Comme nous ne cessons de le répéter, Anaïs a encore cartonné la semaine dernière lors du concert chroniqué : ici. N'hésitez pas à profiter encore cette semaine de la richesse de la scène locale avec Electrolux, On s'fait une bouffe, Sons of Gaia, Soleil Noir, etc…

Cette semaine sort les Religions Sauvages, le dernier film d’animation Dernier Cri (www.lederniercri.org/), 2 h d'animations psychotiques et mystiques. Une soirée spéciale, Samedi 15, est organisée au Cabaret Aléatoire. La Nuit du Chaos Hérétik avec projection les Religions Sauvages et diverses set et performances.

Ne pas oublier non plus, la Manifestation régionale pour le Droit à l’avortement le samedi 15 janvier 2005

Mystic Punk Pinguin

Dans la région :
* Pyramide Trio (Hommage à Chet Baker dans sa formation de prédilection (piano/contrebasse/trompette).) - I.M.F.P - Salon de Provence (13) - 20h45 - 10 euros
* Céline Caussimo (Chanson) - Théâtre & Chansons- Aix-en-Provence (13) - 20h30 - Prix NC
* Sortie D'Douche (Rock'n' Droll) - Pub O'Neils - Avignon (84) - 21h30 - Gratuit
* Le Pianiste avec Robin Renucci (récitant) et Mikhaïl Rudy (piano) - Théâtre de l'Olivier - Istres (13) - 20h30 - 8/11 euros  

* Théo - Poison d’amour (Theo - Grenier a Sons) écouté par Pirlouiiiit

Après un premier album (En plein Coeur) vite sorti avec les moyens du bord, mais qui avait quand même atteint sa cible chez les gens qui avaient eu la chance de tomber dessus, revoici Théo avec un 4 titres promotionnel du nom d’une de ses chansons Poison d’amour. Si les 4 titres figuraient déjà sur l’album ils ont été réenregistrés avec plus de moyens ; jugez vous-même : Manfred Kovacic (ancien musicien de Bashung) pour la réalisation artistique, Jean-Michel Bourroux (ex batteur de Tanger) pour le son. On retrouve ainsi les très entraînants Si tu savais et Laisse moi (plein de mandoline), les plus langoureux C’est une marge et De Marseille a Venise (plein d’accordéon) qui n’ont rien perdues de leur charme (au contraire !) au cours de ce reliftage . Désormais soutenu par le Greniers a Sons (Cavaillon), Théo semble désormais bien parti pour conquérir les scènes de la région … il ne lui manquait plus qu’une démo de qualité pour s’attaquer aux ondes ; ce disque devrait faire l’affaire … mesdames messieurs les programmateurs, c’est a vous désormais !

* Nirvana, “With The Lights Out” (2004 (Geffen / Universal)) écoutée par Pierre Andrieu

Nous passerons rapidement ici sur les longues et écœurantes tractations mercantiles ayant conduit à la publication tardive de ce coffret réservé aux fans du groupe de Kurt Cobain, Nirvana. Pourquoi gâcher son plaisir alors que cet objet - un peu sinistre au premier abord - recèle des trésors enfouis ? With the lights out comporte en effet 81 morceaux - dont 68 inédits ou versions rares - et un livret aussi instructif que soigné de 60 pages.
Sur le premier des trois CD et sur la première partie du DVD, on découvre avec émotion les débuts du Nirvana première mouture en répétitions ou en concert avec les prédécesseurs de Dave Grohl à la batterie. L’esprit est punk/hardcore, les riffs sont inspirés de Led Zeppelin ou Black Sabbath et l’atmosphère est furieusement violente. Pourtant, la face pop influencée par les Beatles affleure déjà avec des versions aussi excellentes que touchantes de Polly et About a girl datant de 1988. Kurt Cobain sait déjà écrire des morceaux qui marquent, il est déjà écorché vif et inquiétant : ses cris sont saisissants, ses plaintes vocales sont déchirantes et son attitude réservée et taciturne tranche avec celle des autres. A titre d’exemple, il chante avec son micro placé contre un mur, tournant complètement le dos à ses acolytes… Le très jeune musicien reprend déjà magistralement l’antique bluesman Leadbelly avec son proj et monté avec Mark Lanegan, The Jury. Si l’on en croit les versions habitées de They hung him on a cross, Grey goose et Ain’t it a shame, le jeune Cobain ressentait dès ses débuts un blues existentiel évoqué dans nombre de ses chansons et résumé prémonitoirement dans le titre d’une face B parue en 1993 : I Hate myself and I want to die. Au chapitre des covers, si les deux reprises de Led Zep sont anecdotiques (mais le groupe n'en était alors qu'à ses prémices), celle du Velvet Underground - Here she comes now - témoigne de la fulgurante puissance se dégageant de chaque morceau joué par le trio originaire de Seattle.
Les deux disques suivants permettent de découvrir des versions « solo acoustique » tout simplement magiques. L’ombre du malheur et de la douleur plane sur Where did you sleep last night, All apologies et Pennyroyal tea. Grâce à ces morceaux et aux interprétations dépouillés et poignantes de Lithium, Sliver, Rape me, Been an son, You know you’re right (le bon single extrait du best of de 2003) et Do re mi (un superbe inédit datant de 1994), on a l’impression troublante que Kurt Cobain nous présente ses démos magistrales au coin du feu, rien que pour nous. Le son est parfois un peu limite mais la force qui se dégage de l’interprétation emporte tout sur son passage. Que les fans de grunge se rassurent, la rage est bel et bien présente également avec Aneurysm, un des meilleurs morceau du groupe, Territorial pissings et Drain you, deux titres survoltés estampillé « Nirvana sound », ainsi que tr ois versions du plus grand hit du groupe, Smells like teen spirit : la version « propre » produite par Butch Vig et les premières interprétations du morceau en répét ou en public… Un document précieux.
Comme la dernière chanson présente sur le DVD, une reprise presque insupportable au niveau émotionnel de Seasons in the sun, l’adaptation anglaise (traduite par Rod McKuen et un peu « adoucie » par Terry Jacks) du morceau Le Moribond signé Jacques Brel. En studio à Rio en 93, accompagné par Krist Novoselic à la guitare (approximative) et Dave Grohl à la basse, Kurt Cobain - à la batterie - chante d’une voix étranglée « Adieu mon ami, qu’il est dur de mourir quand tous les oiseaux chantent dans le ciel, maintenant que le printemps est là. » S’il est plus connu pour avoir hurlé des paroles volontairement contradictoires et absurdes dans ses morceaux punk ‘n pop, le leader de Nirvana aura donc également chanté toute sa vie des chansons de blues (électrifié ou non) aux paroles désespérées.  

* La Chute , un film d'Oliver Hierschbiegel avec Bruno Ganz vu par Philippe

Ecrire une chronique sur ce film est d'autant plus casse-gueule que tout a déjà été dit à son sujet. Les passions se sont déchaînées pour savoir si le film reflétait la vérité historique, s'il était bon ou non de montrer les derniers instants d'Adolf Hitler, ou encore si sa propre secrétaire (l'héroïne du film) pouvait réellement ignorer à quelles horreurs se livrait le IIIe Reich. Si vous regardez ou lisez les infos vous n'avez pas pu manquer ces polémiques alors je ne les rouvrirai pas.

D'un point de vue cinématographique ce n'est certes pas un grand film. Par contre les acteurs sont excellents, et Bruno Ganz en tête. La question n'est pas de savoir si l'acteur fétiche de Wenders (Les Ailes du Désir) et inspirateur de Bilal (la trilogie Nikopol) est ressemblant à Hitler, avec ses mimiques et ses tremblements. Peu de gens peuvent encore en témoigner et finalement on s'en fout. L'important c'est qu'il est é-mou-vant. Eh oui.
Parce que, précisément, il joue un Hitler acculé, désespéré et aux portes de la folie, un homme à qui tout le monde ment et que ses généraux trahissent les uns après les autres, et malgré tout humain, parfois gentil et attentionné. Malgré ses tirades furibardes qui nous rappellent sans ambiguïté son antisémitisme et son nihilisme fondamental. Et du coup on éprouve une sale sensation : de la compassion pour cet être (que chacun de nous a appris à l'école à refouler comme étant une anomalie de la nature).

De même, je n'ai pas pu m'empêcher d'éprouver une forme … d'admiration pour ces gens qui ont jugé qu'ils ne pourraient pas vivre dans un monde sans nazisme, et ont suivi un Führer qui n'exigeait même pas leur mort. Cette femme qui tue chacun de ses enfants, ces officiers qui se donnent la mort en apprenant que l'Allemagne a capitulé, ces enfants fanatiques, soldats et infirmières, qui veulent y croire encore… Il est effrayant aussi de voir combien des gens si "courageux" peuvent ainsi être conduits dans la pire des erreurs et des lâchetés.
Pour ces gens perdus aussi, et qui vont mourir, le cinéaste inspire de la compassion. Qu'on se prend en pleine gueule. Ce serait trop facile de penser qu'Hitler était un monstre, une anomalie, finalement un extraterrestre. C'est là tout le message du film et il est parfaitement univoque : le danger est que cet individu était un humain et qu'il pourrait donc revenir, comme les gens qui l'ont suivi. C'est une façon suffisamment efficace et originale d'alerter les générations actuelles pour justifier ce film, même imparfait ou complaisant, au moment ou les extrémistes reprennent du poil de la Bête presque partout en Europe.  

* Le corps des peuples de Anne Vaurichon lu par Eric B.

Laver son corps est une constante de l'Humanité mais les coutumes varient évidemment : être propre ça ne recouvre pas le même sens suivant qu'on habite les bords de l'Amazone ou au Sahara. L'auteur pose la question : de quoi se lave-t-on ? Il y a toujours un lien entre la propreté et la pureté. L'eau, fluide originel, primordial reste le médium vers lequel se tournent instinctivement la plupart des cultures. Pour autant, d'autres peuples se tourneront vers la graisse de porc (fortement investi symboliquement), d'autres le sable (admis par le Coran) ou l'urine (les Inuits ou même à leur époque les romains "Lavage et rinçage de la bouche à l'urine humaine, si possible celle d'une espagnole, réputée meilleure" - c'est bien connu - "étaient préconisés dans la Rome Antique"). Ce qui pour nous est la souillure tient lieu là-bas de purification.
Bien sûr " le corps des peuples" rend compte du lien entre la propreté et la beauté mais à contrario il existe un lien inattendu entre la beauté (comprendre pureté) et la saleté. A l'exemple du monde occidental au Moyen Age qui vécut dans le déni du corps, se laver quotidiennement ou simplement nettoyer sa bouche était assimilé comme une coquetterie suspecte, 1uneincitation démoniaque à la luxure. Être sale en revanche laissait l'individu dans la sainteté.
Mon chapitre préféré ?" troublantes sécrétions" sous titre " pipi caca". Il débute par un exergue d'Arthaud (notre héros local) judicieusement choisis comme tous les exergues du livre : " Là où ça sent la merde, ça sent l'être". Le pipi caca est très réglementé. La palme du rituel le plus contraignant, en la matière (hé hé hé), revenant sans conteste à nos pauvres Brahmanes d'Inde. Jugez plutôt :" Il faut au préalable revêtir de la toile fraîchement lavée, trouver 1 eau courante - si possible sacrée comme le Gange - choisir un lieu loin d'1 temple, d'1 chemin ou d'1 champs, mais à proximité d'un arbre sacré, accomplir des rituels très précis, placer 1 de ses chaussures à 1 certaine distance de l'autre, s'accroupir le + bas possible, ne pas regarder la lune ou le soleil, les étoiles, 1 feu, 1 temple, ne pas tarder, ne jamais se retourner après, se laver les pieds et les mains sur le lieu même avec de l'eau apportée dans un vase de cuivre puis achever de se purifier près d'une rivière en prenant soin de laver les parties souillées avec de l'eau mêlée à de la terre judicieusement choisie, c-a-d pas soulevée par des fourmis blanches, qu'elle ne contienne ni sel ni glaise, qu'elle n'ait prélevée ni sous 1 arbre ni sur 1 chemin"…faut pas avoir la gastro quoi, si vous me permettez cette expression arrière précieuse !!!!!
Voilà pour ce livre qui inspirera peut-être les femmes à sortir des automatismes dans lesquels elles sont piégées dans leur salle de bains, à imaginer autres choses (…enfin bon on oubliera peut-être l'urine) tant il met en avant des pays où le corps s'inscrit dans un temps immense, fait de gestes longs, étirés, " les onctions douces comme des caresses, la lenteur du tressage des nattes" comme un désir du temps. Dans nos sociétés industrialisées, obsédées par le gain de temps - la cosmétique avec ses produits 3 en 1 en est un exemple - à trop vouloir gagner du temps nous nous le volons plus qu'autre chose.
En conclusion, "le corps des peuples" est une leçon de planète, un somptueux voyage en images. Le regard de son auteur est anthropologique bien sûr mais toujours léger, bien veillant presque amoureux et toujours du côté du bonheur et de la sensualité. Ici on ne traite pas de tout ce qui est une attaque définitive au corps comme les mutilations, perforations, scarifications. Ce beau livre s'applique à nous expliquer comment et pourquoi les peuples prennent soins de leurs corps.

(à J. mon éternelle porte du vaste monde)  

* Homosuperior cherche un musicien si possible schizophrène, sain d’esprit s’abstenir (annonce serieuse)

« Le groupe HomosuperioR recherche son/sa Pianiste/Clavier, celui-ci/ celle ci sera accueilli de la meilleur façon possible et sera recouvert(te) d’or si en plus il/elle joue d’un instrument à vent. »
Cette annonce est très sérieuse.
Egalement nous cherchons désespérément un responsable de Com/manager/agent.

www.homosuperior.com

* Appel à candidature artistes Babel Med Musique

Dans le cadre de la programmation artistique de Babel Med Music, un appel à candidature est lancé en direction de tous les groupes de la région, de Méditerranée et du monde.
Les 30 groupes sélectionnés se produiront sur une des scènes du Dock des Suds devant le grand public comme les professionnels participant au marché.
La date limite de dépôt des dossiers de candidature est le 21 janvier 2005.

Les candidats devront :
- Remplir le formulaire d’inscription (formulaire disponible au format PDF en téléchargement sur internet ou sur simple demande au bureau de Babel Med Music).
- Joindre également :
- 2 CDs de l’artiste ou groupe (démo acceptée)
- 2 dossiers de presse (texte de présentation, bio, photo…)
- 2 fiches techniques du spectacle

Renseignements au 04 91 99 00 00
Email : babelmedmusic@wanadoo.fr
www.dock-des-suds.org

Babel Med Music
C/O Dock des Suds
12, rue Urbain V
13002 Marseille

* Les ateliers permanents de pratiques artistiques de l'AMI

L’A.M.I. propose de façon quotidienne ou hebdomadaire des ateliers de pratiques artistiques dirigés par des artistes intervenants et ouvert au tout public sur un principe de gratuité. Ces ateliers :

- Scratch animé par Dj Rebel (Syndicat du rythme)
- Sample animé par Fred Berthet (Copyshop)
- Ecriture animé par Namor (Al Iman)
- Mode Urbaine animé par Béatrice Paschen (Skalp)

sont aussi itinérants et peuvent se déplacer à la demande d’un opérateur extérieur (centre social, collège, institutions diverses, associations)

Les conditions d’accès : sur inscription auprès de l’A.M.I.
la Friche la Belle de Mai – 41 rue Jobin 13003 Marseille
+ Carte d’adhésion 2005 obligatoire (10 euros) nominative et valable de janvier à décembre

* Manifestation régionale pour le Droit à l’avortement
Le samedi 15 janvier 2005
15 h aux Mobiles (Haut de la Canebière)à Marseille

L’AVORTEMENT, un droit, un choix, notre liberté
Hier, certaines ont osé parler dans une société muette. Beaucoup ont été mutilées par l’avortement clandestin, d’autres ont payé de leur vie. Des millions ont continué à se battre.Aujourd’hui, nous sommes fières et fortes du combat féministe gagné à l’issue de luttes sans répit pour notre droit fondamental à l’avortement. Crions notre détermination à le défendre et à le renforcer.

LA LOI VEIL A TRENTE ANS !
L’avortement nous concerne toutes et tous : une femme sur deux fera ce choix personnel. Pourtant cet acte reste tabou et culpabilisé. Les réticences à reconnaître aux femmes le droit à disposer de leur corps sont encore très fortes.

Demain, ici et ailleurs, nous ferons de l’avortement une vraie liberté.

Restons vigilantEs, le droit à l’avortement est toujours menacé :

Obstacles à l’application de la loi du 4 juillet 2001.
Régressions et remise en cause du système de santé dans son ensemble.
Offensives, affichées ou sournoises, de l’ordre moral en France, en Europe et dans le monde.
Insuffisance d’information et difficultés d’accès à l’avortement et à la contraception.

Réaffirmons avec force notre combativité pour défendre un droit fondamental et inaliénable.
Avec le collectif national mobilisons-nous :
Pour en finir avec le tabou et la culpabilisation.
Pour l’application de la loi du 4 juillet 2001.
Pour la mise en place de campagnes régulières d’information sur la contraception et l’avortement.
Pour l’attribution des budgets spécifiques pour l’avortement.
Contre la remise en cause du système public de santé.
Pour que partout en Europe soit garantie la liberté d’avortement
Pour affirmer notre solidarité avec toutes les femmes privées de ce droit dans le monde.

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La lutte pour l’avortement : quelques dates
1975 - Légalisation de l’avortement (définitive en 1979).
1982 - Remboursement de l’avortement.
1990 - L’utilisation de l’avortement médicamenteux est autorisé dans les centres IVG.
1993 - Dépénalisation de l’auto-avortement et création du délit d’entrave à l’IVG.
2001 - Le délai légal passe de 10 à 12 semaines de grossesse, la femme majeure n’a pas d’obligation d’entretien social, la femme mineure qui ne peut obtenir l’autorisation parentale, a la possibilité d’avoir recours à un adulte accompagnant. L’information sur la contraception et l’avortement est dépénalisée.
2004 - Le décret mettant en place les IVG médicamenteuses hors établissement de santé sort, mais il est non applicable. Modification et revalorisation des forfaits relatifs à l’IVG.

* Projection : Avortement, une liberté fragile

15 JANVIER 2005, dans le cadre de la Manifestation nationale à 19 heures 30 à 1000 bâbords (Rue Consolat, 13001 Marseille), projection du film Avortement, une liberté fragile un documentaire de Régis Sauder

Filmé entre Marseille et Pertuis en 2004, ce film dresse un état des lieux de l’application de la loi Veil dans les Bouches du Rhône.
“Trente ans après le vote de la loi Veil permettant aux femmes de > pratiquer une Interruption Volontaire de Grossesse, nombreuses sont > celles qui éprouvent des difficultés dans l’exercice de cette liberté.
J’ai rencontré des femmes, médecins, conseillères conjugales au Mouvement Français pour le Planning Familial, sages-femmes, qui accompagnent celles qui veulent interrompre une grossesse. Dans leur pratique, elles perçoivent les attaques pernicieuses au droit de la femme à disposer de son corps.
> Ce documentaire est un signal d’alarme, parce qu’une liberté fondamentale des femmes est en danger… “
Réaffirmons avec force notre combativité pour défendre un droit fondamental et inaliénable.
Soirée organisée par l’ UL CNT Marseille et le Planning familial