Théatre Armand - Salon de Provence : les concerts
Théatre Armand - Salon de Provence : l'historique des concerts
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Théatre Armand : les dernières chroniques concerts 2 avis
Kerakoum
Critique écrite le 17 novembre 2012, par Bertrand 13rugissant
Théatre Armand Salon de Provence 16 Novembre 2012
Direction le théâtre ! Plus habitué aux salles de concerts, je suis curieux de voir le concert de ce soir... En plein Salon de provence, le théâtre .... Fait très classe en arrivant. En attendant dans le hall boisé sur lit de moquette rouge, j'avoue que j'ai un peu de mal à me mettre dans l'ambiance. Un gros quart d'heure pour placer la copine à la bonne place et surtout à côté de sa pote septuagénaire aussi, un peu de patience sur fond de formes de politesse et j'ai enfin mon sésame pour accéder à ma place. Le théâtre est très haut de plafond, avec quelques étages de balcons, une belle scène, bref une belle salle bien étudiée pour être au plus proche de la scène. La lumière tombe, et c'est parti ! Je ne vais pas trop divulguer de détails sur le spectacle, mais c'est un voyage temporel sur une période de l'Histoire qui nous est à la fois familière, et lointaine. Les liens entre la France et l'Algérie sont très fort, et une version officielle bien souvent édulcorée dans les heures les plus sombres. Kerakoum, dans son spectacle se retrousse les manches et nous explique une autre vision. Pour cela, ils se sont épaulé de grands écrivains Algériens de tous horizons comme un appel au voyage. Le décor est planté avec un... Lire la suite
China Moses & Raphaël Lemonnier
Les lumières du Théâtre Armand se tamisent. Des bandes sons d'époque sont diffusées. L'époque, ce sont les années 55/63, lorsque Dinah Washington était au sommet de son art. China Moses et Raphaël Lemonnier se sont découvert une passion commune pour The Queen Of The Blues et poursuivent sur scène l'hommage rendu sur l'album This One's For Dinah. China avait 6 ans lorsqu'elle a découvert Washington en fouillant dans les disques cachés par sa grand-mère qui trouvait les paroles trop suggestives. Un début en douceur : Fine Fine Daddy, Mad About The Boy et Is You Or Is You Ain't My Baby sont agrémentés d'une rythmique (Fabien Marcoz / contrebasse, Jean-Pierre Derouard / batterie) pensée pour mettre en valeur la sensuelle voix de China. Sensuelle et passionnée : elle se délecte à nous raconter la vie de Dinah (7 maris, 2 fils, 200 enregistrements...) mais aussi quelques anecdotes (16 manteaux de vison, plein d'amants dont Quincy Jones). Les transitions pourraient être un poil plus concises : son aparté / truc entre filles sur l'attente du coup de fil après un rendez-vous galant et la métaphore du contrebassiste comparé à une paire de chaussures m'ont paru interminables. En même temps, je ne peux pas comprendre, je suis un... Lire la suite