une position horizontale (fort agréable) avant de nous rendre au concert. On traverse rapidement les 2 km carrés princier jusqu'au Sporting Club sans trop faire attention aux immeubles empilés les uns sur les autres. La montagne semble vouloir nous dégringoler sur la gueule. Dès notre arrivée, la sensation gluante d'évoluer dans une sorte de cinquième dimension se confirme. Un voiturier au port digne nous salue respectueusement. Il est habillé d'une tenue de groom que n'aurait pas renié Spirou. L'allée principale est éclairée comme en plein jour. "Bienvenue au pays du pognon" raconte son regard creux. On obtempère et le voici parti dans la seconde avec notre char. Je remets ma chemise dans mon pantalon de costume, j'ai l'impression d'être un clown. Les murs de l'entrée sont garnis de photos des Stones et de guitares de collection. Quelque chose dans l'imposante carrure du type de la sécurité me dit qu'il serait malvenu que j'essaye d'en chourer une. Dommage. On pénètre dans la salle déjà pleine de gens en train de manger. Voici donc le Sporting. Une large cantine... Lire la suite
Simple Minds
Jim Kerr et sa bande ne sont pas entrés dans la légende, ils sont la Légende. Ce concert restera pour moi un des plus beau auquel j'ai eu la chance d'assister (le top, concert privé au Réservoir à Paris, 2005). Ce Jim Kerr là est un grand cru, une chose est sure : comme tout bon... Lire la suite